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  • Des filières en partie destinées au marché mondial

    En Colombie, l’essor considérable de filières d’agrocarburants est soutenu par des politiques impulsées au plus haut niveau de l’Etat. L’extension des monocultures d’huile de palme (biodiesel) et de canne à sucre (éthanol) s’accompagne pourtant de graves violations des droits humains et des territoires parmi les communautés noires, paysanne ou indigènes.

    (suite…)

  • Chanter pour ne pas mourir

    L’image aura marqué l’ensemble du groupe ayant visité la région du Magdalena Medio, au nord-ouest de la Colombie. A « Las Pavas », une communauté composée de 130 familles, cernée par les champs de palme, un vieil homme au visage émacié s’avance vers les membres de la délégation. Mauricio est l’un des plus anciens de la communauté. Il était déjà là avant que Pablo Escobar, le narco trafiquant le plus recherché au monde, vienne le déloger par la force pour y planter des feuilles de coca. Comme les autres, il a repris espoir lorsque « l’ennemi public n°1 » a été tué à Medellin, en 1993. Ses amis et lui allaient pouvoir revivre en paix sur leurs terres. C’était sans compter sur le « nouveau fléau » qui menace aujourd’hui des milliers de petits paysans colombiens : le développement de la mono culture de palme africaine, destinée à la production d’agro carburants. C’est tout cela qu’évoque Mauricio au milieu du cercle qui s’est formé autour de lui. Mais le vieil homme ne parle pas. Il chante. Dans un silence pesant, Mauricio entonne en effet les couplets qu’il a écrit et répété depuis qu’il a su « que des gens de l’extérieur » allait venir dans sa communauté. Des gens dont il attend beaucoup. « Vous devez expliquer à vos dirigeants quelle est notre situation ici. Vous devez leur raconter comment les grandes entreprises payent des milices armées privées pour nous menacer et nous faire partir, en nous assurant que si nous ne vendons pas, ce sont nos veuves qui vendront. Vous devez expliquer que nos enfants n’auront d’avenir que si nous pouvons continuer à vivre ici, en cultivant de quoi nous nourrir. » Des témoignages comme celui de Mauricio, chacun des membres des cinq délégations qui ont parcouru le pays en avait à profusion, en rentrant à Bogota. Familles déplacées, travailleurs exploités, leaders syndicaux menacés de mort, représentants des pouvoirs publics résignés devant la toute puissance d’un Etat colombien centralisé et étroitement lié à l’agro industrie… Les contacts avec les « institutionnels » (représentants de différents ministères, d’ambassades européennes et acteurs économiques) ont également permis, les deux derniers jours, de compléter une immersion sur le terrain qui a laissé des traces dans les cœurs et les esprits. Une mission de vérification internationale qui va désormais donner lieu à de nombreuses initiatives, notamment à l’égard de l’Union Européenne. C’est en tout cas ce qu’espère Mauricio, à Las Pavas. Une communauté qui, le 14 juillet dernier, soit moins d’une semaine après le passage de la délégation, a été expulsée de ses terres par la force. Ecouter Jean-Claude Gérez, journaliste

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  • Une vie brisée par une épine

