• Qui sommes-nous ?
    • Retour
    • Qui sommes-nous ?
    • La gouvernance
    • Les rapports institutionnels
  • Nos combats
    • Retour
    • Nos combats
    • Paix et vivre ensemble
    • Souveraineté Alimentaire
    • Migrations Internationales
    • Justice Economique
  • Nos partenaires
    • Retour
    • Nos partenaires
    • Nos programmes
    • Nos projets
  • Actualités
    • Retour
    • Actualites
    • Nos dossiers thématiques
    • magazine échos du monde
    • Revue de presse
  • Qui sommes-nous ?
    • Retour
    • Qui sommes-nous ?
    • La gouvernance
    • Les rapports institutionnels
  • Nos combats
    • Retour
    • Nos combats
    • Paix et vivre ensemble
    • Souveraineté Alimentaire
    • Migrations Internationales
    • Justice Economique
  • Nos partenaires
    • Retour
    • Nos partenaires
    • Nos programmes
    • Nos projets
  • Actualités
    • Retour
    • Actualites
    • Nos dossiers thématiques
    • magazine échos du monde
    • Revue de presse
J'agis Je donne
  • retour
  • EN
  • En vacances avec des demandeurs d’asile au Pays basque (diaporama)

    Inviter des familles de demandeurs d’asile à passer des vacances ensemble? C’est le pari relevé au mois d’août par des bénévoles du CCFD-Terre Solidaire et de l’association Bestearekin à Mauléon-Licharre au Pays Basque. Ci-dessous en images, cinq jours de jeux, de visites, d’échanges, de découvertes mutuelles et de joie!

    (suite…)

  • Vingt ans après en Bosnie-Herzégovine, une citoyenneté à construire

    La Bosnie, vingt ans après la guerre, est toujours un pays divisé, dont les institutions, dessinées au moment des Accords de Dayton en 1995, restent communautarisées. Le CCFD-Terre Solidaire soutient les initiatives qui vont dans le sens de la coexistence, que ce soit par un travail sur la mémoire et la justice, un soutien à la structuration de l’agriculture familiale, ou aux organisations de jeunesse qui ont envie d’un autre avenir pour leur pays

    (suite…)

  • Mobilisation citoyenne des jeunes dans les Balkans de l’après-guerre

    Comment regarder vers l’avenir dans les pays de l’ex-Yougoslavie marqués depuis les guerres civiles des années 1990 par la montée des nationalismes et le repli sur soi ? Une mission à laquelle s’attache l’association Youth Intitiative for Human Rights-Bosnie, un partenaire du CCFD, en multipliant rencontres entre jeunes et interpellations des autorités politiques.

    (suite…)

  • Au Kosovo, le Humanitarian Law Center recherche et fait connaître la vérité sur les crimes de guerre

    Betim ZLLANOGA travaille pour le Centre de droit humanitaire (Humanitarian Law Center) au Kosovo. Invité en France par le CCFD-Terre Solidaire, il témoigne du travail de recherche mené par son organisation sur les crimes commis pendant la guerre de 1999 et sur l’accès à la justice dans le tout nouvel état Kosovar.

    (suite…)

  • Quand le rappel à la loi renforce le droit des Roms

    Parce que les droits de l’Homme sont aussi ceux des Roms, l’association Romani Criss, conjugue actions juridiques et « empowerment » des communautés.

    (suite…)

  • En Roumanie, comment réduire la sous-scolarisation des Roms ?

    En dépit de l’adoption en 2001, d’une stratégie nationale pour améliorer la situation des Roms dont leur accès à l’éducation, la scolarisation des enfants roms ne va toujours pas de soi en Roumanie.

    (suite…)

  • Après l’acquittement de militaires croates, quel avenir pour ceux qui œuvrent en faveur de la réconciliation dans les Balkans ?

    Le Tribunal international pour l’ex-Yougoslavie (TPIY) vient d’acquitter en appel, le général Ante Gotovina, ancien commandant de l’armée croate et Mladen Markać, ancien commandant des forces spéciales du ministère croate de l’Intérieur alors qu’ils avaient été condamnés en première instance respectivement à 24 et 19 années d’emprisonnement.

