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  • Pétition pour interdire le commerce des produits issus des colonies israéliennes

  • Déclic, le podcast de la mobilisation citoyenne

    Pour ce premier épisode de Déclic, nous sommes au lycée saint Francois d’Assise à Saint-Quentin en Yvelines, avec des élèves de seconde. Deux bénévoles proposent aux adolescents de jouer au fameux jeu du loup garou, décliné dans une version amazonienne où protecteurs et destructeurs de la forêt s’affrontent.



    Cette nouvelle version du jeu du loup garou décliné dans une version amazonienne connait depuis son lancement un joli succès auprès des lycéens.

    Jeu du loup garou version Amazonie. Illustration : Charlotte Cornudet

    Au lieu de se réveiller dans un village européen, les participants du jeu se retrouvent dans un village au cœur de la forêt amazonienne. Protecteurs et destructeurs de la forêt s’affrontent, sans que l’issue ne soit prévisible au début de la partie.


    Ce nouveau podcast Déclic nous immerge au cœur de l’action des bénévoles du CCFD-Terre Solidaire.

    Retrouvez toutes les informations sur le jeu du loup garou, version Amazonie

  • Expérimentez le jeu du loup garou en Amazonie

    Le fameux jeu du loup garou est ici proposé dans une version amazonienne. Serez-vous un des loups qui détruisent la forêt, ou saurez-vous ruser pour la protéger? Découvrez la règle du jeu et des cartes adaptées au contexte Amazonie

    “La nuit tombe sur le village, les villageois s’endorment, les loups garous ouvrent les yeux…”

    Si vous reconnaissez cette phrase qui débute le si fameux jeu du loup garou, vous allez avoir envie de tester cette version amazonienne. Et si vous ne le connaissez pas encore ce jeu, c’est une bonne occasion de le découvrir.

    Très prisé des ados, le jeu du loup garou se joue en groupe d’une dizaine de personnes, en famille ou entre amis. De 5 à 97 ans, tout le monde peut participer!

    On se jauge, on ment, on cherche des coupables, on détourne subtilement l’attention, on rit, on s’indigne, on bluffe et on démasque.

    C’est une partie à l’issue incertaine, où les protecteurs peuvent sauver l’Amazonie, et les destructeurs, la faire disparaitre à tout jamais.

    Car si la déforestation n’a jamais été aussi rapide, il est encore possible d’agir pour inverser la tendance….

    Pour découvrir cette version du jeu, tout est expliqué dans le document à télécharger ci-dessous. Vous y trouverez la règle du jeu et des cartes détaillant le rôle des protagonistes : les villageois protecteurs, mais aussi les destructeurs, avec l’entreprise chocopalm et les éleveurs de bétail qui ont besoin de toujours plus d’espace pour faire pousser du soja.

    Vous pourrez choisir d’élire un président qui choisira d’exploiter et de détruire, ou au contraire de protéger la forêt et ses habitants… Vous pourrez même faire appel à l’Onu.

    Je télécharge le jeu du loup garou et les cartes détaillant les différents rôles

    Le-jeu-du-loup-garou-de-lAmazonieTélécharger

    Dans les Yvelines, des lycéens de seconde ont testé le jeu! Mettez-vous dans l’ambiance avec ce court podcast :

  • Ukraine : 5 questions autour de la directive de protection temporaire

    Qu’est ce que la directive de protection temporaire? Pourquoi a-t-elle été activée pour les personnes venant d’Ukraine? Quels défis représentent la mise en place de cette protection pour les Etats Européens?

    Sophie Duval, chargée de plaidoyer migration, répond à nos questions.

    © Ophélie Chauvin
    Rassemblement en soutien au peuple ukrainien, Paris, 17 mars 2022. © Ophélie Chauvin

    Qu’est-ce que la directive de protection temporaire ?

    Créée en 2001 par l’Union européenne, la directive de protection temporaire a été pensée dans le contexte de l’après-guerre au Kosovo et en ex-Yougoslavie. Elle permet aux Etats membres de l’Union européenne d’attribuer rapidement une protection à des personnes dans un contexte de déplacements forcés de grande ampleur vers l’UE.

