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  • Un an après, CPL témoigne d’une situation très difficile à Gaza

    Un an après l’attaque israélienne “Bordure Protectrice” en juillet-août 2014 et les bombardements meurtriers de la population civile, la bande de Gaza est bien loin d’être reconstruite et souffre d’un blocus dramatique. Ses habitants, coupés du monde, manquent de tout et souffrent d’isolement et d’absence de perspectives d’avenir. L’association Culture et Pensée Libre (CPL) poursuit son travail auprès des femmes, des enfants et des adolescents pour leur offrir malgré tout des espaces de liberté et d’épanouissement, et contribuer à la construction d’une société civile. Dans des conditions de plus en plus difficiles.

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  • Les enfants de Gaza racontent

    C’est à l’occasion d’un cessez le feu, pendant les bombardements de l’été 2014, que l’association Culture et Pensée Libre à Gaza a réussi à réaliser cette vidéo où les enfants et les jeunes témoignent de leur peur des bombardements. Une mise en mots et en images de leur souffrance qui rappelle toute la violence de cet été meurtrier

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  • Brochure “Bande de Gaza, une dignité assiégée”

    Des voix s’élèvent par-delà le blocus

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  • Se joindre à l’initiative « Un bateau français pour Gaza »

    Paris, le 17 juin 2011 Dans les prochaines semaines, une nouvelle flottille de la liberté veut relancer la mobilisation internationale pour la recherche active d’un avenir commun pour Israéliens et Palestiniens, condition majeure du règlement du conflit qui les oppose. Elle comprendra un bateau français et va s’élancer vers Gaza pour dénoncer et briser, si possible, le blocus israélien de ce territoire de 41 km de long sur 6 à 12 km de large où vivent plus d’un million et demi de Palestiniens. Il s’agit de répondre à la crise humanitaire que subit cette population même si l’étreinte dont elle est victime s’est très légèrement desserrée depuis la première flottille de la liberté, en mai 2010 ; il s’agit aussi de promouvoir et de faire respecter le droit international. La campagne internationale mobilise en France depuis plusieurs mois de multiples organisations et personnes, signataires de la plateforme des ONG françaises pour la Palestine, signataires du collectif national pour une paix juste et durable entre Palestiniens et Israéliens, et signataires individuels, tous attachés à rompre le mur de l’indifférence. Nous pensons que les communautés chrétiennes de France devraient porter cette action dans leurs préoccupations et la prière. Par cet appel, nous voulons partager avec nos frères et soeurs chrétiens la conviction qu’une paix juste est possible, que le pardon et la réconciliation sont toujours offerts, et qu’en nous mettant à l’écoute de la Parole de Dieu nous pouvons recevoir de Lui une vision d’avenir. Nous sommes d’autant plus encouragés à lancer cet appel que déjà, en 2006, au lendemain d’un premier appel en faveur d’un bateau pour Gaza, ONG et services liés aux Eglises catholique et protestantes s’étaient concertés pour y donner une réponse commune. Seules les circonstances politiques du moment en avaient retardé la réalisation. Avec vous, nous voulons partager la Béatitude de la paix : « Heureux ceux qui font oeuvre de paix : ils seront appelés fils de Dieu » (Matthieu 5, 9. TOB). Il s’agit bien de ‘faire oeuvre’… pas seulement de dire ‘paix ! paix !’