    (suite…)

  • Appel à une mobilisation contre la négation du génocide

    Vingt ans après le début de la guerre en Bosnie-Herzégovine (ex-Yougoslavie), huit associations veulent rendre hommage aux victimes civiles de la région de Prijedor, située au nord de ce pays.

    (suite…)

  • Aide et soutien psychologique auprès des orphelins de la guerre

    “L’éducation, c’est l’avenir de la Bosnie-Herzégovine”, cette association fondée par Jovan Divjak et partenaire du CCFD-Terre Solidaire, a pour principal objectif de prendre en charge les orphelins de la guerre : bourses scolaires, voyages de groupes et soutien matériel aux familles d’accueil.

    (suite…)

  • Le CCFD-Terre Solidaire demande la libération immédiate de Jovan Divjak

    Arrestation de Jovan Divjak, directeur de l’association L’Education construit la Bosnie-Herzégovine par les autorités autrichiennes la nuit dernière

    (suite…)

  • Lutte contre la discrimination des Roms en Roumanie

    Romani CRISS a une double signification : C.R.I.S.S. est le sigle de Centre Rom d’Interventions et d’Etudes sociales mais c’est également un mot romani qui désigne l’instance communale ou communautaire au sein de laquelle les gens se réunissent pour débattre, arbitrer et résoudre leurs disputes et conflits ; une sorte de tribunal ou cour de justice où les règles et les valeurs du groupe sont énoncées.

    (suite…)

  • Programme de dialogue inter ethnique

    La Bosnie-Herzégovine traverse une période instable et dangereuse, marquée par le renforcement des divisions ethniques et la montée du communautarisme. Alors que la perspective des élections à l’automne prochain exacerbe ce climat, l’Europe peine à soutenir d’une voix forte et unie une Bosnie multiethnique. Pourtant des acteurs associatifs bosniens s’engagent en faveur de la coexistence. Exemple en est Youth Initiative for Human Rights.

    (suite…)

  • Kosovo

    Un Etat en construction, des communautés profondément divisées

    Le Kosovo a été le théâtre de violences extrêmes à la fin des années 1990, dans le prolongement des guerres ex-yougoslaves. Jusqu’alors province de la Serbie, il a déclaré son indépendance le 17 février 2008 après l’échec répété des négociations entre les Albanais du Kosovo et les autorités serbes. Depuis, les institutions du Kosovo se mettent doucement en place, notamment avec le soutien de la mission civile européenne Eulex. Le nouvel Etat s’est doté d’une constitution et les premières élections ont pu avoir lieu. Cet Etat est encore en recherche de reconnaissance. Au sein de l’Union Européenne par exemple, si 22 Etats ont reconnu le Kosovo comme nouvel Etat souverain, 5 refusent toujours de le faire (Roumanie, Espagne, Slovaquie, Chypre, Grèce). Les autorités de Belgrade, ainsi que l’écrasante majorité de la population serbe, rejettent toujours fermement l’indépendance de la province qu’ils comprennent comme le « berceau » de la civilisation serbe, faisant ainsi du Kosovo un élément de blocage dans le rapprochement entre la Serbie et l’UE. La Russie apporte un soutien sans faille à la Serbie dans ce dossier qui rend les relations entre la Serbie et le Kosovo extrêmement difficiles.

    Dans ce contexte politique en construction, la division entre la majorité albanaise et la minorité serbe est de plus en plus forte. Les Serbes vivent en effet le plus souvent dans des enclaves. La gestion de la mémoire, et en particulier de la mémoire concernant les crimes commis lors du dernier conflit, a conduit à l’élaboration d’histoires antagonistes. Les jeunes albanais et serbes du Kosovo reçoivent ainsi une éducation différente et ne partagent donc pas d’imaginaire commun. La ville de Mitrovica, divisée en deux, le nord étant habité par des Serbes et le sud par les Albanais, constitue l’exemple d’un cloisonnement de plus en plus fort entre les communautés et rappelle tristement d’autres villes ainsi divisées dans les pays de l’Ex-Yougoslavie. Mais la minorité serbe n’est pas la seule au Kosovo. De nombreuses autres populations sont aussi dans cette position minoritaire et peinent à se faire entendre et à faire valoir leurs droits. On peut citer l’exemple des Roms. La situation des enfants issus de ces minorités est très préoccupante. La majorité d’entre eux est déscolarisée et n’a donc pas les moyens de se construire un avenir.

