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  • Vingt ans après en Bosnie-Herzégovine, une citoyenneté à construire

    La Bosnie, vingt ans après la guerre, est toujours un pays divisé, dont les institutions, dessinées au moment des Accords de Dayton en 1995, restent communautarisées. Le CCFD-Terre Solidaire soutient les initiatives qui vont dans le sens de la coexistence, que ce soit par un travail sur la mémoire et la justice, un soutien à la structuration de l’agriculture familiale, ou aux organisations de jeunesse qui ont envie d’un autre avenir pour leur pays

    (suite…)

  • Mobilisation citoyenne des jeunes dans les Balkans de l’après-guerre

    Comment regarder vers l’avenir dans les pays de l’ex-Yougoslavie marqués depuis les guerres civiles des années 1990 par la montée des nationalismes et le repli sur soi ? Une mission à laquelle s’attache l’association Youth Intitiative for Human Rights-Bosnie, un partenaire du CCFD, en multipliant rencontres entre jeunes et interpellations des autorités politiques.

    (suite…)

  • Appel à une mobilisation contre la négation du génocide

    Vingt ans après le début de la guerre en Bosnie-Herzégovine (ex-Yougoslavie), huit associations veulent rendre hommage aux victimes civiles de la région de Prijedor, située au nord de ce pays.

    (suite…)

  • Aide et soutien psychologique auprès des orphelins de la guerre

    “L’éducation, c’est l’avenir de la Bosnie-Herzégovine”, cette association fondée par Jovan Divjak et partenaire du CCFD-Terre Solidaire, a pour principal objectif de prendre en charge les orphelins de la guerre : bourses scolaires, voyages de groupes et soutien matériel aux familles d’accueil.

    (suite…)

  • Le CCFD-Terre Solidaire demande la libération immédiate de Jovan Divjak

    Arrestation de Jovan Divjak, directeur de l’association L’Education construit la Bosnie-Herzégovine par les autorités autrichiennes la nuit dernière

    (suite…)

  • Programme de dialogue inter ethnique

    La Bosnie-Herzégovine traverse une période instable et dangereuse, marquée par le renforcement des divisions ethniques et la montée du communautarisme. Alors que la perspective des élections à l’automne prochain exacerbe ce climat, l’Europe peine à soutenir d’une voix forte et unie une Bosnie multiethnique. Pourtant des acteurs associatifs bosniens s’engagent en faveur de la coexistence. Exemple en est Youth Initiative for Human Rights.

    (suite…)

  • Lettre ouverte au Ministre des Affaires étrangères

    Monsieur le Ministre, A l’issue d’une rencontre d’une centaine d’acteurs des sociétés civiles française, suisse et bosnienne à Lyon les 28 et 29 mars derniers, et à l’occasion du voyage que vous prévoyez les 8 et 9 avril prochains, nous nous réjouissons que l’Union européenne s’apprête à donner un nouveau souffle à son engagement en Bosnie-Herzégovine et souhaitons soutenir cette initiative en partageant avec vous nos préoccupations et vous adressant nos propositions. La situation ne cesse de se dégrader en Bosnie-Herzégovine. Si les accords de Dayton ont mis fin à la guerre, ils empêchent l’édification d’un Etat viable et démocratique et favorisent aujourd’hui une dynamique de morcellement du pays dans tous les domaines. La fragmentation ethno-nationale et la cléricalisation forcée de la société détruisent les fondements d’un Etat multi-ethnique. 90% des municipalités sont aujourd’hui quasiment mono-ethniques. Parmi les survivants de l’épuration ethnique revenus chez eux, moins d’1% trouvent du travail. Dès leur plus jeune âge, les enfants sont soumis à une ségrégation scolaire qui empêche toute expérience partagée. L’absence de perspectives fait progressivement perdre à la jeunesse ses espoirs. La communauté internationale, et en particulier l’Union européenne, a des pouvoirs réels en Bosnie-Herzégovine. Elle a une obligation politique de dépasser les lignes de fractures tracées par les violences de la guerre entretenues depuis la fin du conflit et de contribuer à construire un Etat uni dans la diversité, à l’image même des aspirations de l’Union européenne. Nous comptons sur la Troïka européenne pour qu’elle élabore, à l’issue de son voyage, un plan permettant d’atteindre ces objectifs et comprenant les points suivants : Renforcer la notion de citoyenneté dans le préambule de la Constitution de la Bosnie-Herzégovine ; S’assurer auprès des Etats membres de l’Union européenne qu’ils accordent leur plein soutien au nouveau Haut Représentant ; Etablir un dialogue permanent entre le Haut Représentant et les acteurs de la société civile bosnienne, afin que celle-ci soit considérée comme un interlocuteur incontournable de la communauté internationale ; Elaborer un programme scolaire commun et fédérateur en Bosnie-Herzégovine qui fasse une large place aux thèmes citoyens et non communautaristes ; Signer très rapidement un accord de libéralisation du régime des visas pour les citoyens bosniens (y compris pour les jeunes et les étudiants). Paris, le 3 avril 2009. Associations signataires : Association Paris-Sarajevo-Europe Association Sarajevo CCFD-Terre solidaire Comité Kosovo Dessine-moi un sourire Drugi Most Enfants Europe Bosnie Forum grenoblois pour la Démocratie dans les Balkans Les Pyrénées pour que vive Sarajevo Maison de l’Europe d’Albertville et de la Savoie Mir Sada Solidarité Bosnie Téléchargez la lettre (pdf)

    Documents joints

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  • Hajra Catic, Bosnie Herzégovine

    La Cour internationale de justice estimé que la Serbie n’avait pas commis de génocide en Bosnie durant la guerre de 1992 à 1995. Réaction.