. Et par conséquent d’en prendre le risque. Or la paix ne peut dépendre ni de l’usage délibéré de la terreur, ni de l’humiliation, ni de la misère, mais en l’occurrence de la recherche passionnée d’un avenir commun entre Israéliens et Palestiniens, dans le respect mutuel, dans l’application du droit, et dans la quête de la justice. Nous croyons qu’en mobilisant l’opinion internationale autour de cette deuxième flottille de la liberté, nous engagerons les parties en présence et tous ceux qui les soutiennent à faire de nouveaux pas en faveur de cet avenir commun. Il s’agit incontestablement d’une démarche politique. La paix et la justice sont les biens les plus évidents de l’action politique. Pourquoi y serions-nous insensibles ? Nous sommes attachés au droit imprescriptible de l’Etat d’Israël d’exister, en paix, dans ses frontières reconnues, et au droit du peuple palestinien de développer ses institutions démocratiques dans un Etat libre et prospère. La démarche totalement non violente de la deuxième flottille de la liberté n’est pas tournée contre Israël ; elle appelle la communauté internationale à sortir de l’indifférence et à ne pas se contenter de paroles mais à agir. Elle exhorte les parties en présence à sortir du conflit pour rechercher les compromis nécessaires entre des droits contradictoires; c’est une démarche éthique fondée au nom ‘d’une vision commune bâtie sur l’égalité et le partage, non sur la supériorité, ni sur la négation de l’autre, sous prétexte de peur ou de sécurité’. Mais il s’agit d’abord d’un appel à la prière qui reste la force des croyants dans leur faiblesse et reconstruit en eux l’espérance qui permet de ‘voir Dieu au milieu de l’épreuve et d’agir avec son Esprit’. Nous vous invitons donc à faire une place particulière dans votre prière personnelle et en communauté pour que la deuxième flottille de la liberté puisse atteindre ses objectifs au service de la paix. Au lendemain de Pâques, où nous avons reçu le message renouvelé de la présence du Christ ressuscité dans un monde promis à la vie nouvelle, nous faisons monter vers Dieu le cri d’espérance de nos frères et soeurs chrétiens d’Israël et de Palestine qui attendent ‘le triomphe de Dieu sur le mal de la haine et de la mort qui règnent encore sur notre terre’. Chacun des signataires de cet appel est à votre disposition pour répondre à toute question qui vous semblerait utile pour comprendre sa démarche. Vous trouverez par ailleurs, sur les sites du CCFD-Terre solidaire (https://ccfd-terresolidaire.org) de la Cimade (http://www.cimade.org/), de Chrétiens de la Méditerranée (www.chretiensdelamediterranee.com), de Pax Christi (http://paxchristi.cef.fr) et sur le site de la campagne ‘Un bateau pour Gaza’ (http://www.facebook.com/unbateaufrancaispourgaza), tous les renseignements nécessaires et la possibilité de suivre l’opération ‘Un bateau français pour Gaza’ dans le cadre de la flottille de la liberté. Nous vous prions de croire en nos messages bien fraternels, Mgr Yves Patenôtre, évêque de la Mission de France Jean-Arnold de Clermont , pasteur Mgr Bernard Housset, évêque de La Rochelle et Saintes Jacques Maury, pasteur Mgr Marc Stenger, évêque de Troyes, président de Pax Christi Jacques Stewart, pasteur Mgr Philippe Brizard, directeur de la Maison d’Ananie Jean Tartier, pasteur et directeur émérite de l’OEuvre d’Orient (…)   Télécharger l’Appel aux chrétiens à se joindre a l’initiative « Un bateau français pour gaza », dans son intégralité (pdf)

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  • Appel pour assurer une levée immédiate du blocus

    6 mois après, les signes d’assouplissement du blocus de Gaza sont très faibles, selon un rapport d’ONG humanitaires et de défense des droits humains

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  • Appel lancé à la veille de la réunion informelle des ministres des Affaires étrangères de l’UE