    La population en général vit dans un contexte socio-économique très difficile, marqué par le manque de perspectives et le chômage de masse. Les 15-26 ans représentent 57% de la population totale et sont les plus touchés par la pauvreté extrême et le chômage. Ayant peu de perspectives pour le futur, quitter leur pays leur semble être la seule option possible. De plus, on  note que de nombreux Kosovars ont quitté leur pays lors du conflit à la fin des années 1990 et sont aujourd’hui expulsés de l’Union Européenne sur la base des accords de réadmission, récemment signés avec l’UE. Ces accords permettent de faciliter l’expulsion vers leur pays d’origine des individus rentrés illégalement sur le territoire d’un Etat membre de l’UE. Comme dans l’ensemble des Etats issus de l’Ex Yougoslavie, les conditions d’un retour durable des personnes déplacées, réfugiées ou bien expulsées de l’UE ne sont toujours pas réunies et font de ces populations une autre catégorie particulièrement vulnérable.

    Les actions soutenues par le CCFD-Terre Solidaire

    Nous soutenons des associations qui travaillent auprès des minorités, telles que RAD Center. Cette même association est aussi très engagée sur la problématique des expulsions de l’UE. Elle vient ainsi en aide aux Roms et Ashkalis qui sont forcés de retourner au Kosovo. La tension étant toujours présente, et même en augmentation entre les Albanais du Kosovo et les minorités, en particulier rom et serbe, les actions en faveur de la prévention des conflits sont plus que jamais essentielles. Dans cette perspective, nous soutenons par exemple le Humanitarian Law Center qui œuvre au rapprochement concret entre associations serbes et albanaises, à l’intégration des Roms dans la société civile et qui s’investit également dans le travail pour la mémoire et la justice, notamment en assurant le suivi des procès pour crimes de guerre.

    L’engagement du CCFD-Terre Solidaire, dans ce contexte de construction de l’Etat kosovar, consiste donc à appuyer les actions qui se proposent de lutter contre toutes les formes de ségrégation et de violence et qui visent à permettre aux minorités de prendre activement part à la construction de ce nouvel Etat. La jeunesse, encore une fois, est au cœur de nos préoccupations. En grande difficulté, sans perspectives solides d’avenir, elle s’engage peu et il semble essentiel de l’inciter à se mobiliser.

  • Manifeste – Tchétchénie

    Après la fin des conflits armés, la violence au quotidien

    La Tchétchénie est une petite république située dans le nord Caucase, au sein de la Fédération de Russie. Entre 1994 et 1996, puis à nouveau à partir de 1999, la population tchétchène a du faire face à des conflits extrêmement sanglants, prise en étau entre les troupes russes et les indépendantistes tchétchènes. Ces deux conflits successifs se sont soldés par des centaines de milliers de morts, en majorité civils. Des villes telles que la capitale Grozny ont été complètement anéanties sous les bombes. Depuis, la guerre a officiellement pris fin et on serait rentré dans une période dite de « normalisation ». Grozny est un vaste chantier,  les nouveaux immeubles sortent rapidement de terre. Malgré cette reconstruction apparente du centre-ville et la fin officielle le 16 avril 2009 de l’ « opération antiterroriste » menée par les Russes et lancée il y a dix ans, force est de constater que la violence n’a pas disparue. Les règlements de compte, disparitions et actes de violence sont quotidiens. Les défenseurs des droits de l’homme, qui combattent notamment pour la justice et la reconnaissance des crimes commis, sont les premières victimes de ce climat de terreur. L’assassinat récent de Natalia Estemirova, défenseure des droits de l’homme au sein de l’association Mémorial et ancienne journaliste, est malheureusement là pour en témoigner. Un rapport publié le 24 novembre 2009 par le commissaire aux droits de l’homme du Conseil de l’Europe souligne l’augmentation de la violence par rapport à l’année précédente. Il indique également que la pratique des disparitions courtes se développe de plus en plus. Celles-ci consistent en l’enlèvement de personnes pendant quelques jours, qui subissent violence et torture. Elles sont ensuite libérées et refusent de parler, par peur des représailles. Ce même rapport dénonce l’absence de véritables enquêtes sur les crimes commis. 60 fosses ont ainsi été répertoriées, contenant 3000 morts qui restent non identifiés. L’actuel président Ramzan Kadyrov, « parachuté » au pouvoir et soutenu par Moscou, se caractérise par sa brutalité. Les atteintes aux droits humains, notamment commises par ses milices aujourd’hui intégrées dans les services officiels de maintien de l’ordre, sont nombreuses. Son régime se caractérise de plus en plus par sa dérive islamiste et autoritaire. Les portraits géants à la gloire de Vladimir Poutine et de Kadyrov dans la capitale ne font que confirmer cette tendance. On assiste en effet au développement d’un véritable culte de la personnalité ne laissant aucun espace libre d’expression et d’opposition.

