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  • Déclaration des organisations féminines de la société ciile ivoirienne pour la paix

    Depuis le 19 septembre 2002, la Côte d’Ivoire vit une crise politico-militaire sans précédent.

    Face à la souffrance profonde de la population particulièrement les femmes, les enfants et les personnes âgées, causée par cette tragédie humaine, de nombreuses tentatives de solutions ont été initiées.

    Ainsi, différentes négociations se sont succédé : Lomé, Bamako, Dakar, Linas Marcoussis, Kléber, Accra I, II, et III. Mais la paix tarde toujours à venir.

    Devant cette léthargie dans laquelle est plongé notre pays, la Communauté Internationale, singulièrement l’Union Africaine, a pris ses responsabilités en désignant un médiateur, en la personne de SEM THABO MBEKI, Président de la République Sud Africaine.

    Malgré la complexité du dossier et le pessimisme affiché par les uns et les autres, SEM. THABO M’BEKI est parvenu a réunir à Pretoria l’ensemble des acteurs politiques clés de la crise ivoirienne :
    – SEM. Laurent GBAGBO, Président de la République de Côte d’Ivoire ;
    – SEM. Seydou Elimane DIARRA, 1er Ministre de la République de Côte d’Ivoire ;
    – SEM. Henri Konan BEDIE, Ancien Président de la République de Côte d’Ivoire, Président du PDCI-RDA ;
    – SEM. Alassane Dramane OUATTARA, Ancien Premier Ministre, Président du RDR ;
    – Mr. SORO Kigbafori Guillaume, Ministre d’Etat, Ministre de la Communication, Secrétaire Général des Forces Nouvelles.

    De leur concertation est né un accord, dit accord de Pretoria, signé par tous, le 06 avril 2005.

    Analysant donc la situation actuelle, et devant l’accalmie relative constatée ces derniers jours sur le front politique, le Caucus des organisations féminines de la société civile ivoirienne :
    Félicite et remercie SEM. THABO MBEKI pour son implication effective dans le processus de retour de la paix en Côte d’Ivoire
    1- Salue et félicite SEM. Laurent GBAGBO pour son sens élevé du devoir en tant que Chef de l’Etat, garant de l’unité nationale
    2- Félicite et remercie les personnalités politiques ivoiriennes signataires de l’accord de Pretoria pour leur sens élevé de la nation et pour l’intérêt qu’elles accordent à la paix dans leur pays, en déclarant unanimement la fin de la guerre.
    3- Félicite et remercie la population civile pour avoir compris que le seul combat qui vaille la peine est celui de la paix et du développement.
    4- Interpelle les Ivoiriennes, les Ivoiriens et les amis de la Côte d’Ivoire, afin qu’ils fassent leur l’accord de Pretoria, en s’abstenant de toute action pouvant mettre à mal le processus de retour à la paix.
    5- Demande instamment que la décision relative à l’article 35 qui a été annoncée par SEM. THABO MBEKI Président de la République Sud Africaine, médiateur, soit appliquée, aussi bien par l’ensemble des signataires de l’accord de Pretoria, tous les partis politiques, les mouvements patriotiques, que la population ivoirienne.
    6- Demande aux Forces de Défense et de Sécurité et aux Forces Armées des Forces Nouvelles ainsi qu’aux Forces Impartiales de débuter le processus du DDR à la date prévue par l’accord de Pretoria.
    7- Demande que la recherche de la paix, sans calcul, pour le bien de toutes et de tous, habite le cœur de tous les Ivoiriens.

    Pour la rencontre avec le Chef de l’Etat, le Caucus appelle toutes les femmes des différentes organisations à prendre part à l’importante mobilisation qui aura lieu le 19 Avril 2005 à partir de 9 Heures, à la Présidence. A cet effet, les femmes devront être vêtues de blanc, signe de
    Paix et de pureté.

    Je vous remercie

    Fait à Abidjan, le 18 avril 2005

    Pour le Caucus des femmes
    Mme Salimata PORQUET
    Coordinatrice

  • Lettre adressée à Monsieur Koffi Annan par les ONG de la “plate-forme Côte d’Ivoire”

