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  • Supprimons la dette des pays du Sud

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  • Prix Terre Solidaire

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  • Élections 2022 : mobilisons-nous

    Nos voix pour une Terre Solidaire : mobiliser les citoyens !

     

    La faim, la pauvreté, les inégalités, les dérèglements climatiques… Autant de combats auxquels s’ajoutent le respect des droits humains ou encore le partage équitable des richesses…

     

    Aujourd’hui, ces défis nationaux et globaux sont interdépendants. Nos décisions, ici, ont un impact là-bas et elles relèvent de choix politiques de nos décideurs et décideuses.

     

    Ensemble, portons la solidarité internationale dans les débats citoyens lors des élections 2022.

    10 et 24 avril

    Élections présidentielles

    12 et 19 juin

    Élections législatives

    #VoixSolidaires2022

     

    Dans ce contexte électoral nos bénévoles se mobilisent pour aller à la rencontre des citoyens et citoyennes et créer des espaces de débats et d’échanges autour des enjeux de solidarité internationale.


    N’oublions pas la solidarité dans l’isoloir ! Œuvrons pour une France qui soit engagée en faveur d’un monde solidaire ! Faisons entendre notre voix !

     

    Conférences-débat, porteurs de parole, fêtes foraines solidaires … Venez à leur rencontre

    les temps forts de la campagne

    Agenda

    4 Juin’

    Porteurs de paroles

    Je m’informe
    2 Juin’

    Ciné-débat autour de la démocratie et de la solidarité internationale

    Je m’informe
    28 Mai’

    Conférence et Stand lors des Rencontres du développement Solidaire

    Je m’informe
    Tous les évènements
    Notre plaidoyer : interpeller les candidat.e.s

    Les élections sont aussi l’occasion pour nous de défendre nos analyses et positionnements auprès des différent.e.s candidat.e.s. En effet, les actions de nos futur.e.s élu.e.s (propositions de lois, votes, négociations internationales…) auront un impact sur les conditions de vie des populations du Sud.

    Pour cela, nos chargé.e.s de plaidoyer ont porté à la connaissance des candidat.e.s à l’élection présidentielle les enjeux principaux que nous identifions au CCFD-Terre Solidaire sur les questions du développement et de la solidarité internationale pour les 5 prochaines années.

    Pour les législatives, ce sont nos bénévoles qui, partout en France, vont à la rencontre des candidat.e.s de leur circonscription pour le leur présenter.

    Élections 2022 – Les enjeux internationaux

    Nos voix

    Pour une terre solidaire

    Promouvoir une souveraineté alimentaire au bénéfice de tous 

     

    Réorienter les financements alloués à l’agro-industrie dans les pays en développement pour promouvoir une transition vers l’agro-écologie.

    © Canva

    Exiger la réduction des émissions pour défendre la justice climatique 

     

    Donner la priorité à la réduction réelle et immédiate des émissions, et interdire l’obligation de les compenser pour les secteurs les plus émetteurs.

    ©Canva

    Agir pour une réelle justice fiscale internationale

     

    S’engager pour une réforme de l’imposition des multinationales avec un impôt d’au moins 25%.

    © Patrick Chesnet

    Supprimer le fardeau de la dette des pays pauvres 

     

    Soutenir une initiative internationale d’annulation de la dette des pays pauvres et la promouvoir au sein des instances internationales.

    © Canva

    Rendre les multinationales responsables des effets de leurs activités 

     

    Soutenir l’adoption d’une directive européenne reconnaissant la responsabilité civile des entreprises et garantissant le droit à un recours devant les tribunaux.

    © Patrick Piro

    Ouvrir le débat sur la politique de la France au Sahel 

     

    Garantir un débat public sur l’intervention de la France au Sahel et son suivi par le Parlement et les sociétés civiles françaises et sahéliennes.

    © Roberta Valerio

    Politiques migratoires : sortir de l’enlisement 

     

    Recentrer la politique migratoire de l’UE sur les droits humains et abandonner une approche essentiellement sécuritaire. À l’échelle nationale, promouvoir un accueil digne des personnes exilées et l’absence d’entraves aux actions solidaires de la société civile.

    Vous aussi, vous souhaitez interpeller vos élu.e.s avec le CCFD-Terre Solidaire?

    Rejoignez-nous !

    actualités de la campagne

    Toutes les actualités

    Démocratie et Solidarité internationale à travers le cas de la Birmanie, Arles le 2 juin 2022

    Lire l’article

    Une soirée mêlant mobilisation citoyenne et plaidoyer à Marseille

    3 mn

    16 juin 2022

    Lire l’article

    Campagne élections: retour sur l’action de rue de l’équipe locale de Bréhal

    2 mn

    15 juin 2022

    Lire l’article

    Un stand sur la solidarité internationale à Biot

    2 mn

    31 mai 2022

    Lire l’article

    Article

    Les dernières élections avant la fin du monde à Auxerre!

    5 mn

    12 mai 2022

    Lire l’article

    Démocratie et Solidarité internationale à travers le cas de la Birmanie, Arles le 2 juin 2022

    Lire l’article

    Une soirée mêlant mobilisation citoyenne et plaidoyer à Marseille

    3 mn

    16 juin 2022

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    Campagne élections: retour sur l’action de rue de l’équipe locale de Bréhal

    2 mn

    15 juin 2022

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    Un stand sur la solidarité internationale à Biot

    2 mn

    31 mai 2022

    Lire l’article

    Article

    Les dernières élections avant la fin du monde à Auxerre!

    5 mn

    12 mai 2022

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    Toutes les actualités

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    les temps forts de la campagne

    Agenda

    4 Juin’

    Porteurs de paroles

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    2 Juin’

    Ciné-débat autour de la démocratie et de la solidarité internationale

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    28 Mai’

    Conférence et Stand lors des Rencontres du développement Solidaire

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    Tous les évènements
  • Pétition pour interdire le commerce des produits issus des colonies israéliennes

    Aidez-nous à atteindre un million de signatures européennes ! #StopSettlements

    Alors que l’établissement de colonies dans un territoire occupé constitue un crime de guerre, l’Union européenne continue d’entretenir des relations commerciales avec les colonies israéliennes établies en Palestine occupée.
    Ces liens commerciaux permettent la viabilité économique et l’extension de ces colonies.
    Alors même que l’UE dénonce la colonisation israélienne, elle contribue à la renforcer.
    Des produits et services provenant de colonies illégales sont proposés aux consommateurs européens.
    En achetant ces produits et services, les citoyens européens contribuent donc sans le savoir au vol des terres et à l’expulsion violente de familles palestinienne.

    Je signe la pétition européenne

    En signant cette Initiative citoyenne européenne,

    • vous demandez que l’UE mette fin au commerce avec les colonies illégalement établies dans les territoires occupés, y compris le territoire palestinien occupé et les colonies israéliennes ;
    • vous demandez à l’UE d’appliquer le droit international et les droits humains de manière cohérente, y compris dans ses relations commerciales ;
    • vous signifiez à l’UE que vous ne voulez plus risquer d’être complice par vos achats de la colonisation et des violences infligées, entre autres, au peuple palestinien ;
    • Si elle parvient à rassembler un million de signatures de citoyens européens, cette ICE obligera la Commission européenne à discuter de mesures concrètes dans ce sens.

    Signez l’initiative citoyenne européenne pour mettre fin au commerce européen avec les colonies illégalement établies dans les territoires occupés

    Que signez-vous ?

    Le texte de pétition suivant est le texte de l’initiative citoyenne européenne accepté par la Commission européenne. Soutenir ce texte spécifique ouvrira donc la voie à l’arrêt du commerce avec les colonies illégales.