    Jorge Roja n’a travaillé que trois semaines dans l’exploitation de palme de l’entreprise Brisas, près de la commune de Rejidor, dans le sud du département de Bolivar. La faute à une épine qu’il s’est profondément plantée dans l’œil gauche en janvier 2006, alors qu’il traitait l’arbre contre le « cucaron », un gros ver noir qui rentre dans le tronc et le dévore de l’intérieur. « C’était un palmier de 4 à 5 ans, d’une hauteur d’un mètre cinquante environ, se souvient Jorge. Pour traiter l’arbre, il faut d’abord faire un trou dans le tronc avec une perceuse puis planter une seringue et enfin injecter le produit. » C’est au moment où le jeune homme, 23 ans à l’époque, s’apprêtait à réaliser la dernière manipulation qu’il s’est blessé. « J’ai senti une douleur vive. Je savais que l’épine de la palme contenait un venin naturel et qu’il fallait agir vite. » Jorge a donc appelé son collègue le plus proche et lui a demandé de l’emmener jusqu’à l’usine de transformation où se trouvait la direction. « De là, je suis parti avec l’ingénieur responsable du site pour une consultation au poste de santé de San Alberto. » jorge-roja-j3.jpg Vu la gravité de la blessure, le médecin local l’a immédiatement orienté vers l’hôpital de Puerto Wilshes, la ville la plus proche. « J’y suis donc allé avec l’ingénieur et là-bas, j’ai reçu les premiers soins. » Rapidement les médecins expliquent à Jorge que pour sauver son œil, il va devoir subir une intervention chirurgicale. Coût de l’acte : 1,5 million de pesos (environ 500 euros, soit l’équivalent de 4 mois de salaire). Problème : l’entreprise refuse de prendre en charge l’opération, et va jusqu’à nier que l’ouvrier s’est blessé dans le cadre de son travail. « Dans un premier temps, l’ingénieur m’a assuré qu’il allait témoigner en ma faveur, affirme Jorge. Mais il a d’abord été menacé d’être lui-même licencié, avant d’être muté dans un autre département où l’entreprise possède d’autres sites de production. Depuis, je n’ai jamais plus reçu de ses nouvelles. » Ses collègues ? « Personne n’a vu l’accident et même si cela avaient été le cas, tout le monde a trop peur de perdre son emploi dans une région où il y a tant de chômage. » Alors Jorge s’est tourné vers un avocat pour qu’il prenne en charge son dossier. Mais au bout de quelques jours, ce dernier a abandonné l’affaire, prétextant que le cas était trop compliqué. « En fait il a été acheté par l’entreprise », soutient Jorge. Depuis, le jeune homme et sa famille ont contacté un autre avocat qui a bien voulu prendre son affaire en charge. Mais les choses traînent et l’entreprise n’a toujours pas reconnu qu’il s’agissait bien d’un accident du travail. Et refuse bien entendu de verser un quelconque dédommagement. En attendant, le jeune homme est toujours à la charge de sa famille et désespère chaque jour d’avantage de pouvoir enfin avoir une vie « normale ». Jorge dit ça d’une voix éteinte. En passant un mouchoir pour sécher la larme qui coule de son œil gauche. Assistante parlementaire de Daniel Cohn-Bendit, co-président du groupe vert au Parlement Européen, la franco-allemnande Annabelle Sack a été marquée par la dureté des conditions de vie des populations et la violence avec laquelle l’Etat Colombien réprime leurs revendications à pouvoir accéder à la terre et d’y vivre dignement. Ecouter l’entretien Jean-Claude Gérez, journaliste

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    Ecouter l’entretien
  • Chronique(s) d’un curé de campagne… Colombien

    Son auteur préféré, c’est Albert Camus. Mais quand il évoque la situation des fidèles de sa paroisse, c’est à Emile Zola que le Père Ubaldo Diaz fait volontiers référence. Fin lettré dans un corps robuste, visage d’indien au regard perçant, journaliste à ses heures… A 33 ans, dont dix de sacerdoce, le père de la paroisse de Rejidor, dans la région de Magdalena Medio, apprécie avant tout « l’aspect social » de son travail quotidien auprès des communautés où vivent les ouvriers agricoles qui travaillent dans les exploitations de palmes. Et à voir l’accueil dont il bénéficie en arrivant à Las Pavas, petit village de quelques centaines d’âmes, qui mène une lutte acharnée pour une terre que leur dispute une grande entreprise, on est surpris d’apprendre que le Père Ubaldo n’est là que depuis un an. « J’ai remplacé un prêtre qui avait reçu plusieurs menaces de mort parce qu’il soutenait les organisations de travailleurs ruraux, explique le Père Ubaldo Diaz. L’Evêque a donc jugé plus prudent de l’affecter au sein d’une autre paroisse et m’a demandé de le remplacer. » En lui assurant qu’il pourrait poursuivre le travail d’accompagnement des communautés paysannes. padre-ubaldo.jpg « Rapidement, j’ai rencontré le maire de la commune, largement soutenu par les entreprises de palme de la région. » Et on ne peut pas dire que le contact ait été franchement cordial. Surtout lorsque l’Edile lui a demandé de quoi il avait besoin pour la paroisse. « J’ai répondu de l’eau courante potable pas pour moi, mais pour les paroissiens, a répondu le prêtre. Mais j’ai surtout besoin de liberté de continuer le travail entamé par mon prédécesseur. » C’est d’ailleurs ce même désir de liberté qui a poussé à le Père Ubaldo à refuser la protection 24h/24 que lui proposait la police. Et ce, même lorsqu’on lui a rapporté des menaces dont il serait à son tour victime. En fait, rien ne semble pouvoir ébranler sa détermination. D’ailleurs, la réponse n’a pas tardé. « J’ai contacté un avocat et lui ai demandé d’étudier en détail les décisions de justice qui ont été prises à propos des terres qui entourent la communauté de Las Palmas. » Alors, en attendant que le Droit parle, le Père Ubaldo relate en détail les difficultés par lesquelles passent les fidèles de sa paroisse. Des textes qu’ils publient régulièrement sous forme de chroniques, dont certaines ont même été primées. Comme jadis, ses auteurs préférés. Coordinatrice du Programme Terre au sein du FIAN en Allemagne, une organisation qui travaille pour le droit à l’alimentation, Sonia Monsalve Suarez, évoque ses attentes mais aussi les émotions que lui procure la mission de vérification internationale qu’elle effectue dans son pays natal. Ecouter l’entretien