    Paris, le  5 mars 2010 Bruxelles, le 4 mars 2010 – Les ministres des Affaires étrangères de l’Union européenne (UE) et la Haute représentante de l’UE pour les Affaires étrangères doivent faire valoir leur droit de se rendre dans la bande de Gaza, ont déclaré 17 organisations européennes de développement et de défense des droits humains  à la veille de la réunion informelle (Gymnich) des ministres européens des Affaires étrangères à Cordoue les 5 et 6 mars 2010. Ces organisations engagent les ministres à adopter une position commune et à refuser de se plier à la récente pratique d’Israël qui refuse l’entrée de Gaza aux hauts représentants étrangers , et à mettre un point d’honneur à se rendre à Gaza à chacune de leur visite en Israël et territoires palestiniens occupés. Elles invitent plus particulièrement la haute représentante Catherine Ashton à se rendre à Gaza lors de son premier déplacement au Moyen-Orient à la mi-mars, afin qu’elle constate les effets dévastateurs sur la population civile du blocus imposé depuis deux ans et demi à la bande de Gaza. Lors de cette réunion informelle, les ministres européens des Affaires étrangères débattront du processus de paix au Moyen-Orient et du blocus, un peu plus d’un an après l’offensive militaire israélienne contre Gaza. Les maisons, les entreprises, les écoles, les hôpitaux et les infrastructures civiles de première nécessité, tels que les réseaux d’eau et d’électricité, sont toujours en ruines, Israël empêchant les importations de matériaux de construction dans Gaza.  Les organisations se félicitent de la déclaration de l’UE, en décembre 2009, qui appelait de ses vœux une « ouverture immédiate, durable et sans condition de points de passage [vers] Gaza ». Toutefois, elles ajoutent que l’UE doit traduire ces paroles en actes en acceptant de prendre la tête de la communauté internationale en vue de mettre fin au blocus. L’UE doit également confirmer la suspension de l’amélioration de ses relations avec Israël, tant qu’Israël n’aura pas véritablement progressé en matière de respect des droits humains et du droit international, ce qui doit englober les mesures relatives au blocus de Gaza. « Il semble qu’Israël s’efforce de dissimuler au monde ce qui se passe à Gaza. La haute représentante Catherine Ashton et les ministres européens doivent se rendre sur place afin de se rendre compte de la situation dramatique des habitants de Gaza, frappés de plein fouet par le blocus et dans l’incapacité de partir. L’UE ne peut accepter qu’Israël interdise à ses plus hauts représentants de se rendre à Gaza pour contrôler l’affectation à des projets humanitaires vitaux des millions d’euro versés par les contribuables européens », a indiqué Janet Symes, responsable de la région Moyen-Orient à Christian Aid. « Il est temps que l’UE demande fermement que les droits humains et le droit international soient au cœur du processus de paix au Moyen-Orient. Le blocus est une sanction collective imposée à toute la population civile. Ce sont les plus vulnérables, notamment les jeunes enfants, qui en pâtissent de manière disproportionnée », a conclu Nicolas Beger, directeur du Bureau européen d’Amnesty International. Téléchargez le communiqué de presse (pdf)

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  • Les civils de Gaza dans l’incapacité de reconstruire un an après « Plomb durci » et « trahis » par la communauté internationale