    (suite…)

  • Aider le retour de familles bosniaques à Bratunac

    Les guerres des Balkans, dans les années 1990, ont été des conflits meurtriers et fratricides. Des massacres ont été commis, générateurs d’exode et de haine entre les communautés.

    (suite…)

  • Srebrenica : 10 ans après, faire face au passé

    En juillet 1995, les forces serbes s’emparaient de Srebrenica, enclave « sous protection des Nations unies » où étaient amassés 42 000 Bosniaques (Musulmans), provoquant le plus grand massacre de civils perpétré en Europe depuis la seconde guerre mondiale : l’exécution sommaire en six jours de 8 000 personnes et la déportation du reste de la communauté hors de la zone conquise. Les casques bleus n’opposeront aucune résistance.
    En novembre 1999, un rapport présenté par Kofi Annan reconnaissait la responsabilité de l’ONU dans « la faillite de la politique des zones de sécurité ». Le 19 avril 2004, le Tribunal pénal international pour l’ex-Yougoslavie confirmait le caractère génocidaire des opérations organisées sous le commandement du général Ratko Mladic et du « président » Radovan Karadzic. Sept ans après les premiers aveux, en 1996, de Drazen Erdemovic, un soldat réquisitionné dans les pelotons d’exécution, trois hauts gradés ont à leur tour reconnu les faits et plusieurs autres officiers et responsables sont actuellement en cours de procès.
    L’année dernière, les autorités de la « République serbe de Bosnie » ont, non sans réticence, admis l’ampleur du massacre et révélé l’emplacement de dizaines de nouveaux charniers.
    Peu à peu émerge la vérité accablante sur ces jours de terreur et de cette guerre. Mais le négationnisme résiste encore ; les principaux responsables, Mladic et Karadzic, sont toujours en fuite, les survivants vivent dans des camps de misère ou à l’étranger et pleurent leurs disparus non retrouvés, la lumière sur les responsabilités internationales, notamment celles des Français, n’est pas complète.

    Cette journée nous permettra d’étendre notre réflexion : la bascule dans le crime génocidaire est-elle prévisible ? Comment les survivants peuvent-ils témoigner et sont-ils écoutés ? Que signifie la lutte contre l’impunité et la reconnaissance des responsabilités ? Quel bilan peut-on tirer des procédures engagées devant la justice internationale ? Rendre des comptes, réparer : relations internationales et morale sont-elles incompatibles ?


    Programme de la journée
    (sous réserve de modifications)

    Srebrenica : 10 ans après, faire face au passé

    Organisée par Amnesty International, Association Sarajevo, le CCFD, Esprit, la FIDH, l’IHEJ, la LDH avec le soutien de l’EHESS et Srebrenica 2005.

    Ecole des hautes études en sciences sociales, 105, boulevard Raspail 75006 Paris

    Ouverture : 9h30-10h

    Première session : Eclairer les responsabilités
    10h – 11h30
    Modérateur : Véronique Nahoum-Grappe (EHESS)

    – Survivre à  Srebrenica
    Emir Suljagic (auteur de « Postcards from the grave »)

    – La responsabilité de la France et de la communauté internationale
    Sylvie Matton (auteur de « Srebrenica, un génocide annoncé », flammarion, à paraître)

    – Une analyse comparative des massacres et génocides nazis, rwandais et bosniaque
    Jacques Semelin (CERI) (auteur de « Purifier et détruire », ed. du Seuil, à paraître)

    Débat avec la salle : 11h30-12h

    Deuxième session : Rendre compte des responsabilités : quel type de justice ?
    14h – 15h30
    Modérateur : Antoine Garapon  (Secrétaire général de l’IHEJ)

    • Les procès sur Srebrenica au TPIY
      Mirko Klarin (auteur du documentaire « Srebrenica : the triumph of evil », 2003)

    – La reconnaissance des crimes en Serbie et la justice nationale
    Sonja Biserko (Directrice du Comité Helsinki pour les droits humains de Belgrade)

    – Leçons et questions des autres expériences de procès pour crimes contre l’humanité
    Pierre Hazan (Journaliste, auteur de « La justice face aux crimes. De Nuremberg à La Haye » )

    Débat avec la salle : 15h30-16h

    Pause : 16h-16h30

    Troisième session : Assumer les responsabilités : réparations et retours
    16h30 – 18h
    Modérateur : Pierre Hassner (CERI)

