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  • Burundi : paroles d’étudiants face à la crise

    De retour du Burundi à la rencontre des partenaires, Samuel Pommeret, chargé de mission Afrique au CCFD-Terre Solidaire, évoque la situation de crise du pays à travers la parole d’étudiants burundais.

    (suite…)

  • Accompagner les jeunes burundais dans le processus électoral

    Depuis plus de 30 jours, le Burundi connait une grave crise politique. La volonté du Président Pierre Nkurunziza de se représenter pour un troisième mandat (alors que la Constitution l’interdit) a mis les habitants de Bujumbura dans les rues. Violemment réprimées, les manifestations ont déjà fait près de 30 morts et plus de 100 000 burundais ont trouvé refuge dans les pays voisins.

    (suite…)

  • Au Burundi, des élections à haut risque

    Entre juin et août 2015, les Burundais éliront leur président, les députés et les sénateurs ainsi que leurs représentants collinaires. Sur la route vers la démocratie, les jeunes ont un rôle majeur à jouer : résister à la peur, à la violence et promouvoir une citoyenneté active et responsable. L’Association des Scouts du Burundi (ASB) et le Réseau des organisations des jeunes en action (Reja) sont fortement mobilisés

    (suite…)

  • Burundi : des jeunes mobilisés contre de nouveaux risques de violences électorales

    Formé en 2001, un an avant la fin de la guerre civile, pour fédérer des associations de jeunes, le Réseau des jeunes en action pour la paix (Reja) s’inquiète aujourd’hui des tensions qui montent, avant la présidentielle de 2015.

    (suite…)

  • Programme d’éducation des jeunes à la citoyenneté en période pré-électorale

    Partenaires du CCFD-Terre Solidaire, l’ASB et le REJA ont pour objectif principal d’encourager l’émergence de jeunes citoyens responsables et engagés en faveur de la consolidation de la paix au Burundi. Les deux associations ont travaillé pour des élections libres, justes et transparentes.

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  • Les Scouts et Guides de France étaient présents à la Rencontre nationale

    Nous étions aux rencontres nationales du CCFD

    Nous étions plus d’une cinquantaine de scouts et de guides le week end de la Pentecôte à Grenoble pour participer aux 5èmes rencontres nationales du Comité catholique contre la Faim et pour le Développement.

    Venus dans la délégation nationale ou via les délégations diocésaines, ou encore comme le groupe de pionniers/caravelles d’Annecy pour animer la célébration de la Pentecôte, ces trois jours nous permirent de découvrir ou redécouvrir les missions du CCFD, rencontrer plus d’une trentaine de partenaires des pays du Sud et de l’Est et faire la fête avec les 1700 participants.

    Ainsi, pour Marion, accompagnatrice pédagogique Branche aînée en Isère, « ces 3 jours, m’ont permis d’y mettre un peu plus mon nez dedans, de voir comment le CCFD pouvait être participer à la proposition des Scouts et Guides de France. Ces rencontres sont nécessaires pour se ressourcer et donner un souffle à tous pour continuer à construire un monde meilleur, une terre plus solidaire ! De mon côté, cela m’a donné envie de mettre plus de place à l’engagement. »

    Ensemble pour une Terre Solidaire

    Sur le thème « Pour une terre solidaire », ces rencontres avaient pour double objectif : s’approprier le nouveau rapport d’orientation du CCFD 2008/2012 et (re)dynamiser le réseau du CCFD (15 000 bénévoles dont de nombreux anciens scouts et guides) et la collégialité du CCFD (les 28 mouvements et services d’Eglise qui le composent dont les Scouts et Guides de France, mais aussi le MRJC, la JOC, …)

    Comme l’a rappelé Monseigneur Housset, président du Conseil de la Solidarité, « plus que jamais, le CCFD a sa raison d’être dans le monde d’aujourd’hui ». Les émeutes de la faim, l’épuisement des ressources non-renouvelables, l’injustice des relations commerciales, les migrations sont parmi les sujets sur lesquels l’expertise du CCFD depuis plusieurs années n’est plus à démontrer.

    Par l’organisation de tables rondes, ateliers et forums, nous avons donc pu aborder ces thématiques du développement et de la solidarité internationale mais aussi réfléchir aux défis que s’est lancée le CCFD pour ces quatre prochaines années : faire plus de place aux jeunes adultes, travailler dans les quartiers populaires, … des interrogations pas si éloignées des réflexions que l’on mène dans notre mouvement.