    La création de ce système « parallèle » de protection permet à ces personnes d’accéder aux droits fondamentaux liés au droit d’asile (hébergement, soins, éducation, formation professionnelle, travail) sans venir perturber le fonctionnement des dispositifs nationaux d’asile existants.

    Pourquoi a-t-elle été activée pour la première fois le 4 mars 2022 ?

    Suite à l’agression de l’Ukraine par la Russie le 24 février, plus d’un million de personnes a été contraint de quitter le pays en seulement sept jours. Face à cette situation critique, la présidence française du Conseil de l’UE a demandé à la Commission européenne de rédiger une proposition d’activation de la directive, finalement établie le 3 mars, puis adoptée par les ministres de l’Intérieur de l’UE le lendemain.

    Depuis 2001, la directive n’avait jamais encore été activée, que ce soit dans le cas de conflits armés en Syrie, en Afghanistan, en Libye ou en Ethiopie, malgré les demandes répétées d’organisations de la société civile.

    Qui sont les personnes pouvant en bénéficier ?

    La directive de protection temporaire établit des règles minimales de protection et les bénéficiaires, que les Etats membres peuvent décider de compléter au niveau national. Le texte du Conseil de l’UE concerne les personnes :

    • ayant quitté l’Ukraine à partir du 24 février 2022 et qui sont de nationalité ukrainienne ; étrangères résidant de manière permanente en Ukraine qui ne peuvent pas retourner de « manière sure et durable » dans leur pays d’origine ;
    • les personnes bénéficiant du statut de réfugié en Ukraine et personnes apatrides ;
    • les membres des familles de ces personnes.

    Sont ainsi exclues de la protection temporaire :

    • les personnes ayant quitté l’Ukraine avant le 24 février 2022 ;
    • les personnes étrangères résidant de manière permanente en Ukraine qui peuvent retourner de « manière sure et durable » dans leur pays d’origine ;
    • les personnes ne disposant pas de résidence permanente en Ukraine, incluant les personnes en situation administrative irrégulière.

      Les Etats membres peuvent toutefois décider d’inclure ces personnes dans leur dispositif national de protection temporaire.

    Quels défis s’ouvrent désormais aux Etats européens ?

    Le premier défi est avant tout opérationnel : les Etats européens vont devoir garantir l’accès à un ensemble de droits pour les personnes protégées, à la fois dans l’urgence et dans la durée.

    Pourtant, dans bon nombre de pays, peu d’investissements publics massifs ont été engagés dans ces systèmes de protection ces dernières années.

    L’enjeu est donc de garantir un accès aux droits pour les personnes fuyant l’Ukraine, tout en continuant de faire fonctionner les systèmes nationaux d’asile pour les autres personnes nécessitant une protection internationale, sans que cela ne provoque des mesures discriminatoires.

    L’activation de la protection temporaire dans l’UE représente un défi en termes de coordination entre Etats membres pour assurer l’accès effectif à ces droits dans l’ensemble des pays, et éventuellement la mise en place d’un mécanisme de répartition, pour relocaliser des personnes réfugiées depuis des pays hors UE (notamment la Moldavie) ou entre pays européens.

    Comment l’Union européenne pourrait-elle s’en inspirer pour l’avenir ?

    La décision unanime du Conseil de l’UE sur la protection temporaire démontre que des barrières, que l’on pensait infranchissables il y a encore quelques semaines, ont cédé face à une situation exceptionnelle. Cette volonté politique historique prouve que la solidarité européenne peut être le maitre-mot pour garantir un accès aux droits fondamentaux aux personnes cherchant une protection dans l’UE.  

    A l’heure des négociations sur un nouveau Pacte européen sur la migration et l’asile, les Etats membres gagneraient à capitaliser sur cet élan de solidarité notamment sur les points suivants : un accueil coordonné, digne et respectueux des droits fondamentaux est possible, tout en accordant le droit aux personnes de choisir leur pays d’accueil et en levant les barrières de « filtrage » aux frontières extérieures et intérieures de l’UE. 