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  • A l’ombre des palmiers, un travail inhumain

    A l’ombre des palmiers, un travail inhumain Ca fait deux mois que Cesar Celi n’a pas travaillé. A une autre époque, ce grand gaillard de 25 ans, aurait presque éprouvé du soulagement de pouvoir souffler un peu entre deux récoltes de fruits du palmier à huile. « Les conditions de travail sont très dures, assure Cesar, qui a commencé à récolter la palme dès l’âge de douze ans. portraitcesar.jpg On passe des journées de 10 heures à tirer sur une perche pour couper des régimes juchés à huit ou 10 mètres et qui peuvent peser jusqu’à 25 kilos. » Résultat, après une vingtaine d’années d’activité, une majorité d’ouvriers de la palme souffrent d’hernies discales. Certains vont même jusqu’à exhiber de larges cicatrices épousant la ligne des lombaires, comme d’autres des médailles du travail. Heureusement, César lui n’a pas (encore) ce problème. En fait, ce qui inquiète le plus Cesar Celi, c’est que depuis quelques mois, l’activité de la palme a largement marqué le pas dans la région de Sogamasso, une commune cernée par des milliers d’hectares de palmiers à huile. La faute à une maladie qui attaque le tronc et qui les fait mourir en quelques semaines. L’épidémie est telle que certains propriétaires d’exploitation évoquent de plus en plus ouvertement leurs craintes de devoir renoncer à l’activité. Une aubaine, pourrait-on penser, pour les innombrables petits paysans de la région qui ont vendu leurs terres à de grands exploitants, souvent sous la menace de groupes paramilitaires. « Pas vraiment, souffle Cesar, car le palmier tisse des racines tellement larges et profondes, que c’est très long avant de pouvoir cultiver autre chose. » Alors en attendant, Cesar s’est reconverti. De coupeur, il s’est mué en diffuseur de produits pesticides. « Trois jours par semaine, je vais pulvériser des produits sur les arbres malades, dit-il. En attendant que l’activité reprenne. » Et en espérant surtout que les vapeurs de pesticides ne traverseront pas trop son masque de protection de toute façon inefficace. Enfin, quand il le porte. « Car à midi, avec 40 degrés, des fois, je l’enlève, admet-il. Parce que je n’arrive plus à respirer. » Quitte à inhaler un poison hautement toxique. Daniel Alfonso Leon est membre du CENSAT Agua Viva, une organisation colombienne membre des Amis de la Terre International. Il accompagne l’une des délégations de la mission internationale de vérification dans la région de Magdalena, au nord ouest du pays. Pour le CCFD, il explique quels sont les objectifs et les attentes de cette mission. Ecouter l’entretien Jean-Claude Gérez, journaliste