    Assurer la conformité de la politique commerciale commune avec les traités de l’Union européenne ainsi que le respect du droit international

    Retrouvez toutes les informations sur le site de la plateforme des ONG françaises pour la Palestine

  • Les femmes qui nous inspirent

    Journée internationale des droits des femmes

    Le 8 mars la Terrre entière célèbre la Journée internationale des droits des femmes. C’est l’occasion pour le CCFD-Terre Solidaire de rendre hommage à ces femmes qui œuvrent sans relâche pour un monde plus solidaire.

    Quiz : 4 faits méconnus sur les femmes

    Quelques exemples

    Les femmes qui nous inspirent

    Portrait d'Ayineth Perez © CINEP / CCFD-Terre Solidaire

    Terre et paix, l’épopée d’Ayineth en Colombie

    Ayineth Perez est l’une de ces centaines de milliers de Colombiennes qui n’ont pas pu récupérer leurs propriétés suite à la guerre qui a fait fuir les civils. A la tête de l’Ong colombienne Tierra y Paz, elle fédère les femmes et les paysans pour les aider à récupérer leurs terres. Et accéder enfin à la paix.

    Lire le portrait.

    Au Burundi Dacia lance une plateforme pour lutter contre la haine

    Dacia Munezero a fondé la plateforme Yaga pour contribuer à la lutte contre les rumeurs et les préjugés, et créer un espace de dialogue favorable à la consolidation de la paix dans son pays.

    Lire le portrait.

    Jocelyne Colas © Véronique de la Martinière/CCFD-Terre Solidaire

    En Haïti Jocelyne démêle les fils de la paix

    Dans une société Haïtienne frappée par la déliquescence, Jocelyne Colas fait partie de ces personnes qui n’ont pas baissé les bras. A la tête de la commission Justice et Paix d’Haïti, elle défend les prisonniers, lutte contre l’impunité et milite pour une justice forte et équitable.

    Lire le portrait.

    Liu figure du Mouvement des Sans Terre au Brésil

    Lucineia, souvent surnommée Liu, est l’une des nombreuses femmes sans terre qui se battent contre la violence et la pauvreté au Brésil. Elle est aujourd’hui devenue l’une des dirigeantes du Mouvement des Sans Terre qui regroupe 350 000 familles.

    Lire le portrait.

    En vidéo : Sophie-Anne Bisiaux engagée
    auprès des femmes migrantes

    Membre de l’association Migreurop, la militante Sophie-Anne Bisiaux rejoint en mai 2020 les bateaux de sauvetage en Méditerranée pour porter secours aux personnes en détresse.
    Elle nous raconte la difficulté du parcours migratoire des femmes de la Libye jusqu’à l’Europe teinté de violences et de discriminations systématiques. Une expérience qui fut pour elle bouleversante et qui a renforcé son envie de lutter à leurs côtés.

    Lancement d’un programme genre et climat

    Le CCFD-Terre Solidaire lance avec ses partenaires (WoMin, ACORD Rwanda), le 8 mars, le programme FACE – Féministes pour des Alternatives Climat et Environnement. Soutenu par l’Agence française de développement, ce programme a pour objectifs de sensibiliser, former et de mettre en réseau des actrices locales et de porter des alternatives concrètes d’organisations des sociétés civiles sur les droits des femmes et la crise climatique. D’une durée de 4 ans, le programme couvrira 14 pays en Afrique et devrait toucher entre 800 et 1000 organisations féministes soit 20 000 à 25000 femmes.

    Assister au webinaire de lancement

     

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  • Carême 2022 : Nous habitons tous la même maison

    Journée internationale des droits des femmes

    Le 8 mars la Terrre entière célèbre la Journée internationale des droits des femmes. C’est l’occasion pour le CCFD-Terre Solidaire de rendre hommage à ces femmes qui œuvrent sans relâche pour un monde plus solidaire.

    William Dupuy/CCFD-Terre Solidaire

    Radio Terre Solidaire  

    Jusqu’au 18 avril, la première webradio événementielle du CCFD-Terre Solidaire vous propose une large variété de programmes et de podcasts : des interviews, des directs, des témoignages…

    Je découvre la Radio Terre Solidaire

    © William Dupuy

    “Il n’y a pas deux crises séparées, l’une environnementale et l’autre sociale, mais une seule et complexe crise socio-environnementale.

    Les possibilités de solution requièrent une approche intégrale pour combattre la pauvreté, pour rendre la dignité aux exclus et simultanément pour préserver la nature »

    Laudato Si, pape François (LS 139)

    © Roberta Valerio

    60 millions de personnes supplémentaires

    souffrent de la faim depuis cinq ans
    © Roberta Valerio

    UWAKI © William Dupuy

    Ensemble, reconstruisons notre maison commune

    Les crises actuelles environnementales, sociales, migratoires ne sont qu’une facette d’une crise plus profonde liée à nos modèles de développement pensés sans limites.

    Loin de succomber au défaitisme,  nous sommes appelés à la métamorphose de notre monde, à nous réinventer pour mieux vivre.

    C’est l’expérience que nous vivons en accompagnant nos partenaires dans leur action.

    Je donne pour soutenir le CCFD-Terre Solidaire et ses partenaires.

    Sur le terrain

    nos partenaires agissent

    RHK

    Mali – RHK

     

    Le Réseau d’horticulteurs de la région de Kayes (RHK) dans le sud-ouest du Mali est un collectif d’organisations paysannes engagées dans l’agroécologie et le développement rural. Son objectif est de diffuser des pratiques agroécologiques : utilisation de traitements naturels et de semences locales et traditionnelles, fertilisation des sols avec du compost et de la fumure organique…

     

    RHK mène également des actions de promotion de l’agroécologie en organisant des journées de l’alimentation où experts, chercheurs, autorités locales se rencontrent et échangent sur les pratiques.

    Sunspirit

    Indonésie – Sunspirit

     

    Fondé en Indonésie en 2005, Sunspirit for Justice and Peace met en lien les mouvements de la société civile avec les autorités économiques et institutionnelles afin de changer le partage du pouvoir. Il négocie avec eux les conditions d’un nouveau modèle de développement durable, écologique et juste.

     

    Depuis 2015, Sunspirit intervient dans le Parc National de Komodo – réserve naturelle inscrite au Patrimoine mondial de l’Unesco où vivent les fameux varans de Komodo. Elle soutient les communautés qui y habitent dans leur lutte contre les mégaprojets d’investissement touristique.

    CPT

    Brésil – CPT

     

    La Commission Pastorale de la Terre (CPT) a été créée en 1975 dans la région amazonienne avec le soutien de l’Église catholique. Son rôle est de soutenir les paysans les plus démunis, victimes de conflits fonciers et de violences, pour leur permettre d’accéder à la terre, de vivre dans des conditions dignes, de s’organiser et de se défendre.

     

    La CPT exerce une pression sur le gouvernement hostile au partage des terres et fervent soutien de l’agrobusiness. Elle a ainsi poussé l’État brésilien à développer une politique d’éradication du travail esclave. Depuis 1995, on estime que près de 55 000 esclaves ont été libérés.

    FTDES

    Tunisie – FTDES

     

    Le Forum Tunisien pour les Droits Économiques et Sociaux appuie des mouvements sociaux et des communautés dont les droits économiques et sociaux ne sont pas respectés. Le FTDES rend visible leurs problèmes et leurs mobilisations. Il les accompagne pour revendiquer leurs droits au niveau local et national. Il fait lui-même du plaidoyer pour porter un autre modèle de développement en Tunisie.