    Paris, mardi 22 décembre 2009 Les civils de Gaza dans l’incapacité  de reconstruire un an après «Plomb durci» et «trahis» par la communauté internationale – Seulement 41 camions de matériaux de construction ont été autorisés à entrer depuis janvier 2009
    • Les maisons, écoles, hôpitaux et réseaux d’assainissement ne peuvent être reconstruits
    La communauté internationale a trahi la population de Gaza en ne parvenant pas à traduire ses paroles en actes pour mettre un terme au blocus de Gaza qui empêche la reconstruction, déclare un groupe de 16 ONG humanitaires, de développement et de défense des droits dans un nouveau rapport  publié aujourd’hui (22 décembre) à la veille de l’anniversaire du début de l’opération militaire israélienne «Plomb durci». Les autorités israéliennes n’ont autorisé que l’entrée de 41 camions de matériaux de construction dans Gaza depuis la fin de l’offensive à la mi-janvier, relèvent les ONG, dont Amnesty International France, le CCFD-Terre Solidaire et Oxfam France-Agir ici, alors qu’il en faudrait des milliers pour réparer les dommages causés aux maisons, aux infrastructures civiles, aux services publics, aux fermes et aux entreprises. Le rapport souligne qu’il est interdit à la population civile, ainsi qu’aux Nations Unies et aux ONG, d’importer des matériaux comme le ciment ou le verre, mis à part dans un très petit nombre de cas. Nicolas Vercken, d’Oxfam France-Agir ici, a déclaré : «Non seulement Israël, en imposant le blocus, a puni tous les habitants de Gaza pour les agissements de quelques uns, mais en outre  les grandes puissances ont également abandonné, et même trahi, les Gazaouis. Elles ont froncé les sourcils et prononcé des discours, mais n’ont presque rien fait concrètement pour tenter de changer cette politique destructrice qui empêche la reconstruction, la réhabilitation des personnes et la reprise économique». «Le Hamas et les autres groupes palestiniens armés, doivent aussi maintenir leur actuelle cessation des hostilités de facto, stopper de façon permanente les tirs de roquettes indiscriminés vers Israël depuis Gaza. Et toutes les factions palestiniennes doivent par ailleurs intensifier le dialogue en vue de la réconciliation vers un gouvernement palestinien réunifié qui sera effectivement capable de répondre aux besoins de sa population civile». Selon les auteurs du rapport, le blocus a également conduit à de fréquentes coupures d’électricité, de gaz et d’eau, avec des conséquences désastreuses sur la vie quotidienne et la santé publique. A cela s’ajoutent les restrictions d’approvisionnement en gaz industriel imposées de façon continue par Israël, privant 90% des Gazaouis de courant pendant 4 à 8h par jour. Le blocus, qui avait commencé en juin 2007 après que le Hamas a pris le contrôle de la Bande de Gaza, a fortement aggravé la pauvreté, contribuant à rendre 80% de la population dépendante de l’aide. Les entreprises et les fermes ont été contraintes de fermer et de renvoyer leurs ouvriers. La quasi interdiction qui pèsent sur les exportations a frappé les agriculteurs de plein fouet, et leur situation s’est détériorée avec la guerre qui a dévasté 17% des terres arables, serres et systèmes d’irrigation. En outre, 30% des terres arables ont été interdites d’accès et estampillées « zone tampon » par les militaires israéliens depuis la fin de l’offensive. Geneviève Garrigos, Présidente d’Amnesty International France déclare au sujet du blocus de Gaza : «On ne peut pas punir collectivement les habitants de Gaza pour les agissements de seulement quelques-uns.  Nous  condamnons toute attaque de roquettes sans distinction sur Israël. Si Israël a le devoir de protéger ses citoyens, les moyens auxquels il a recours doivent être conformes au droit international humanitaire et au droit international des droits humains.» En imposant le blocus sur la bande de Gaza, Israël est en  du droit international humanitaire de procéder à des peines collectives, indique le rapport dans lequel les ONG demandent à Israël de lever le blocus. Ces mêmes ONG déclarent également que les Gazaouis ont été trahis par la communauté internationale qui peut et doit faire bien davantage pour mettre un terme à ce blocus illégal et inhumain. Elles appellent notamment l’UE à entreprendre une action concertée immédiate pour obtenir la levée du blocus de Gaza avant la fin de la présidence espagnole en 2010. Les ONG demandent également aux Ministres des Affaires étrangères européens et au nouveau Haut Représentant de l’UE pour les Affaires étrangères, Catherine Ashton, de visiter Gaza et de se rendre compte par eux-mêmes de l’impact du blocus sur la population (4). Obtenir l’ouverture immédiate des points de passage de Gaza pour les matériaux de construction  pour réparer des maisons détruites et des infrastructures civiles alors que l’hiver s’installe serait un pas important vers la fin du blocus, soulignent les ONG. Emmanuelle Bennani, du CCFD-Terre Solidaire : «Les déclarations de la communauté internationale exprimant sa désapprobation du blocus de Gaza ne suffisent pas. Tous les Etats doivent insister auprès du gouvernement israélien afin qu’il arrête le blocus et laisse les habitants de Gaza reconstruire leurs vies. Il ne doit plus y avoir aucune excuse pour la communauté internationale». Téléchargez le communiqué de presse (pdf)

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  • Noël 2009 : 4 heures pour la justice et la paix à Gaza

    Près d’un an après l’attaque dont a été victime la population civile de la Bande de Gaza, Noël est pour nous l’occasion d’exprimer notre solidarité à des frères et des soeurs qui continuent de souffrir d’un blocus injuste et de l’indifférence du monde, en particulier de celle de l’Occident.

