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  • Les actions des partenaires soutenues par le CCFD

    Afin de préserver leur sécurité et leur capacité d’action, nous ne communiquons pas le nom des organisations partenaires engagées dans les actions de terrain.

    Nos partenaires birmans n’ont pas la possibilité de demeurer aux côtés des populations. Elles ne peuvent que effectuer des visites ponctuelles, strictement encadrées.

    Lors de ces opérations de terrain, elles ont pu

    • mettre en place des financements pour certaines actions d’urgence (notamment acquérir des réservoirs d’eau)
    • financer l’achat de bateaux et d’équipements de pêche

    Les villageois ne sont pas autorisés à reconstruire eux-mêmes les maisons.

  • État des lieux

    L’impact du tsunami a été moindre sur les côtés birmanes, pour plusieurs raisons :

    • Suite à des inondations précédentes, les populations étaient déjà retirées à l’intérieur des terres
    • La vague la plus violente s’est propagée selon un axe Est-Ouest, et non Sud-Nord
    • La pêche industrielle et le tourisme ne sont pas très développés et la mangrove encore très présente a amorti la violence de la vague
    • Les îles situées au Sud dans la mer d’Andaman ont également amorti la puissance des vagues

    C’est surtout le delta de l’Irrawady qui a été touché.

    Le bilan communiqué par les autorités fait état de 61 morts, 42 blessés, 29 villages détruits, 2592 personnes sans abri.
    Il semble que l’évacuation de la population avant l’arrivée de la troisième vague par l’armée ait permis d’éviter un bilan humain plus lourd.

    Ce bilan a été plus ou moins confirmé par les Nations unies dont le coordinateur pour les actions humanitaires estime néanmoins que 10 000 personnes auraient eu besoin de secours d’urgence.

    D’après l’évalution sur le terrain par nos partenaires
    Les villages touchés étaient peuplés de pêcheurs, de planteurs et de commerçants. Les ouvriers, les employés les plus modestes ont été les plus affectés car ils vivaient dans des maisons en bambou proche du bord de mer.

    Les maisons et les bateaux ont été détruits
    Les terres sont salinisées (et donc impropres à la culture)
    L’eau potable manque
    Les écoles ont été endommagés.

    L’action des organisations internationales est menée avec beaucoup de discrétion en raison de l’attitude des autorités peu enclines à ouvrir le pays aux interventions étrangères.

  • Le contexte social et politique

    La Birmanie (officiellement appelée Myanmar) est gouvernée par un régime militaire particulièrement dur.

    Lors du tsunami, le gouvernement a refusé toute intervention internationale d’urgence, mais a néanmoins reçu des aides destinées aux victimes via des canaux plus ou moins officiels par des Croix rouge nationales (américaine, allemande, canadienne) et de la part du gouvernement chinois.
    Le PAM, l’UNICEF et MSF peuvent travailler dans certaines zones sous un contrôle étroit.

    Mais il reste assez difficile d’obtenir des informations sur la situation réelle.
    Les organisations birmanes qui ont pu travailler auprès des victimes ont été encadrées par l’armée qui a contrôlé toute relation directe, interdit de dresser un bilan exact des destructions.

    La junte n’est pas venue en aide aux Birmans émigrés à l’étranger, notamment en Thaïlande où plusieurs milliers d’entre eux ont trouvé la mort. Elle refuse aussi de laisse ceux qui souhaitent rentrer au pays.

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