    Pour en savoir plus autour de notre action sur les migrations

  • En Bosnie, l’histoire de Milica qui protège la nature

    Milica est une jeune militante engagée pour le climat et la préservation de l’environnement en Bosnie. Elle a rejoint le Centre pour l’environnement bosnien soutenu par le CCFD-Terre Solidaire

    Vous y croyez, vous, qu’un paysage puisse orienter le cours d’une vie ?  

    Milica a grandi dans les montagnes de Prijedor, au nord de la Bosnie-Herzégovine. Petite dernière d’une famille de quatre enfants, elle passe ses journées dehors. Elle brave la neige l’hiver, les coups de soleil l’été et dès qu’elle le peut, elle fonce vers le cours d’eau le plus proche pour observer la vie qui s’y déroule. Parfois c’est plutôt les rochers qui l’intéressent, pour y grimper et contempler d’en haut, ces étendues vertes qu’offre à voir la Bosnie.  

    Dans son village, tout le monde possède un potager. Ses voisins ont leur propre élevage et bien souvent, on peut voir chèvres et poules se balader dans les jardins entre les meules de foin. 

    Ce mode de vie, en lien avec la nature, développe l’intérêt de Milica pour l’environnement.  Malheureusement, au fil des années, elle réalise amèrement, que pour que la nature révèle sa beauté, il faut encore savoir la regarder. Hélas, l’avidité de certains leur brouille la vue. Comme partout dans le monde, cette nature si sacrée devient menacée. Les rivières de Bosnie deviennent prisées par les compagnies d’électricité.  

    A 12 ans, premier acte : Milica décide de ne plus manger de viande. Une décision qui étonne ses parents. Être végétarienne n’est pas encore compris dans son pays, encore moins dans les zones rurales, mais peu importe, c’est pour elle le premier pas dans sa lutte contre l’agro-industrie. De toute façon, il n’y a pas que la viande dans la vie ! Milica cuisine des plats végétariens comme le Sataras, un ragout de poivrons, tomates, oignons…puis elle raffole des champignons.  

    A 17 ans, direction Banja Luka pour les études. Milica rejoint ce qu’elle appellera plus tard sa bulle : des groupes de personnes, engagées comme elle pour le climat. Rapidement elle s’engage avec le CZZS : le centre pour l’environnement bosnien. Elle finit par y travailler en 2020. C’est l’aboutissement de ses années d’étude et la concrétisation de son engagement ! Ses journées sont variées, à l’image de ses missions. Un jour elle va sur le terrain, discuter avec des agriculteurs de l’emploi de pesticides, un autre jour elle sensibilise les habitant.e.s au tri des déchets.

    Mais il faut bien l’avouer, certains jours sont plus durs que d’autres. Tous ses interlocuteurs ne comprennent pas la nécessité de changer leurs pratiques. Comment admettre que ce que l’on fait depuis 50 ans n’est finalement pas bien ? Milica arrive à les comprendre et elle s’impose justement de continuer à dialoguer, surtout avec celles et ceux qui ne sont pas d’accord. 

    Et puis, il y a des jours plus lumineux ! Comme ce jour où, avec les habitant.e.s de la ville de Bosanski Petrovac, ont réussi à faire fermer un incinérateur à déchet. Un sourire franc se dessine sur le visage de Milica quand elle y pense. 

    Un beau souvenir…qui lui rappelle au quotidien que c’est à plusieurs que s’obtiennent les plus belles victoires ! 

    Pour aller plus loin :

    Rencontrer Milica le 2 avril à Gap

    En Bosnie-Herzégovine la Republika Srpska joue avec le feu

  • L’histoire de Gregorius et du dragon de Komodo

    En Indonésie, sur l’ile de Flores, nous soutenons l’organisation locale Sunspirit For Justice and Peace, qui agit pour préserver l’archipel unique des petites îles de la Sonde et leurs habitants des appétits des investisseurs. Voici l’histoire de Gregorius, son directeur, qui nous raconte son combat emblématique autour du “dragon” de Komodo.