     

    Au sein de son projet sur la justice environnementale, Le FTDES se mobilise pour le droit à l’eau notamment en milieu rural. 7 familles ainsi qu’une école rurale ont été raccordés grâce au projet justice environnementale du FTDES.

    FPFD

    Guinée – FPFD

     

    La Fédération des Paysans du Foutah Djallon (FPFD) est une organisation paysanne guinéenne présente à Mamou, Labé et Boké. Elle appuie le développement des filières de production de pomme de terre, oignon, tomate, riz et maïs.

     

    En 2019, la fédération a ainsi formé 3153 « paysans citoyens » aux pratiques agro-écologiques. Elle les aide aussi à se structurer en groupements et unions. Les paysannes et les paysans s’unissent pour mettre en place des pratiques agricoles durables (réduction des engrais chimiques, utilisation d’engrais organiques, etc.) et organiser leur développement.

    Souffler, méditer, contempler

    Tous les samedis, nous vous donnons rendez-vous pour écouter un podcast, poser notre regard sur une photo ou une image, s’arrêter sur une parole d’évangile ou un témoignage autour de l’écologie intégrale.
    A écouter à votre rythme, quand vous le souhaitez.

     

     

    Méditation de la semaine : construire une nouvelle fraternité
    Chemin de croix 2022 station 8

    Revisiter le chemin de croix 

    Cette année, pour le carême, le CCFD-Terre Solidaire propose un chemin de croix revisité autour de l’écologie intégrale. Intitulé Un Monde Nouveau, il s’agit d’une compilation de regards croisés qui interpellent, interrogent et inspirent, quelle que soit notre spiritualité. Une opportunité de partager, de méditer et de s’engager à changer de mode de vie, pour permettre aux générations futures de vivre en paix sur une planète préservée.

     

     

    Découvrir le chemin de croix revisité

    A retrouver également tous nos outils d’animation pour animer le carême 2022

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  • Être une ville accueillante c’est possible

    A l’occasion des élections municipales 2020, le CCFD-Terre Solidaire s’engage pour interpeller et sensibiliser les candidats et candidates autour des enjeux de l’accueil et l’intégration des personnes migrantes.

     

    La campagne “Être une ville accueillante, c’est possible” s’inscrit dans un travail de long-terme mené collectivement dans le cadre de l’Organisation pour une Citoyenneté Universelle qui regroupe le CCFD-Terre Solidaire et d’autres organisations.

     

    Mobilisé avec nos bénévoles et nos alliés, notre objectif est de porter un message positif à partir de l’expérience réussie de plusieurs villes qui ont fait le choix de mieux accueillir les personnes migrantes.

     

    Une autre politique migratoire est possible, elle existe et elle porte ses fruits !

    © Jocelyn Rigault

    “Nombreux sont les exemples de villes ou de villages dans lesquels les autorités locales et les acteurs de société civile travaillent ensemble pour mettre en place des solutions d’accueil, d’intégration, respectueuses des droits et de la dignité des personnes. Devenir ville accueillante n’est pas une utopie ! Ensemble nous pouvons relever le défi”. 

    Nina Marx – Chargée de mission Migrations Internationales.

    Nos convictions

    Les villes et les communes peuvent jouer un rôle majeur pour agir face à la violation des droits des personnes migrantes. Elles ont le pouvoir d’initier des politiques locales volontaristes en faveur de l’accueil et de l’intégration.

    Comment ? En facilitant l’accès au logement et à l’école. En permettant l’apprentissage de la langue. En mettant en place des outils et des espaces d’échanges pour permettre aux personnes migrantes de jouer leur rôle de citoyen.

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    L’objectif de cette campagne :

    Interpeller les candidats et candidates pour les encourager à faire de leur localité une “ville accueillante” une fois élu.e.s.
    Sensibiliser les décideurs et l’opinion publique à des exemples d’initiatives innovantes et d’alternatives en matière d’accueil, d’intégration et d’hospitalité des personnes étrangères.
    Encourager une vision des migrations comme une richesse pour nos sociétés et promouvoir une politique migratoire alternative respectueuse du droit des personnes migrantes.

    Kit de mobilisation

    © Jocelyn Rigault

    Municipalités solidaires et accueillantes, 10 exemples de politiques alternatives

    1 mn

    10 décembre 2019

    Lire l’article
  • Luttons contre l’évasion fiscale

    Agissons pour la justice fiscale

     

    Des Bermudes aux Îles Caïmans. Du Pays-Bas au Luxembourg. Des centaines de milliards d’euros ou de dollars sont déplacés chaque année dans ces territoires par des montages sophistiqués ou disparaissent via des sociétés-écrans.

     

    L’objectif ? Permettre aux multinationales ou à de riches particuliers de se soustraire à l’impôt. Et pendant que cet argent s’évapore dans les paradis fiscaux, les caisses des États, surtout des pays du Sud, sont vides.

     

    Vous trouvez cela juste ? Nous non plus !

     

    Depuis de nombreuses années, le CCFD-Terre Solidaire se mobilise en faveur d’une justice fiscale qui redonne aux États les ressources financières dont ils sont spoliés, afin qu’ils puissent répondre aux besoins fondamentaux de leur population et réduire les inégalités.

    40 %

    des profits réalisés par les multinationales
    sont délocalisés dans les paradis fiscaux.

    427 Mds

    de dollars, c’est ce que coûte
    l’évasion fiscale chaque année dans le monde.
    © Canva

    Nos convictions

    L’évasion fiscale des multinationales prive chaque année les pays du Sud de 180 milliards d’euros de recettes fiscales.

    Ce manque à gagner, c’est autant d’argent qui ne sera pas utilisé pour l’éducation, la santé ou la sécurité alimentaire des populations.

    C’est une évidence : sans ressources, propres les pays du Sud ne peuvent être pleinement acteurs de leur développement.

    Pourtant, des solutions existent pour lutter efficacement contre l’évasion fiscale ! 

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    Nous plaidons pour :

    1. Une réelle transparence fiscale

    Cela doit passer par la création d’un reporting public pays par pays pour contraindre les multinationales à rendre publiques leurs informations clé et les impôts qu’elles payent dans tous les pays où elles ont des activités.

    2. Une évolution du système fiscal international

    Les systèmes d’impositions des entreprises doivent évoluer, en instaurant, par exemple, une taxation unitaire. Le principe : taxer le bénéfice global des multinationales, puis le répartir dans les pays où ces entreprises ont leurs activités.

    3. La fin de la course au moins-disant fiscal

    Il est temps d’en finir avec cette pratique, qui consiste pour un État à adopter une législation fiscale la moins contraignante afin d’attirer les entreprises étrangères et les capitaux étrangers sur son territoire. Nous plaidons pour la fin du nivellement par le bas des impôts des multinationales par la multiplication d’incitations fiscales et la baisse de l’impôt sur les sociétés.

    4. La création d’un organisme fiscal international à l’ONU

    Pour que les Etats du Nord ne soient plus les seuls vainqueurs du système, nous plaidons pour la création au sein des Nations Unies, d’un organisme où tous les États sont représentés sur un pied d’égalité et permettre des réformes fondamentales du système fiscal.

    5. La protection des lanceurs et lanceuses d’alerte

    Celles et ceux qui prennent des risques pour dévoiler des informations nécessaires à l’intérêt général, doivent être protégés. Nous plaidons une meilleure protection des lanceurs et lanceuses d’alerte.

    Rejoignez-nous ! 