    C’est pourquoi le CCFD-Terre Solidaire, Chrétiens de la Méditerranée, la Cimade, la Mission de France, Pax Christi France et le Secours Catholique invitent les Chrétiens de France à se mobiliser collectivement avec les équipes locales des associations partenaires.

    Il s’agit d’organiser partout en France des temps d’échanges, d’information, de partage et de recueillement sur la situation en Palestine et en Israël, en particulier dans la Bande de Gaza.

    Il s’agit également, partout où ce sera possible, d’aller à la rencontre des responsables politiques et religieux, de les alerter et de solliciter leur engagement pour la justice, condition de la paix.

    Cette initiative s’inscrit dans le prolongement de la journée de solidarité des communautés chrétiennes avec la population de la Bande de Gaza organisée le 7 mars 2009, ainsi que dans le prolongement de la semaine de solidarité organisée en juin 2009 en de nombreux endroits.

    Pour vous aider à organiser cette opération, vous trouverez ci-joint un certain nombre de documents et de supports d’animation, en particulier :

    • l’appel du Conseil oecuménique des Eglises (COE) de juin 2009
    • la brochure CIDSE : « Gaza, une dignité assiégée »
    • l’appel aux communautés chrétiennes « Quatre heures pour la justice et la paix sur la terre de Gaza » du 7 mars 2009
    • un bon de commande pour la brochure « Gaza, une dignité assiégée » publié par le CCFD-TERRE SOLIDAIRE et ses collègues européens de la CIDSE

    Par ailleurs, nous vous informons qu’à Bethléem, un document théologique important, rédigé par des théologiens et des laïcs palestiniens sera rendu public à la mi décembre. Il exprimera tout à la fois, à la lumière de la Parole de Dieu, l’humiliation et l’espérance des chrétiens de Palestine. Il constituera pour nous tous, chrétiens d’Europe, un véritable défi. Le réseau Chrétiens de la Méditerranée vous en fera parvenir la version française dès que possible. Vous ne manquerez pas de le faire connaître largement autour de vous.