    Gregorius Afioma a grandi sur l’île Flores, au milieu de l’ethnie des Manggarai, à l’Est de l’Indonésie. Depuis son village de pêcheurs de Labuan Bajo, il observe les bateaux voguer vers le Parc National de Komodo. Perché au cœur de l’océan indien, ce petit bout de paradis, classé au Patrimoine mondiale de l’UNESCO, abrite les fameux « dragons » de Komodo; Ces drôles de lézards géants cohabitent depuis des générations avec les communautés locales.  

    Hélas, aveuglé par la volonté de s’enrichir, le gouvernement ambitionne de  transformer cet écosytème unique en une sorte de « Jurassic Park » agrémenté d’ hôtels en tout genre pour  touristes fortunés. Mais à quel prix ? À celui de la destruction de l’habitat des varans de Komodo et de la délocalisation des communautés locales.  

    Un activiste dévoué à défendre les richesses de son archipel natal  

    Pour Gregorius, le tourisme ne doit pas se résumer à profiter des plages et à contempler les paysages tout en les détruisant. Il doit être l’opportunité de diffuser l’histoire, la culture et les savoir-faire des communautés locales, tout en soutenant leur développement dans le respect de leur environnement.   

    Jeune activiste écologique, Gregorius militait déjà sur les bancs de la fac, entre deux cours de philosophie, pour défendre son archipel natal de la menace des mégaprojets industriels et touristiques. Aujourd’hui à la tête de l’ONG locale, Sunspirit for Justice and Peace, il milite pour la préservation de l’environnement grâce à la recherche et des actions de plaidoyer ; il soutient l’éco-tourisme et l’artisanat local ; et il accompagne la jeunesse par le biais de la création artistique.  

    Un mouvement civil à l’épreuve de « Jurassic Park »  

    Refusant de voir l’île de Komodo succomber sous les bétonnières, Gregorius s’empare du problème à bras-le-corps. Il séjourne auprès des communautés impactées pour récolter leurs témoignages et mener des enquêtes de terrain. Ensemble, ils mènent de nombreuses actions de plaidoyer et de mobilisations pour alerter les pouvoirs publics et l’opinion.  

    Un beau jour, il reçoit une photo qui illustre sans équivoque la réalité grotesque de ce mégaprojet : un varan de Komodo se retrouve nez à nez avec un camion de chantier qui entrave sa route. Submergé d’un brin de colère, Gregorius poste cette photo sur les réseaux. Elle devient virale. L’indignation partagée afflue des quatre coins du monde. Médias nationaux et internationaux, Universités et Institutions, UNESCO… son téléphone ne cesse de sonner. 

    Victoire, ou demi-victoire, le plan de relocalisation des communautés et les permis de construire sont « suspendus ». Fier, Gregorius reste néanmoins réaliste : le gouvernement compte bien poursuivre son projet à l’ombre des regards. Et celui-ci n’est qu’un exemple parmi tant d’autres.  

    Militant et chercheur : la promesse d’un engagement plus fort  

    Accroître les forces de Sunspirit et s’engager dans la publication de livres et de films documentaires, c’est pour Gregorius l’objectif de demain.  

    Pour peser davantage dans les décisions politiques, il ressent le besoin de continuer à apprendre. Il souhaite s’engager dans un projet de recherche sur la conservation et le développement du tourisme à Flores et vient de décrocher une bourse américaine.  

  • Animer le Carême 2022

    Pour animer le carême 2022, retrouvez notre cahier d’animation liturgique avec des propositions pour les célébrations du mercredi des cendre et des cinq premiers dimanche de carême. Nous mettons également à disposition un livret spirituel, et un cahier d’animation à la solidarité internationale

    Depuis plus de 60 ans nous soutenons des acteurs de terrain pour que chacun voie ses droits fondamentaux respectés : manger à sa faim, vivre de son travail, habiter dans un environnement sain, choisir là où construire sa vie… Cet engagement prend racine dans l’Evangile et la pensée sociale de l’Eglise. Les évêques de France ont confié la mission au CCFD-Terre Solidaire d’organiser l’action de solidarité internationale en appelant les chrétiens au partage pendant la période de carême, notamment lors de la collecte du 5 eme dimanche.