    Luxleaks, Panama et Paradise Papers …. le courage de lanceurs et lanceuses d’alerte, et le travail des journalistes, ont permis de lever le voile sur ces pratiques massives d’évasion fiscale.

    Mais le combat continue ! Rejoignez-nous pour vous former aux enjeux de la justice fiscale et participez à nos actions de mobilisation !

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    actualités de la campagne

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    Anniversaire des Panama papers et guerre en Ukraine

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    Évasion fiscale : 7 mythes autour de la taxation des multinationales

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    28 octobre 2021

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    Paradise papers : les paradis fiscaux, comme l’île Maurice, sont une entrave aux droits humains (témoignage)

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    7 novembre 2017

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    Aidons l’argent à quitter les paradis fiscaux !

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  • Impunité des multinationales : Reprenons le pouvoir !

    Journée internationale des droits des femmes

    Le 8 mars la Terrre entière célèbre la Journée internationale des droits des femmes. C’est l’occasion pour le CCFD-Terre Solidaire de rendre hommage à ces femmes qui œuvrent sans relâche pour un monde plus solidaire.

    © Roberta Valerio

    60 millions de personnes supplémentaires

    souffrent de la faim depuis cinq ans
    © Roberta Valerio

    Les multinationales se partagent le monde

    5 cas emblématiques

    © Canva

    Vattenfall en Allemagne

     

    Après la catastrophe nucléaire de Fukushima en mars 2011, l’Allemagne décide d’amorcer sa sortie du nucléaire. Le gouvernement allemand prévoit une fermeture progressive des centrales nucléaires d’ici 2022, une décision validée par le Bundestag.

     

    En 2012, s’estimant lésé par cette décision, le géant de l’énergie suédoise, Vattenfall réclame 4,7 milliards d’euros à l’Allemagne pour compenser la perte de profits, due à la fermeture de deux de ses centrales nucléaires, en ayant recours à l’ISDS.

    Le  drame du Rana Plaza au Bangladesh

     

    Le 24 avril 2013, le Rana Plaza, un immeuble abritant 6 usines textiles principalement pour compte de la grande distribution européenne et nord-américaine, s’effondre. Le drame fait 2 000 blessés et cause la mort de plus de 1 138 ouvrières. Alors que d’inquiétantes fissures étaient apparues quelques jours auparavant, les menaces de licenciement de la part des employeurs ont contraint les ouvrières à venir travailler malgré les risques.

     

    Après des mois de forte mobilisation internationale, les multinationales, dont la présence était avérée parmi les clients de l’usine, participent enfin à un fond de dédommagement sans pour autant reconnaître leur part de responsabilité ce fond est loin d’être suffisant pour indemniser convenablement les victimes.

    © CCFD-Terre Solidaire

    Le pouvoir des multinationales en Argentine

     

    En 2001-2002, l’Argentine est frappée par une importante crise économique et financière. En moins d’un an, 5 présidents se succèdent à la tête du pays, la dette s’élève à plus de 140 milliards de dollars et 57 % de la population vivent sous le seuil de pauvreté.

     

    Le gouvernement est contraint de mettre en place des mesures d’urgence de sortie de crise comme le gel des tarifs de l’eau et de l’électricité ainsi que la dévaluation de sa monnaie. Mais de nombreuses multinationales comme : Suez, Total, EDF, France Telecom ou encore Vivendi, attaquent l’État en ayant recours à l’ISDS pour obtenir des compensations financières. Fin 2014, le gouvernement a été est contraint de payer 980 millions de dollars de dédommagement aux multinationales.

    © Canva

    Chevron en Equateur

     

    Après 26 ans d’exploitation pétrolière, l’entreprise américaine Chevron quitte l’Équateur en 1993, laissant derrière elle, en pleine Amazonie, un millier de fosses remplies de pétrole brut et de boues d’épuration toxiques. L’entreprise est responsable du déversement de plus de 68 milliards de litres d’eaux usées toxiques dans les rivières, causant des dommages environnementaux irréversibles et des maladies graves au sein des populations locales.

     

    En 2011, Chevron est condamné par la Cour suprême à reverser 9,5 milliards de dollars de dommages et intérêts. L’entreprise refuse de payer et poursuit en retour l’Équateur pour manque à gagner en ayant recours à l’ISDS. Le 30 août 2018, la Cour permanente d’arbitrage de La Haye statue en faveur de Chevron et condamne même l’Équateur à indemniser l’entreprise pour les dommages causés par les poursuites judiciaires.

     

     

     

    © Canva

    Cargill au Mexique

     

    En 2009, le Mexique est condamné par une Cour d’arbitrage internationale à verser 77,3 millions de dollars au géant de l’agroalimentaire Cargill, pour avoir mis en place des mesures de lutte contre l’obésité.

     

    Quel délit mérite une telle punition ? La mise en place par le gouvernement mexicain d’une taxe sur le sirop de fructose, afin de lutter contre l’obésité et de protéger l’industrie mexicaine du sucre de canne et ses milliers d’emplois face au sirop états-unien. L’entreprise Cargill, qui produit du sirop de maïs contenant du fructose, a utilisé comme recours l’ISDS intégré dans le traité de libre-échange nord-américain (ALENA).

    Lancement d’un programme genre et climat

    Le CCFD-Terre Solidaire lance avec ses partenaires (WoMin, ACORD Rwanda), le 8 mars, le programme FACE – Féministes pour des Alternatives Climat et Environnement. Soutenu par l’Agence française de développement, ce programme a pour objectifs de sensibiliser, former et de mettre en réseau des actrices locales et de porter des alternatives concrètes d’organisations des sociétés civiles sur les droits des femmes et la crise climatique. D’une durée de 4 ans, le programme couvrira 14 pays en Afrique et devrait toucher entre 800 et 1000 organisations féministes soit 20 000 à 25000 femmes.

    Assister au webinaire de lancement

     

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    Nous demandons à l’Union Européenne et à ses Etats membres

    de mettre fin à ces privilèges en révoquant les clauses d’arbitrage entre investisseurs et États des accords de commerce et d’investissement en vigueur.
    de soutenir les négociations en cours aux Nations Unies en vue de l’adoption d’un traité contraignant relatif aux entreprises multinationales et aux droits humains, mettant fin à leur impunité.
    d’inscrire dans leurs législations des obligations contraignant les entreprises transnationales à respecter les droits humains et l’environnement dans leurs activités et opérations dans le monde entier.

    Sur le terrain

    nos partenaires agissent

    RHK

    Mali – RHK

     

    Le Réseau d’horticulteurs de la région de Kayes (RHK) dans le sud-ouest du Mali est un collectif d’organisations paysannes engagées dans l’agroécologie et le développement rural. Son objectif est de diffuser des pratiques agroécologiques : utilisation de traitements naturels et de semences locales et traditionnelles, fertilisation des sols avec du compost et de la fumure organique…

     

    RHK mène également des actions de promotion de l’agroécologie en organisant des journées de l’alimentation où experts, chercheurs, autorités locales se rencontrent et échangent sur les pratiques.

    Sunspirit

    Indonésie – Sunspirit

     

    Fondé en Indonésie en 2005, Sunspirit for Justice and Peace met en lien les mouvements de la société civile avec les autorités économiques et institutionnelles afin de changer le partage du pouvoir. Il négocie avec eux les conditions d’un nouveau modèle de développement durable, écologique et juste.

     

    Depuis 2015, Sunspirit intervient dans le Parc National de Komodo – réserve naturelle inscrite au Patrimoine mondial de l’Unesco où vivent les fameux varans de Komodo. Elle soutient les communautés qui y habitent dans leur lutte contre les mégaprojets d’investissement touristique.