    Paris le 1er avril 2005 Monsieur le Secrétaire Général, Les acteurs internationaux et français de solidarité internationale et de défense des droits de l’Homme, réunis dans « la plate-forme Côte d’Ivoire », suivent avec une extrême préoccupation la situation en Côte d’Ivoire depuis plusieurs années. A quelques jours de l’expiration du mandat de l’ONUCI et de la Force Licorne et à sept mois de la fin du mandat constitutionnel du Président Gbagbo, la résolution pacifique du conflit dans ce pays nous apparaît gravement compromise. La rupture du cessez-le-feu le 28 février 2005 à Logoualé, la multiplication des milices armées, le recrutement et le déploiement d’éléments armés de part et d’autre de la zone de confiance et l’évocation dans les médias locaux d’un recours aux armes pour régler la crise font craindre une nouvelle escalade de la violence. Face à cette situation, la communauté internationale doit prendre des décisions fermes pour éviter la reprise des combats, pouvant conduire à la généralisation des conflits intercommunautaires et à un possible conflit régional. L’accumulation des crimes impunis, commis par les deux parties au conflit depuis le début de la rébellion, constitue un obstacle majeur à la réconciliation nationale. L’absence de justice créée un besoin de revanche et enclenche inévitablement une spirale de la violence. Pour y mettre un terme, les responsables présumés de ces crimes doivent être traduits en justice. Le système judiciaire, soumis à de fortes pressions, manque d’indépendance vis-à-vis du pouvoir exécutif. Dans la zone de confiance, l’autorité judiciaire est absente. Il existe ainsi sur l’ensemble du territoire ivoirien un climat d’impunité pour les violations des droits de l’homme. Le gouvernement de réconciliation nationale n’a pas l’autorité pour mener à bien le programme de désarmement et assurer seul la crédibilité du processus électoral. La « plate-forme Côte d’Ivoire » vous demande en conséquence de bien vouloir proposer au Conseil de sécurité des Nations Unies d’adopter une nouvelle résolution qui : a. Fixe la protection des populations civiles comme une des priorités opérationnelles principales de l’ONUCI, notamment en la dotant de règles d’engagement claires afin d’aller au delà de la contribution à la promotion et à la protection des droits de l’homme et de la simple protection des civils exposés à une menace imminente. b. Assure une présence plus efficace en matière d’observation des droits de l’homme sur le terrain, en ouvrant de nouveaux bureaux de la division de l’ONUCI en charge des droits de l’homme, à Odienne, Korhogo, Bouna et San Pedro, et en déployant davantage d’observateurs. c. Renforce la lutte contre l’impunité, en menant des enquêtes judiciaires au sujet des violations des droits de l’homme, en identifiant les auteurs de ces violations, et en les amenant à répondre de leurs actes. d. Crée une Commission internationale d’enquête sur les violences commises sur l’ensemble du territoire ivoirien depuis la rupture du cessez-le-feu du 4 novembre 2004. e. Augmente les effectifs de la force militaire, de la police civile, et du personnel civil de l’ONUCI, en créant notamment une unité de réaction rapide convenablement équipée. f. Prenne en charge le programme de Désarmement, de Démobilisation et de Réinsertion (DDR) des deux côtés de la zone de confiance. g. S’implique fortement dans l’organisation, la supervision et le contrôle des différents scrutins. Dans l’immédiat, la « plate-forme Côte d’Ivoire » vous demande de :
    • Déployer davantage de casques bleus dans l’ouest et le centre ouest de la Côte d’Ivoire afin de mettre un terme aux attaques d’éléments armés sur les populations civiles qui occasionnent de graves et constantes atteintes aux droits de l’homme depuis septembre 2002.
    • Appliquer immédiatement les sanctions ciblées à l’encontre de tous ceux dont les actions constituent une menace à la paix et à la réconciliation nationale, notamment à l’encontre des responsables d’atteintes graves aux droits de l’homme et aux responsables des médias qui exacerbent les tensions ethniques et intercommunautaires et appellent à combattre les forces impartiales.
    • Rendre public le rapport de la commission internationale d’enquête sur les allégations de violations des droits de l’homme et du droit international humanitaire perpétrés en Côte d’Ivoire entre le 19 septembre 2002 et octobre 2004, achevé depuis octobre 2004.
    Nous espérons que vous aurez à cœur de relayer nos préoccupations auprès des membres du Conseil de sécurité des Nations unies, et que des efforts seront apportés pour améliorer les points que nous avons soulevés. Veuillez agréer, Monsieur le Secrétaire Général, l’expression de ma haute considération. Sylvie Bukhari de Pontual Présidente de l’ACAT-France Copies aux : Représentant de la France au Conseil de sécurité des Nations unies, Monsieur Jean-Marc Rochereau de la Sablière, Fax : 00.1.212.207.87.65 Directeur Général des Affaires Politiques et de Sécurité, Ministère des Affaires étrangères, Monsieur Stanislas de Laboulaye, Fax : 01.43.17.45.45 Directeur des Nations unies et des Organisations internationales, Ministère des Affaires étrangères, Monsieur Jean-Maurice Ripert, Fax : 01.43.17.46.91 Signataires :
    • Action des Chrétiens pour l’Abolition de la Torture France (ACAT-France)
    • Comité Catholique contre la Faim et pour le Développement (CCFD)
    • Fédération Internationale des Ligues des Droits de l’Homme (FIDH)
    • Secours Catholique Caritas France
    • Survie
    • Terre des Hommes France

    Documents joints

    Lettre adressée à Monsieur Koffi Annan par les ONG de la “plate-forme Côte d’Ivoire”
  • Engagement CCFD en Côte d’Ivoire

    Le CCFD compte actuellement 14 partenaires dans le pays, dont 2 réseaux,
    + 3 ou 4 ONG locales dites alliées, que nous suivons aussi, car faisant partie des réseaux et susceptibles d’entrer dans des cofinancements.

    (suite…)

  • Lettre à M. Jacques Chirac

    Objet : situation en Côte-d’Ivoire

    Paris, le 21 février 2005

    (suite…)

  • Les ONG demandent la transparence sur les événements

    Les acteurs de solidarité internationale et associations de défense des droits de l’Homme, réunis au sein d’une plate-forme commune, suivent l’évolution de la situation en Côte d’Ivoire avec une inquiétude croissante.

    (suite…)

  • Lettre ouverte au Ministre des Affaires Etrangères de la République Française et au Secrétaire Général de l’Organisation des Nations Unies

    Paris, le 24 janvier 2003

    L’accord conclu le 24 janvier[[L’accord stricto sensu ne fait pas mention de la répartition des portefeuilles ministériels dont les auteurs de cette lettre n’avaient pas connaissance au moment de sa rédaction.]] entre les négociateurs réunis à Marcoussis est porteur d’espoir pour une paix en Côte d’Ivoire.

    Cependant, il faut rappeler que nulle part dans le monde le pouvoir politique n’est, ni ne doit être, l’apanage exclusif des partis politiques. C’est ainsi que nous demandons que les acteurs de la société civile indépendants des partis politiques soient reconnus formellement comme participants au processus de reconstruction d’une paix durable en Côte d’Ivoire.

    (suite…)

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