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Dans Gaza asphyxiée, ils construisent l’espoir
« Nous avons vécu trois semaines d’angoisse. Le pire, c’était la nuit, entre 4 et 6 heures du matin. Le ciel était noirci de F16 et les tirs redoublaient. Nous attendions la levée du jour avec impatience. » Chargée de mission, je retourne dans la Bande de Gaza en février, un peu plus d’un mois après la fin de la guerre. J’y retrouve les cinq partenaires du CCFD*.