    CPT

    Brésil – CPT

     

    La Commission Pastorale de la Terre (CPT) a été créée en 1975 dans la région amazonienne avec le soutien de l’Église catholique. Son rôle est de soutenir les paysans les plus démunis, victimes de conflits fonciers et de violences, pour leur permettre d’accéder à la terre, de vivre dans des conditions dignes, de s’organiser et de se défendre.

     

    La CPT exerce une pression sur le gouvernement hostile au partage des terres et fervent soutien de l’agrobusiness. Elle a ainsi poussé l’État brésilien à développer une politique d’éradication du travail esclave. Depuis 1995, on estime que près de 55 000 esclaves ont été libérés.

    FTDES

    Tunisie – FTDES

     

    Le Forum Tunisien pour les Droits Économiques et Sociaux appuie des mouvements sociaux et des communautés dont les droits économiques et sociaux ne sont pas respectés. Le FTDES rend visible leurs problèmes et leurs mobilisations. Il les accompagne pour revendiquer leurs droits au niveau local et national. Il fait lui-même du plaidoyer pour porter un autre modèle de développement en Tunisie.

     

    Au sein de son projet sur la justice environnementale, Le FTDES se mobilise pour le droit à l’eau notamment en milieu rural. 7 familles ainsi qu’une école rurale ont été raccordés grâce au projet justice environnementale du FTDES.

    FPFD

    Guinée – FPFD

     

    La Fédération des Paysans du Foutah Djallon (FPFD) est une organisation paysanne guinéenne présente à Mamou, Labé et Boké. Elle appuie le développement des filières de production de pomme de terre, oignon, tomate, riz et maïs.

     

    En 2019, la fédération a ainsi formé 3153 « paysans citoyens » aux pratiques agro-écologiques. Elle les aide aussi à se structurer en groupements et unions. Les paysannes et les paysans s’unissent pour mettre en place des pratiques agricoles durables (réduction des engrais chimiques, utilisation d’engrais organiques, etc.) et organiser leur développement.

    William Dupuy/CCFD-Terre Solidaire

    Radio Terre Solidaire  

    Jusqu’au 18 avril, la première webradio événementielle du CCFD-Terre Solidaire vous propose une large variété de programmes et de podcasts : des interviews, des directs, des témoignages…

    Je découvre la Radio Terre Solidaire
  • Rien n’arrêtera la solidarité, pas même les frontières

    Solidaires face aux frontières

     

    Depuis plus de 40 ans, le CCFD-Terre Solidaire se mobilise afin que migrer puisse être un choix et une chance pour toutes et tous. Par son action de solidarité internationale, nous œuvrons à ce que chacun puisse trouver dans sa patrie des conditions pour exister et vivre dignement.

     

    Nous soutenons près de 30 organisations locales, en France et à l’étranger, qui s’attachent à ce que les droits des personnes migrantes soient respectés tout au long de leur chemin migratoire. Chaque jour, nos partenaires et nos bénévoles mènent des actions, ici et là-bas, pour protéger et aider les personnes migrantes le long de leur exil.

     

    Avec nos partenaires, nous faisons vivre chaque jour une solidarité internationale que rien n’arrêtera, pas même les frontières.

    © Anne-Sophie Bisiaux

    2.7m

    d’euros dépensés pour le mur
    anti-migrants à Calais.

    216 km

    de murs construits par la Hongrie
    le long de ses frontières avec la Serbie.
    © Anne-Sophie Bisiaux
    © Patrick Bar

    Les migrations aujourd’hui

    L’Union Européenne et ses États membres mènent, depuis plusieurs années, des politiques migratoires toujours plus inhumaines et plus coûteuses.

    Plus de 1000 km de murs ont été érigés en Europe, et plus de 21 milliards d’euros sont prévus pour renforcer les frontières extérieures de l’Union Européenne d’ici 2027.

    Les politiques migratoires actuelles ont tué 34 000 personnes ces 20 dernières années. Elles sont mortes en mer, en tentant de traverser une frontière, ou encore dans les centres de rétention.

    Ces politiques migratoires sont dictées par l’Europe et des pays comme les États-Unis, or le dialogue avec des pays considérés comme plus pauvres sur ces enjeux cruciaux est quasi inexistant. Pourtant, 85% des réfugiés ont trouvé protection dans un pays en développement.

    Nos convictions

    Il nous appartient aujourd’hui de changer les mentalités, de bousculer les politiques actuelles et de nous engager pour le renforcement des valeurs de solidarité aux frontières.

    Nous plaidons pour l’application d’une gouvernance alternative des migrations qui permettrait à tous les Etats de coopérer pour définir des politiques migratoires plus justes. Nous soutenons des organisations partenaires locales basées dans le monde entier qui mènent des actions variées en faveur de la protection et de la défense des droits des personnes migrantes.

    Soutenir ces pluralités d’actions fait notre force. Le travail commun est la clé du changement.

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    Nous demandons aux Etats :

    De tous coopérer entre eux pour mettre en place des politiques migratoires plus justes en n’excluant aucun pays du dialogue.
    De mettre en place des politiques migratoires plus respectueuses des droits humains.

    Sur le terrain

    Nos partenaires agissent

    MEXIQUE

     

    SMR (Scalabrin Ianas Mision Para Migrantes)

     

    La congrégation des sœurs Scalabriniennes  a notamment spécialisée son action en faveur des personnes migrantes victimes de délit (du crime organisé) et potentiellement bénéficiaires du visa humanitaire mis en place depuis 2011.

     

    BRÉSIL

     

    CDHIC (Centro de Direitos Humanos e cidadania do imigrante)

     

    L’association entend contribuer à influencer les politiques migratoires au niveau national et régional. Elle assure un suivi des flux migratoires, des conditions de migration et des politiques publiques pour mesurer leurs conséquences directes sur les personnes migrantes.

    FED © Patrick Chesnet

    THAÏLANDE 

     

    FED (Foundation for Education and Development)

     

    FED oeuvre à défendre les droits des travailleurs migrants birmans, vivant en Thaïlande. Alors qu’ils seraient près de 5 millions, la plupart d’entre eux ne sont pas enregistrés légalement. FED mène également des actions d’éducation, de prévention santé et d’appui administratif et juridique pour les personnes migrantes.

    NIGER 

     

    AEC (Alternatives Espaces Citoyens) au sein du réseau Sahel – Mahreb

     

    Les personnes migrantes qui traversent le désert saharien, font face à de nombreuses violences et à une déshérence totale. Le Réseau Maghreb-Sahel, composé de nombreuses ONG de différents pays, oeuvrent à l’amélioration de leurs conditions de vie et à faire reconnaître leurs droits.

    FRANCE

     

    ANAFE (Association Nationale d’Assistance aux Frontières pour les étrangers)

     

    L’Anafé agit en faveur des droits des personnes en difficulté aux frontières et en zone d’attentes. Aux frontières extérieures et intérieures, l’Anafé œuvre pour que les droits fondamentaux des personnes exilées soient respectés et que la France applique ses engagements nationaux, européens et internationaux en matière de protection des personnes vulnérables.

     

    MAROC

     

    ABCDS

     

    Le département Migration et Droits Humains d’ABCDS œuvre pour le respect de la dignité des personnes migrantes marocaines et étrangères, à travers notamment, le soutien humanitaire et juridique, le plaidoyer et la sensibilisation. Une cellule d’assistance aux personnes migrantes subsahariennes sans papiers est mise en place dans à la frontière algérienne pour faire valoir leurs droits.