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  • Les participants

    Visites de terrain : Ces visites incluront des zones de monoculture de palmier à huile, mais également des plantations et des lieux de transformation de l’industrie de la canne à sucre. Zones proposées : A. Visite dans les territoires et communautés du Pacifique Sud, Tumaco (Nariño). B. Visite dans les territoires et communautés de Orinoquía (Meta y Vichada). C. Visite dans les territoires et communautés du Magdalena Medio-Sur de Bolívar. D. Visite dans les territoires et communautés de Curvaradó (Chocó). E. Visite dans les territoires et communautés de la vallée géographique du río Cauca. Rencontre avec les autorités et institutions colombiennes : Présidence de la République, Ministère de l’agriculture, INCODER (Institut Colombien pour le Développement Rural), Ministère de l’environnement, autorités judiciaires, autorités de l’église. Rencontre avec les organisations non gouvernementales : environnementalistes, droits humains. Rencontre avec les organisations sociales : syndicats, paysans, afro-colombiens, indigènes. Réalisation d’un acte central à Bogotá avec les ambassades. Lancement de livres, diffusion de vidéos et communication de presse. Participants par zone Zone A – Tumaco : • Stephane Compère – délégué belge – Ecoutez l’interview (2 min) • Thérèse Snoy – déléguée belge – Ecoutez l’interview (2 min) • Thuly Makama – délégué de Swaziland • Teo Balvé – délégué des USA • Jimena Sanchez – déléguée des USA • Juan Mejia – délégué mexicain Zone B – Meta et Vichada : • Patrick Piro – délégué français • Juan Giraldo – délégué des USA • Ajamu Baraka – délégué des USA • Eneias da Rosa – délégué du Brésil • Stefan Ofteringer – délégué allemand – Misereor • Louise Preston – délégué anglais • Dani Barrera – délégué espagnol Zone C – Magdalena Medio Sur de Bolivar : • Sofia Monsalve Suarez – déléguée espagnole • Monique Munting – déléguée belge – Ecoutez l’interview (2 min) • Annabelle Sack – déléguée française, assistante parlementaire du député Européen Daniel Cohn Bendit – Ecoutez l’interview (2 min) • Jean Claude Gerez – délégué français (journaliste) • Christine Renaudat – déléguée française (journaliste) • Torry Kuswardano – délégué indonésien • Armando Guerrero – délégué du Paraguay Zone D – Curvarado : • Kolya Abramsky – délégué Autriche • Alma Dewalshe – déléguée belge • Antoine de Ravignan – délégué français (journaliste) • Eros Sana – délégué français, assistant parlementaire du sénateur Mr Muller – Ecoutez l’interview (2 min) • Elisa Norio – déléguée italienne • July Hazelwood – déléguée des USA Zone E – Valle del Cauca : • Mr Christ – député français – Ecoutez l’interview (2 min) • Ambroise Mazal – délégué français, chargé de mission du CCFD-Terre Solidaire – Ecoutez l’interview (3 min) • Mia Watusi – déléguée indonésienne • Wendelle Ficher – délégué brésilien • Ignacio Cirio – délégué d’Uruguay • Janvieve Williams – délégué des USA • Rosbelinda Cardenas – déléguée mexicaine

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  • Les activités

    Les personnes faisant partie de la mission ont pu réaliser des interviews, participer à des réunions et échanger avec les populations affectées par ces agro-industries. La mission a pu également bénéficier des rapports d’organisations sociales, des autorités publiques et gouvernementales, des partis politiques, d’ONG environnementalistes et des droits de l’homme, des autorités ecclésiales, rencontrées lors de la mission.

    (suite…)

  • Les objectifs

    Dès 2007, le CCFD-Terre Solidaire a été interpellé par ses partenaires sur l’essor inquiétant d’une filière naissante, celle des agrocarburants. Les conséquences environnementales, sociales étaient dénoncées, mais également la concurrence de ces cultures énergétiques avec la production alimentaire, mettant en péril la souveraineté alimentaire de nombreux pays. Au même moment, l’Union Européenne réaffirmait sa volonté de se lancer dans un programme ambitieux, fixant un objectif obligatoire d’incorporation qui ne pourrait être atteint que grâce à des importations, incitant alors à l’expansion des monocultures d’agrocarburants au Sud.

    Forte de sa longue expertise en faveur du droit à l’alimentation et du développement pour les populations du Sud, le CCFD-Terre Solidaire a donc décidé de se mobiliser avec ses partenaires.

    (suite…)

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