    Pour en savoir plus

  • Bernard Kouchner doit tenir son engagement de se rendre dans la Bande de Gaza

    Alors qu’un déplacement de Bernard Kouchner prévu fin octobre avait dû être annulé à la dernière minute, le Ministre des Affaires étrangères vient de confirmer qu’il envisage à nouveau de se rendre au Proche-Orient dans les « quelques jours qui viennent». Oxfam France – Agir ici et le CCFD-Terre Solidaire encouragent vivement le Ministre à ne pas renoncer à se rendre dans la Bande de Gaza. Pour ces associations, une telle visite dans une zone soumise à un implacable blocus depuis deux ans et demi constituerait un signal politique fort et courageux en faveur de la fin du blocus et l’application du droit international humanitaire. « Une visite de haut niveau à Gaza serait plus que la bienvenue afin de remettre la situation dramatique des Gazaouis au coeur des préoccupations des dirigeants français, européens et occidentaux en général. Cela pourrait également rendre un peu d’espoir et de dignité à un million et demi d’hommes, de femmes et d’enfants dont les droits sont bafoués et que le blocus contraint à dépendre à 80% de l’aide alimentaire » estime Nicolas Vercken d’Oxfam France – Agir ici. En outre, Nicolas Sarkozy s’apprête à recevoir le mercredi 11 novembre le Premier Ministre israélien Benyamin Nétanyahou. Les ONG demandent au Président de se saisir de cette occasion pour réaffirmer les attentes françaises en matière de respect du Droit international et du Droit international humanitaire. « Nicolas Sarkozy et Bernard Kouchner doivent exiger la réouverture immédiate et inconditionnelle des points de passage. En ce qui concerne la « peine collective » que constitue le blocus, ils doivent appeler un chat un chat en reconnaissant qu’il s’agit d’une grave violation du droit international humanitaire. Cela implique des obligations juridiques conséquentes, pour tous les Etats parties aux Conventions de Genève, y compris la France» affirme Emmanuelle Bennani du CCFD-Terre solidaire. Les ONG rappellent également que selon B’Tselem (1) l’opération « Plomb durci » a tué plus de 700 civils palestiniens, principalement des femmes et des enfants, tandis que les groupes armés palestiniens ont par ailleurs causé 3 morts civils du côté israélien. « Bernard Kouchner doit se rendre à Gaza pour constater de lui-même les dégâts causés au cours du conflit et demander que justice soit faite pour tous les crimes commis, quels qu’en aient été les auteurs. A ce titre, il devrait demander fermement au gouvernement israélien ainsi qu’au gouvernement de facto du Hamas à Gaza qu’ils lancent immédiatement des enquêtes, indépendantes et conformes aux normes internationales, sur les allégations de graves violations des droits humains et du droit international humanitaire commises durant le conflit. » souligne Emmanuelle Bennani du CCFD Terre – solidaire. La France est le premier exportateur d’armes de l’Union européenne vers Israël et ses livraisons d’armes à l’Etat hébreu ont doublé en 2008, via notamment la collaboration technologique sur les drones. A Gaza, Bernard Kouchner pourra constater de visu les traces de l’implication directe présumée des drones israéliens dans les destructions massives et nombreuses morts de civils. Les ONG appellent en conséquence la France à reconsidérer les risques d’utilisation des armes qu’elle vend à Israël à la lumière du Droit international humanitaire (DIH). « En l’absence de garantie claire et vérifiable sur l’utilisation des armes françaises dans des violations de ce droit, la France doit refuser de délivrer des licences d’exportation d’armes vers Israël » insiste Nicolas Vercken d’Oxfam France – Agir ici. Les associations soulignent par ailleurs que les divisions factionnelles intra-palestiniennes continuent de peser lourdement sur les services essentiels et la distribution d’aide aux résidents de Gaza. Elles saluent les efforts et l’engagement de la France pour soutenir la réconciliation intra-palestinienne et mobiliser ses partenaires européens en faveur du soutien, sur le principe, à un futur gouvernement d’union nationale. Pour Nicolas Vercken « la France doit persister dans son engagement et prendre position publiquement afin que l’UE s’abstienne d’appliquer les trois principes du Quartet comme conditions préalables aux négociations et qu’elle engage un dialogue avec toutes les parties concernées, tant du côté palestinien qu’israélien ». Téléchargez le communiqué de presse (pdf)

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  • Bande de Gaza

    Le blocus et ses conséquences
    Un blocus économique, sanitaire et sociétal enserre la bande de Gaza depuis 2005: 1,6 million de Palestiniens sont hermétiquement coupés du monde extérieur. Le processus de paix israélo-palestinien, initié dans les années 90, n’a pas répondu aux espoirs de la population ; bien au contraire, Israël a prolongé son occupation et durci ses politiques qui, après la prise de pouvoir du Hamas à Gaza et l’augmentation des attaques de roquettes sur Israël, ont atteint leur paroxysme.

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  • Planter des arbres et élever des moutons

    Depuis la seconde Intifada, la Bande de Gaza fait face à une détérioration des conditions économiques et sociales, aggravée par le siège imposé par le gouvernement israélien, à partir de juin 2007. Le niveau d’extrême pauvreté dépasse 65 % et l’insécurité alimentaire 50%.

    (suite…)

  • Pourvoir aux besoins de santé publique

    Les territoires de Cisjordanie, à l’est d’israël et à l’ouest de la Jordanie, et ceux de la bande de Gaza, au sud-ouest d’Israël, le long de la Méditerranée, constituent “les territoires palestiniens”.

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