    Les Scouts et Guides de France et le CCFD : une longue histoire

    Sur notre stand dans le village associatif, nous avons pu voir passer des dizaines d’anciens scouts et guides, aujourd’hui bénévoles au CCFD dans leur diocèse. Ils sont témoins de l’histoire qui lient les Scouts et Guides de France et le CCFD, (les SGDF ont été avec cinq autres mouvements et la conférence des évêques fondateurs du CCFD).

    Notre engagement au CCFD est toujours présent puisque bon nombre de groupes locaux participent activement aux campagnes d’éducation au développement comme le défi Bouge ta planète. Le CCFD soutient également les projets de cinq associations scoutes et guides en Haiti, Mauritanie, Côte d’Ivoire, Rwanda et Burundi. Il a également soutenu le projet d’éducation à la paix, Amahoro Amani, des scouts des Grands Lacs dont une présentation a été faite pendant ces rencontres nationales. Mais l’on peut sans doute faire mieux notamment au niveau local et territorial pour rencontrer les membres du CCFD et éveiller les jeunes à la solidarité internationale.

    C’est ce que remarque Anne-Claire, présente à la rencontre nationale, « J’ai découvert qu’il y avait beaucoup de cohérence entre les mouvements et services d’Eglise. La rencontre nationale a permis une rencontre qui n’existe pas toujours au niveau local. »
    Antoine Dulin

    Lire le reportage des scouts et guides de France

  • Burundi

    Petit pays d’environ 28 000 km² de la région des grands lacs d’Afrique de l’Est, le Burundi est entouré de la RDC (République démocratique du Congo) à l’ouest, de la Tanzanie au sud et à l’est et du Rwanda au nord.

    (suite…)

  • Armes légères

    Nouveau rapport de la Campagne pour le contrôle des armes publié conjointement par Amnesty International, Oxfam et le RAIAL
    Paris, le 25 janvier 2005

    Le nouveau rapport de la Campagne pour le contrôle des armes Le suivi des armes létales dénonce le manque de traçabilité des armes légères et des munitions. En raison de l’absence d’un instrument international de traçabilité, les pays exportateurs ne peuvent être tenus pour responsables lorsque leurs armes se retrouvent dans les mains d’auteurs d’atteintes aux droits humains et de criminels de guerre.
    Le rapport souligne ainsi que les armes et les munitions portent souvent des numéros de série sommaires. Pourtant, aucun instrument international n’est chargé de conserver la trace de cette information lors des ventes d’armes légères. Ces numéros ne sont donc d’aucune utilité dans l’identification, la localisation et le traçage des armes illicites.
    Les pays qui vendent des armes sur le marché illicite peuvent tout simplement prétendre ignorer comment elles se sont retrouvées dans les mains de tueurs.

    La parution du rapport coïncide avec l’ouverture ce lundi 24 janvier à New York de la conférence des Nations unies sur le marquage et le traçage. Il exhorte l’ONU à adopter sans délai un instrument international juridiquement contraignant de traçage et de marquage des armes légères, des armes de petit calibre et des munitions.
    ” Nous ne pouvons tolérer qu’il soit plus facile de suivre le parcours d’une tomate génétiquement modifiée ou d’une valise que d’un fusil d’assaut AK47 ou d’un lance-roquettes. Un bagage perdu entre San Francisco et la Sierra Leone peut être localisé en quelques heures, mais des armes meurtrières disparaissent tous les jours sans laisser de trace “, a déclaré Caroline Maurel d’Agir ici (membre observateur d’Oxfam international).

    Les gouvernements se montrant réticents vis-à-vis d’un instrument international de traçage des transferts d’armes, il est presque impossible d’engager des poursuites contre des particuliers ou de tenir des gouvernements pour responsables d’avoir vendu des armes illicites et enfreint les embargos instaurés par les Nations unies.

    “ Le commerce illicite des armes exacerbe les atteintes aux droits humains commises sur une très grande échelle. Chaque année, des milliers de personnes sont tuées, torturées, violées et attaquées à l’aide d’armes à feu dont on ne connaît pas l’origine. Des millions d’êtres humains se voient privés des droits à un niveau de vie décent, à des services de santé et à l’éducation, parce que les fonds sont détournés et servent à acheter des armes illicites. Il est temps que le monde parvienne à identifier clairement ceux qui tirent les ficelles de ce commerce cynique et meurtrier afin de les traduire en justice “, a indiqué Irene Kahn, secrétaire générale d’Amnesty international.