  • Justice climatique : Stop compensation carbone

    Non aux fausses solutions pour le climat

    Face au dérèglement climatique, les multinationales rivalisent de fausses solutions sur leur neutralité carbone. Comment ? En plantant des arbres plutôt qu’en réduisant significativement leurs émissions de gaz à effet de serre.

     

    Non, planter des arbres à l’autre bout du monde ne diminue pas l’impact des activités des plus gros pollueurs.

     

    Oui, cela a des conséquences dévastatrices sur les populations les plus vulnérables et l’environnement.

    1.5°C

    c’est la limite qui sera franchie dans 10 ans

    67 %

    de hausse d’émissions de CO2
    dans le monde entre 1990 et 2018.
    © William Dupuy

    Nos convictions

    Les dérèglements climatiques révèlent l’impasse de notre modèle de développement.

    L’eau, la terre, les forêts et l’air sont des biens communs trop précieux pour les laisser entre les mains de la finance et des multinationales.

    Nous défendons une justice climatique fondée sur l’équité, la solidarité et le respect des humains.

    © Ophélie Chauvin

    Rejoignez le mouvement !

    #StopCompensation 

    Téléchargez le kit de mobilisation

    Nos revendications pour une justice climatique

    Pendant la COP 26, demander le retrait du secteur des terres de l’Article 6 de l’Accord de Paris. Nos terres doivent rester en dehors des mécanismes de compensation carbone et des marchés financiers.
    Privilégier des politiques de réduction des émissions de gaz à effet de serre, plutôt que des fausses solutions comme la compensation carbone.
    Soutenir les initiatives citoyennes, ici et là-bas, qui construisent une vraie transition écologique, sociale, alimentaire et économique.

    Partout dans le monde, nos partenaires se mobilisent pour dénoncer l’impact des programmes de compensation carbone.

    Quelques exemples

    Les femmes qui nous inspirent

    Portrait d'Ayineth Perez © CINEP / CCFD-Terre Solidaire

    Terre et paix, l’épopée d’Ayineth en Colombie

    Ayineth Perez est l’une de ces centaines de milliers de Colombiennes qui n’ont pas pu récupérer leurs propriétés suite à la guerre qui a fait fuir les civils. A la tête de l’Ong colombienne Tierra y Paz, elle fédère les femmes et les paysans pour les aider à récupérer leurs terres. Et accéder enfin à la paix.

    Lire le portrait.

    Au Burundi Dacia lance une plateforme pour lutter contre la haine

    Dacia Munezero a fondé la plateforme Yaga pour contribuer à la lutte contre les rumeurs et les préjugés, et créer un espace de dialogue favorable à la consolidation de la paix dans son pays.

    Lire le portrait.

    Jocelyne Colas © Véronique de la Martinière/CCFD-Terre Solidaire

    En Haïti Jocelyne démêle les fils de la paix

    Dans une société Haïtienne frappée par la déliquescence, Jocelyne Colas fait partie de ces personnes qui n’ont pas baissé les bras. A la tête de la commission Justice et Paix d’Haïti, elle défend les prisonniers, lutte contre l’impunité et milite pour une justice forte et équitable.

    Lire le portrait.

    Liu figure du Mouvement des Sans Terre au Brésil

    Lucineia, souvent surnommée Liu, est l’une des nombreuses femmes sans terre qui se battent contre la violence et la pauvreté au Brésil. Elle est aujourd’hui devenue l’une des dirigeantes du Mouvement des Sans Terre qui regroupe 350 000 familles.

    Lire le portrait.

    © Gwenn Dubourthoumieu

    F.A.Q : Pourquoi cette campagne ?

    Bruxelles inondée, 50 °C au Canada … Les effets du dérèglement climatique sont de plus en plus visibles et affectent les populations du Sud comme du Nord.

    Le CCFD-Terre Solidaire et ses partenaires, eux-mêmes témoins des ravages du réchauffement climatique, se mobilisent face à cette urgence. Leur objectif est de promouvoir des alternatives tournées vers l’écologie, la justice sociale et climatique.

    À l’occasion de la COP26 qui se tiendra à Glasgow du 31 octobre au 12 novembre 2021, le CCFD-Terre Solidaire sera présent pour faire entendre la voix des populations les plus affectées.

    Bénévoles et partenaires unissent leurs forces pour porter cette campagne à travers de nombreuses mobilisations, partout en France et à l’international.

    La neutralité carbone est l’équilibre entre les émissions de gaz à effet de serre (GES) et leur absorption par les “puits de carbone”. Ces derniers sont des réservoirs qui stockent (ou séquestrent), de façon naturelle ou artificielle, le carbone présent dans l’atmosphère.

    Atteindre cette neutralité, c’est répondre à l’objectif du “zéro émission nette”, soit :
    1 tonne émise – 1 tonne séquestrée = 0 émission.

    Et cela passe par deux leviers :

    1. réduire une partie des émissions à la source
    2. compenser les autres par la séquestration du carbone

    Mais comme aucune répartition claire entre les deux n’a été définie, les entreprises misent essentiellement sur la compensation carbone pour atteindre cet objectif de neutralité.

    Pour atteindre les objectifs de neutralité carbone, la compensation carbone est érigée comme la solution par de nombreuses multinationales.

    Le mécanisme est simple : il consiste à compenser ses émissions de GES en finançant des projets de séquestration ou de réduction d’émissions de CO2.

    Ainsi, sur les marchés carbone, les pollueurs peuvent acheter des “crédits carbone” aux bons élèves pour contrebalancer le CO2 qu’ils ont émis.

    Sans être “mal”, planter des arbres pour compenser les émissions de GES est loin d’être une solution suffisante et présente de nombreuses limites :

    • Seules les émissions de CO2 peuvent être compensées. Et même pour cela, il faudrait planter beaucoup d’arbres pour compenser l’ensemble de nos émissions. Cela nécessite des millions d’hectares et de nombreuses années avant que les arbres atteignent leur taille adulte et puissent accumuler l’équivalent du carbone émis. Pour aboutir, ce mécanisme nécessite du temps et de l’espace que nous n’avons plus.
    • Le CO2 provenant des activités humaines s’ajoute à celui qui circule déjà naturellement dans l’atmosphère. Or, les arbres ont une capacité d’absorption limitée et les effets d’une sur-absorption peuvent avoir des conséquences désastreuses sur la biodiversité.
    • Dès lors qu’un arbre brûle ou se décompose, il rejette automatiquement dans l’atmosphère l’ensemble du carbone qu’il séquestre. Or, comme nous avons pu le constater cette année, les dérèglements climatiques engendrent une hausse du nombre d’incendies forestiers.

    La compensation est donc un processus lent, soumis aux aléas de la biodiversité en même temps qu’il la met en danger, et nous détourne des enjeux vitaux de préservation des forêts primaires et de réduction des émissions de CO2.

    La compensation carbone – soit prétendre “gommer” ses émissions en plantant des arbres – est un leurre pondu par les lobbies des multinationales pour maintenir leurs activités tout en donnant l’impression de “faire leur part pour le climat”.

    • Scientifiquement, ce n’est pas une solution viable : aucune étude sérieuse ne démontre que le carbone est durablement capté par les arbres ou dans les sols. De plus, une tonne de gaz émise n’équivaut pas à une tonne de gaz “compensée”.
    • La compensation carbone ne peut pas être une fin en soi  : elle doit se faire en complément d’une réelle politique de réduction des émissions de gaz à effet de serre plutôt que de s’en détourner.

    De nombreuses multinationales, avec la passivité ou la complicité des Etats, s’accaparent des milliers d’hectares de terres agricoles fertiles et nourricières, pour mener des projets de compensation carbone.