    – Les retours, le mémorial, l’identification des corps, les réparations, un bilan
    Svebor Dizdarevic (Enseignant et chercheur en sciences-politiques)

    • La mémoire des justes en Bosnie-Herzégovine
      Svetlana Broz (auteur de « Des gens de bien au temps du mal »)

    – ONU et Etats membres : quelles responsabilités pour quelles réparations ?
    Alain Pellet (Professeur de Droit à l’Université Paris X)

    Débat avec la salle : 18h-18h30

    Samedi 18 juin 2005 (9h30-18h)

    EHESS
    105, Bd Raspail
    Paris 6e
    (M° St Placide ou Notre Dame des Champs)

  • Des femmes surmontent les traumatismes de la guerre

    Dubrovnik, novembre 2004

    Dix ans après la fin de la guerre, pouvez-vous faire le bilan des séquelles qu’elle a laissées ?

    Elles sont avant tout d’ordre psychologique. L’Europe nous parle de réconciliation et de tolérance, mais ceci n’est possible que s’il a été demandé pardon aux victimes, aux veuves, aux femmes violées… Ainsi, en 1999 plusieurs associations de femmes du Monténégro se sont excusées dans une lettre envoyée à Desa pour tout le mal que leurs maris nous avaient fait. C’est parce qu’elles ont fait ce geste que nous avons pu recommencer à communiquer avec elles. Les traumatismes sont nombreux. La violence engendre la violence. Même s’il est impossible de généraliser, on note par exemple un accroissement des violences conjugales. Il y a aussi ces adolescents qui, enfants pendant la guerre, ont été témoins voire acteurs de divers trafics. Ce n’est pas facile aujourd’hui de les remettre dans le droit chemin. Sans compter tous les orphelins. Il existe certes quelques programmes mais ils sont insuffisants. Quant aux combattants, ils n’ont même pas eu le privilège de revenir en héros. Car aujourd’hui, ceux qui sont devenus riches et qui font l’envie de tous, ce ne sont pas ceux qui sont partis au front.

    Et sur le plan économique ?
    Aux traumatismes de la guerre, s’ajoute les bouleversements liés à la fin du régime socialiste. La période de transition que nous vivons est très difficile, car elle impose un changement de comportement dans tous les domaines : politique, économique, social… Nous sommes passés d’une situation où tout était contrôlé par l’Etat – et dont nous attendions la fin avec impatience – à un capitalisme profondément inhumain. La guerre a permis une privatisation sauvage au profit d’un petit nombre de familles. Celles-ci ont racheté les usines à un prix dérisoire sans investir pour autant dans la production. Elles ont licencié les ouvriers, ont construit des villas, des hôtels pour les revendre aussitôt à des étrangers. Pendant qu’elles s’enrichissent, le reste de la population en revanche s’appauvrit considérablement. Selon les chiffres officiels, donc sous-estimés, 22 % des Croates sont au chômage. Un retraité qui a travaillé toute sa vie perçoit une pension misérable. Comment vivre avec 150 euros ? Quant aux conditions de travail ! Certaines caissières, par exemple, sont contraintes de rester jusqu’à neuf heures debout derrière leur caisse. On a beaucoup de critiques à faire à l’ancien régime, mais ce genre de choses ne se voyait pas. Toutes nos valeurs ont été chamboulées. Et dans un contexte où consommer devient un idéal en soi, les banques poussent au surendettement . Je suis d’un naturel optimiste, mais je dois avouer que pour l’instant la réalité est plutôt sombre.

    Qu’est-ce qui vous fait espérer justement ?
    La perspective de notre entrée dans l’Europe. Aujourd’hui les Croates n’ont pas confiance en leurs gouvernants. Trop corrompus. Si une multitude de partis a vu le jour, c’est que la politique est devenu le moyen de faire carrière par excellence. J’attends de l’Europe, un état de justice. Nous pourrons nous référer à ses règlements. Porter plainte à Bruxelles, en cas de dysfonctionnements.

    Quelle mission s’est donnée votre association ?
    En 1993, quand nous avons commencé nos activités de coutures et de broderies dans les hôtels de Dubrovnik où s’étaient réfugiées des centaines de femmes venues de l’arrière pays, mais aussi de la Krajina et de la Bosnie, notre objectif était essentiellement thérapeutique. Aujourd’hui que les femmes et les jeunes sont les premières victimes du chômage, nous nous concentrons sur leur renforcement économique par l’utilisation des ressources locales. En cette période de transition, il est primordial de les former. L’association a mis en place des cours de langues et d’informatiques ainsi que des ateliers professionnels pour faire revivre l’artisanat traditionnel. Par ailleurs, nous soutenons l’entreprenariat dans le tourisme.

    Propos recueillis par Bénédicte Fiquet

    Jany Hansal est présidente de DESA, une association créée pendant la guerre pour porter secours aux femmes réfugiées dans les hôtels de Dubrovnik.

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