    Nos outils d’animation

    Le cahier liturgique :

    Télécharger le cahier liturgiqueTélécharger

    Le livret spirituel :

    Télécharger le livret spirituelTélécharger

    Le cahier d’animation à la solidarité internationale

    En complément du cahier d’animation, retrouvez toutes les informations pour organiser une ballade ecospirituelle

    Télécharger le cahier d’animationTélécharger

    A retrouver également sur notre site :

    Notre page carême

    Notre parcours spirituel en ligne :

    Tous les samedi pendant le carême, retrouvez notre proposition de méditation à écouter, à lire et à contempler.

    Méditation pour le mercredi des cendres

    Méditation pour la première semaine de carême

    Le chemin de croix revisité…

  • Chemin de croix revisité

    A l’occasion du carême 2022, nous proposons un chemin de croix revisité autour de l’écologie intégrale. Les images conçues avec un parti pris artistique incitent à la réflexion et interpellent. A chaque station, une personnalité commente et partage sa méditation.

    BIENTOT EN LIGNE!

    Dès la mi-février 2022 vous pourrez l’imprimer en format pdf, ou le commander

    Avec la participation de :

    Yann Arthus-Bertrand, Grégoire Catta SJ, Bruno-Marie Duffé, Ferrante Ferranti, Dina Gardashkin, Gaël Giraud, Lucero Guillén, Bernard Holzer, Elena Lasida, Véronique Margron, Dominique Quinio, Matthieu Ricard, Marcela Villalobos Cid, Jean Ziegler. 

  • Le temps du carême, un parcours d’espérance

  • Mgr Vesco, évêque d’Oran en Algérie : “Il n’est d’humanité que plurielle”

    C’est un homme simple et chaleureux de 52 ans qui se présente, en habit de couleur claire rehaussé d’une modeste croix de bois. Avant de commencer l’interview, l’évêque d’Oran tient à évoquer son imprégnation de la spiritualité des figures qui ont marqué la présence chrétienne en Algérie : Charles de Foucauld, Pierre Claverie, évêque d’Oran assassiné en 1996, et les moines de Thibirine.

    (suite…)

  • Accueil des réfugiés syriens : Revivre après l’exil

    L’association franco-syrienne Revivre, partenaire du CCFD-Terre Solidaire, accueille les demandeurs d’asile syriens à Paris. Elle les guide dans leur parcours administratif et leur apporte un accompagnement humain adapté à leurs besoins. Étienne Marest, son secrétaire général, nous explique sa mission.

    (suite…)

  • Accueillir un demandeur d’asile chez soi

    Le bien-nommé programme Welcome du Service jésuite des réfugiés (JRS) permet à des familles françaises d’héberger, pour une durée de deux semaines à trois mois, un demandeur d’asile. Alors qu’ils sont de plus en plus nombreux à se retrouver à la rue, l’accueil en famille leur permet de reprendre souffle et de vivre de réelles rencontres avec des Français.
    Rencontre avec une famille accueillante.

    (suite…)

  • Briser le silence d’une occupation qui ne dit pas son nom

    Le livre noir de l’occupation israélienne rassemble les témoignages de cent quarante soldats israéliens qui ont servi dans les Territoires occupés. Leurs récits ont été compilés par d’anciens militaires aujourd’hui membres de l’organisation israélienne Breaking the Silence. Les témoignages révèlent comment un discours sécuritaire préventif masque une politique d’annexion territoriale.

    (suite…)

  • Le temps du silence est révolu

    Yaser Jamous est un jeune rappeur palestinien de Syrie, réfugié à Paris en 2013. Avec son groupe – Refugees of Rap –, il chante depuis 2006 la révolte, les espoirs et le désespoir d’une jeunesse qui abhorre la chape de plomb de la dictature, aspire à plus de liberté, et rejette la violence.

    (suite…)

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