    Un instrument de traçabilité contribuerait à lutter contre l’utilisation dévoyée des armes en permettant de les suivre depuis leur fabrication jusqu’à l’utilisateur final. Il favoriserait l’identification des négociants qui bafouent le droit national et international, contribuerait à faire respecter les embargos sur les armes et, au bout du compte, aiderait à sauver des vies.

    Lors du récent massacre survenu à Gatumba, au Burundi, qui a coûté la vie à 150 personnes (13,14 août 2004), on a pu établir à partir des douilles que les munitions utilisées lors de l’attaque avaient été fabriquées en Chine, en Bulgarie et en Serbie. Toutefois, en raison de l’absence d’un mécanisme de traçage, nul moyen de prouver comment elles étaient arrivées là. Si un tel mécanisme avait existé, ceux qui avaient vendu ces munitions aux meurtriers auraient pu être soumis à l’obligation de rendre des comptes, ce qui aurait permis de mettre un terme à l’approvisionnement.
    Des instruments internationaux de traçage sont déjà en vigueur pour diverses marchandises, notamment pour les aliments issus d’organismes génétiquement modifiés (OGM), suivis de la production aux rayons du supermarché afin de garantir le contrôle de leur qualité. De même pour les bagages, suivis grâce aux systèmes informatisés dont sont équipés les aéroports du monde entier.

    ” Huit millions de nouvelles armes sont fabriquées chaque année et d’innombrables crimes et atrocités sont commis à l’encontre des civils partout dans le monde. Pourtant, il y a fort peu de chances que les auteurs de crimes violents soient poursuivis, tant qu’un système international permettant d’établir l’origine des armes ne sera pas mis sur pied “, a expliqué Marie-Line Ramackers du CCFD.

    Selon les organisations qui mènent campagne pour le contrôle des armes, un instrument international de marquage et de traçage constitue un jalon crucial du renforcement de la réglementation. Un système global requiert l’adoption d’un Traité international sur le commerce des armes et d’une convention visant à contrôler les activités des courtiers. De par le monde, des centaines de milliers de personnes et plusieurs gouvernements soutiennent déjà cette campagne.

    Le rapport Le suivi des armes létales demande aux gouvernements de participer aux négociations que l’ONU mène actuellement dans le cadre du Programme d’action des Nations unies sur le commerce illicite des armes légères et de petit calibre, en vue d’élaborer un traité juridiquement contraignant sur le marquage et le traçage de ces armes.
    Dans ce traité doivent figurer :

    • des normes communes strictes concernant le marquage de toutes les armes légères et de petit calibre
    • des dispositions relatives au marquage et au traçage des munitions
    • des moyens propres à renforcer les capacités des gouvernements à faire respecter les dispositions du traité
    • des normes internationales détaillées relatives à l’enregistrement des données sur les transferts d’armes, les gouvernements devant être contraints de tenir des registres exacts sur les armes et les munitions fabriquées, détenues et importées ou exportées sur leur territoire, et devant avoir accès aux registres des fabricants.

    La campagne ” Contrôlez les armes “, qui a produit l’étude, plaide en faveur d’une convention internationale sur le commerce des armes, afin de permettre un contrôle véritablement efficace.

    Les signataires
    Amnesty International section française ; Agir ici (membre observateur d’Oxfam International) ; Canva (Coordination de l’action non-violente de l’Arche) ; CCFD (Comité catholique contre la faim et pour le développement) ; Justice et Paix ; Ligue des droits de l’Homme ; Médecins du Monde ; CDRPC/Observatoire des transferts d’armements ; Pax Christi ; Réseau Foi et Justice Afrique-Europe.

    Le CCFD est membre de la Plate-forme française de la campagne “Contrôlez les armes” coordonnée sur le plan international par International Action Network on Small Arms, Amnesty International et Oxfam.
    Cette campagne a pour objectif de mettre en place un traité international sur le commerce des armes.

     
     

    lien vers le site Control arms
    lien vers le site Control arms

    Le rapport “Suivi des armes létales” – 33 pages

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