    • Sur le plan des droits humains et de la biodiversité, les conséquences de l’accaparement de ces terres sont nombreuses et irréversibles : une mise à mal de la souveraineté alimentaire ; des populations et des communautés agricoles chassées de leurs terres et privées de leurs ressources, parfois dans la plus grande violence.
    • Sur le plan écologique, la séquestration du carbone dans les sols, mais aussi dans les mers, menace de bouleverser ou de détruire irrémédiablement les écosystèmes.

    Les populations qui polluent le moins sont celles qui payent le prix fort de la compensation carbone.

    Les pays du Sud subissent déjà les revers de l’hyper-pollution des pays du Nord. Avec le mécanisme de compensation carbone, ils deviennent en plus “la poubelle à carbone” des gros pollueurs qui s’accaparent leurs terres pour séquestrer leurs émissions.

    Et cela, dans des conditions injustes : le rachat des terres se fait bien souvent sans que les populations concernées n’aient leur mot à dire où qu’elles n’en voient la couleur, surtout dans les pays où règne la corruption.

    Pendant ce temps, les Etats se dédouanent de toute responsabilité économique, sociale et civique. Ils entretiennent une politique d’abandon des souverainetés foncières et alimentaires.

    Ce mécanisme est aussi injuste pour les consommateurs soucieux d’être responsable dans leur consommation, qui sont finalement dupés par les grandes entreprises qui transforment une pratique écologiquement douteuse en un argument marketing, proche de la publicité mensongère.

    En plus d’accentuer les inégalités sociales et environnementales, la pandémie de la COVID-19 a montré l’urgence de transformer nos modes de production et de consommation pour limiter le réchauffement climatique.

    Plutôt que de réformer en profondeurs nos systèmes, les Etats et les principaux pollueurs optent pour la politique de l’autruche en favorisant de fausses solutions pour le climat.

    En effet, depuis l’Accord de Paris, les objectifs de “neutralité carbone” fleurissent chez nombre d’acteurs. Pourtant, les mécanismes promus pour y répondre interrogent et inquiètent.

    D’une part, la mise en place de politiques et de financements publics réduisant réellement les émissions de GES dans les secteurs les plus émetteurs (énergie, industrie, aérien). Et non des mesures qui, en quelque sorte, cachent sous le tapis les émissions de gaz dues à l’activité humaine. Compenser ce n’est pas réduire.

    D’autre part, ces mesures doivent intégrer une protection des droits humains et des écosystèmes, en incluant des garde-fous stricts et en créant une instance indépendante pour déposer des plaintes en cas de problème.

    Enfin, une aide au développement de systèmes productifs locaux et territoriaux, sobres en carbone et porteurs d’une vraie transition écologique, sociale, alimentaire et économique.

    Le CCFD-Terre Solidaire a mis les terres nourricières au centre de son action et milite pour qu’elles soient absolument exclues des mécanismes de compensation via les marchés carbone de l’Accord de Paris.

    Pour réduire l’impact du secteur agricole et aider les agriculteurs à s’adapter au changement climatique, il est nécessaire d’adopter une transition vers l’agroécologie paysanne et solidaire.

    C’est-à-dire, la promotion de systèmes alimentaires qui intègrent toutes les dimensions – sociétale, économique, politique, environnementale – au-delà des seules pratiques agricoles.

    Promouvoir l’agroécologie, c’est soutenir :

    • la protection de la biodiversité
    • la gestion démocratique des territoires et de leur ressource
    • l’égalité femme-homme, l’agriculture familiale et les droits des populations paysannes, qui sont en première ligne de la lutte contre la faim dans le monde

    C’est pourquoi, le CCFD-Terre Solidaire est mobilisé depuis 60 ans, aux côtés de celles et ceux qui œuvrent pour fonder un nouveau modèle de développement et encourager les acteurs politiques et privés à faire de même.

  • Crise alimentaire : Le virus affame

    Actualisation 2022

    S’ajoutant à la pandémie de COVID-19, la guerre en Ukraine a des conséquences dramatiques pour la sécurité alimentaire dans le monde entier. Suivez l’évolution de la situation sur notre Journal de bord de la crise alimentaire

     

    D’ici fin 2020, jusqu’à 130 millions de personnes supplémentaires pourraient souffrir de sous-alimentation en raison des impacts sociaux et économiques de la pandémie sur les 5 continents.

     

    Depuis 60 ans, le CCFD-Terre Solidaire lutte contre l’insécurité alimentaire pour un monde plus juste dans 70 pays. Ensemble, ne laissons pas la pandémie sanitaire se transformer en pandémie de la faim.

    © CANVA

    L’impact du Covid 19 sur la crise alimentaire

    5 années cumulées

    c’est l’équivalent de l’augmentation
    du nombre de personnes souffrant
    d’insécurité alimentaire en 2020.

    130 millions

    de personnes souffriront de la faim
    à cause de la pandémie, d’ici fin 2020.
    © CANVA
    © Eric Garault

    La pandémie de la faim

    En quelques mois, la crise sanitaire a augmenté le nombre de personnes souffrant de la faim dans le monde, notamment dans les pays où l’État ne peut pas protéger les populations.

    La faim, qui faisait déjà souffrir 690 millions de personnes dans le monde avant la crise du coronavirus, n’est pourtant pas une fatalité. Des solutions existent !

    Nos convictions

    Plutôt que de supporter un système productif industriel qui détruit les ressources naturelles, exploite les paysans, chasse les communautés de leurs terres, et encourage les conflits, nous pouvons tous ensemble, faire le choix de l’agroécologie pour soutenir des modèles agricoles plus respectueux des droits humains et de l’environnement.

    Il est temps que la communauté internationale apporte des solutions concrètes et convenables pour répondre à l’urgence de la crise qui précipite des milliards de personnes en état de précarité alimentaire et économique.

     

    Sur le terrain

    Nos partenaires agissent

    Brésil

     

    Alors que la Covid-19 a déjà fait plus de 150 000 morts au Brésil, plus de 15 millions de personnes sont sur le point de basculer dans l’extrême pauvreté.

     

    Le Mouvement des Sans Terre (MST), soutenu par le CCFD-Terre Solidaire, se mobilise pour apporter de l’aide aux plus démunis.

    Haïti 

     

    En Haïti, la pandémie vient aggraver la situation d’un pays déjà fragilisé par des décennies de crises socio-politiques et de catastrophes naturelles. Aujourd’hui, 42 % de la population est en situation d’urgence alimentaire.

     

    Dans ce contexte, les actions de prévention et de soutien à la relance de la production agricole de nos partenaires locaux sont essentielles pour soutenir la population.

    Liban 

     

    Au Liban, la pandémie s’ajoute à une crise financière, économique et politique, entrainant une crise alimentaire sans précédent.

     

    Avec travers le projet “nos semences sont nos racines”, notre réseau partenaire, Buzuruna Juzuruna  s’engage en faveur d’une agriculture et d’une alimentation durable au Liban.

    © Catalina Martin-Chico

    Rejoignez-nous !

    La crise mondiale que nous traversons nous montre à quel point, d’un bout à l’autre de la planète, nous sommes liés. Vous aussi vous souhaitez agir pour une plus grande solidarité et une plus grande humanité ?

    Rejoignez notre combat en faveur de la souveraineté alimentaire !

    Je m’engage
  • Enterrons l’accord UE-Mercosur

    Pour les droits humains et le climat abandonnez l’accord UE-Mercosur !

     

    Après 20 ans de négociation, l’accord UE-Mercosur est conclu en juin 2019. Celui-ci vise à libéraliser le commerce entre l’Union Européenne et les pays du Mercosur (Brésil, l’Argentine, le Paraguay et l’Uruguay).

     

    Mais cet accord est surtout la promesse du renforcement du secteur de l’agro-industrie, et de menaces pour les défenseurs des droits humains et de l’environnement dans les pays du Mercosur, en l’absence de tout débat public.

     

    Vous trouvez cela juste ? Nous non plus !

     

    Aux côtés de Greenpeace et de nos partenaires locaux, nous nous mobilisons pour que l’État français cesse d’ignorer les alertes, tant des écologistes que des acteurs du monde agricole, et se retire de cet accord lourd de conséquences pour le climat, la biodiversité et les droits humains.

    © Canva

    780 millions

    de personnes concernées par
    les conséquences de cet accord.

    40 à 45 Mds

    d’euros d’importations et d’exportations,
    c’est le volume d’échanges
    couverts par cet accord.
    © Canva
    Photo d’illustration © Canva

    L’accord UE-Mercosur est le plus important accord de libre-échange conclu par l’Union européenne.

    Avec cet accord, l’Union européenne s’apprête à accorder un chèque en blanc aux multinationales pour faire exploser le commerce transatlantique entre ces deux régions, aux dépens de toute considération sociale et environnementale.

    Enfants Madiha © Eric Garault/CCFD-Terre Solidaire

    Nos convictions

    Alors que la transition de notre modèle économique est plus que jamais nécessaire pour assurer la justice sociale et climatique, cet accord promet d’accroître des dynamiques mortifères.

    Mobilisons-nous contre le risque de voir l’accord ratifié par le Conseil de l’Union Européenne ! 

    Quelles sont les risques de l’accord UE-Mercosur pour le climat ?

    Explosion des quotas de bœuf, de soja destiné à l’alimentation animale et d’éthanol importés, avec un impact direct sur la déforestation.
    Levée des droits de douane sur les pesticides vendus par les Européens, pour une utilisation encore plus massive dans les pays du Mercosur.

    Quelles sont les risques de l’accord UE-Mercosur pour les droits humains ?

    Pression massive sur les territoires autochtones et les écosystèmes dans les pays du Mercosur.
    Absence de mécanisme permettant aux populations affectées par les activités des entreprises d’obtenir justice devant les tribunaux.
    © Ana Carolina de Lima

    Protégeons les forêts, les droits humains et le climat!

    ”

    Pour s’opposer à cet accord UE-Mercosur dont l’impact sur les forêts, le climat et les droits humains serait désastreux, des actes sont nécessaires. Monsieur le Président Emmanuel Macron, vous devez vous y opposer et vous assurer que cet accord de commerce négocié entre l’Union européenne et le Mercosur soit rejeté par les États membres de l’UE et définitivement enterré.

    “

    Soutenez notre Lettre ouverte au Président.

    Sur le terrain

    Nos partenaires témoignent

    Paraguay

     

    “De plus en plus de communautés autochtones sont affectées par l’avancée de l’agroindustrie. La situation est particulièrement tendue dans les départements frontaliers avec le Brésil et l’Argentine.

     

    C’est une expansion sauvage et très violente, sans les moindres précautions et restrictions. Nous avons toutes les raisons de craindre une aggravation de la situation”. 

     

    Guillermo Ortega, Base-IS  

    INCUPO © Floriane Louvet

    Argentine 

     

    “L’Argentine est déjà l’un des plus gros consommateurs de pesticides, une folie sanitaire et environnementale, une irresponsabilité totale. 

     

    Et l’accord qui vise à dynamiser les exportations de grains, viande ou éthanol de canne à sucre vers l’Europe, va étendre la frontière agricole et démultiplier la contamination chimique et sanitaire”. 

     

    Juan Carlos Figueredo, INCUPO

    Au Brésil, soutenir les peuples autochtones

    Brésil 

     

    “Nous redoutons fort de voir des entreprises européennes concurrencer l’agriculture familiale, qui nourrit le pays. 

     

    L’accord va inciter à l’accroissement des productions agricoles destinées à l’exportation (soja, éthanol de canne à sucre, viande bovine). Ces cultures détruisent l’agriculture familiale, génèrent de la déforestation et utilisent massivement les pesticides”. 

     

    Maureen Santos, FASE 

    Expertise

    Nos rapports

    Tous les rapports
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    Accord Mercosur : les risques pour le climat et les droits humains

    Nous publions avec Greenpeace une nouvelle étude qui détaille point par point les risques majeurs (…)

    16 septembre 2020

    En savoir plus
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    16 septembre 2020

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  • Campagne Carême 2020

    Le temps des solutions

     

    La crise sanitaire que nous traversons ne connaît pas de frontière et nous fait craindre le pire pour les populations qui n’auront pas les moyens de se soigner et de mettre en place des mesures préventives.

     

    Engagés dans la lutte contre les causes de la faim et la préservation de la planète avec les organisations ou les communautés locales dans plus de 60 pays, nous sommes témoins de l’urgence de la situation.

     

    Heureusement, aucune pandémie n’a vaincu l’espérance !

    © William Dupuy

    1/3 

    des émissions de gaz à effet de serre
    provient du système agricole actuel.

    70 % à 90 %

    de la déforestation est due
    aux plantations industrielles.
    © William Dupuy
    © Gwenn Dubourthoumieu

    Changer de système agricole et alimentaire : une nécessité vitale 

    La crise sanitaire sans précédent que nous vivons, nous rappelle l’urgence de sortir de ce système industriel mondialisé pour nous tourner vers des modèles alternatifs plus respectueux et capables de nourrir toutes les populations.

    Urgence de revoir nos modèles de production et de consommation. Urgence de repenser notre système agricole et alimentaire. Urgence surtout de proposer des solutions qui existent et qui ont fait leur preuve.

    semence2.jpg

    L’heure de l’agroécologie a sonné

    A l’œuvre auprès des 500 organisations partenaires locales que nous soutenons sur les différents continents, nous nous mobilisons pour promouvoir un modèle de production durable, résilient et respectueux de l’environnement et des droits humains.

    L’agroécologie paysanne et solidaire : seule solution capable de nourrir les populations tout en respectant la planète et les droits humains.

    avec le CCFD – TERRE SOLIDAIRE

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    Sur le terrain

    Nos partenaires agissent

    Lucero

    CPT (Pérou)

     

    Lucero travaille pour la Pastorale de la Tierra (CPT) au Pérou. Elle coordonne des programmes de développement de techniques agricoles agroécologiques au Pérou, auprès des populations paysannes.

     

    Grâce à ces actions, la vie des populations s’est améliorée, et la souveraineté alimentaire revient.

    François

    Acord au Rwanda (RWANDA)

     

    François travaille pour l’association “Acord au Rwanda”, qui met en place des programmes de développement de techniques agricoles agroécologiques au Rwanda.

     

    Grâce à ces actions, la vie des paysans Rwandais s’est améliorée, et le gouvernement a même accepté d’intégrer les technique d’agroécologie dans son plan de développement agricole.

    Théogène

    UWAKI (RDC)

     

    Théogène travaille pour l’association “Uwaki Nord Kivu”, qui met en place des programmes de développement de techniques agricoles agroécologiques en République démocratique du Congo.

     

    Grâce à ces actions, la vie des paysannes et des paysans s’est améliorée, les femmes retrouvent leur place dans les familles et la sécurité alimentaire revient.

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CCFD-Terre Solidaire (DPO)
4 rue Jean Lantier
75001 PARIS

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