    Au niveau social, la population est extrêmement marquée par les conflits successifs et souffre donc dans son ensemble du syndrome post-traumatique. Elle a besoin de soins médicaux et d’un soutien psychologique. Selon la dirigeante de l’ONG échos de la guerre, il y aurait 30 000 orphelins et 19 000 invalides. Les familles, sans nouvelles des disparus, peinent à se reconstruire. Le Comité International de la Croix Rouge a dénombré 1260 cas, tandis que des ONGs tchétchènes avancent le chiffre de 4400 disparitions. La population vit dans la peur des enlèvements et des intimidations et dans une très grande précarité. Aucune aide sociale ni médicale n’est proposée aux Tchétchènes qui se décident à quitter les camps de réfugiés pour rentrer chez eux. Le chômage atteint 70% de la population. Les jeunes sont désœuvrés, sans repères ni perspectives. Enfin, les femmes sont de plus en plus victimes d’une restriction de leurs libertés. Le président Kadyrov a effet imposé à nouveau le port du voile et la polygamie et les meurtres de femmes et crimes d’honneur se sont multipliés au cours des dernières années.

    Les actions soutenues par le CCFD-Terre Solidaire en Tchétchénie

    Dans un contexte de surveillance accrue et de négation des libertés, le CCFD-Terre Solidaire apporte son soutien aux associations tchétchènes et russes qui se battent pour le respect des droits humains, la justice et viennent en aide aux populations les plus vulnérables. On compte parmi ces associations Mémorial et le Centre pour la paix et le développement des communautés. Il s’agit de les aider à se renforcer au niveau institutionnel, notamment par leur mise en relation avec des associations plus anciennes et solides. Le CCFD-Terre Solidaire apporte une attention toute particulière aux femmes, notamment en soutenant l’association Sintem qui permet à celles-ci d’avoir des espaces de libre expression. Cette association les aide aussi à se reconstruire et à gérer le syndrome post-traumatique.

    L’aide aux déplacés et réfugiés est également une priorité pour le CCFD-Terre Solidaire. Ce dernier soutient le Comité d’assistance civique qui les aide à faire valoir leurs droits. Le sort des Roms est aussi au cœur de notre engagement, avec la volonté de mettre en relation des ONGs comme Mémorial avec les associations travaillant au niveau européen sur les mêmes problématiques. Enfin, avec ses alliés, notamment le Secours Catholique, le CCFD-Terre Solidaire entend sensibiliser l’opinion publique française sur les violations des droits de l’homme en Tchétchénie et dans le Caucase.

Je reste informé ! Je m'abonne à la newsletter

Je m'abonne
loader
Utilisation des données

Respect des garanties rgpd

Les données communiquées via ce formulaire sont collectées avec votre consentement et sont destinées au CCFD-Terre Solidaire en sa qualité de responsable du traitement.
Elles sont destinées à la direction du développement des générosités pour vous envoyer notre actualité et vous tenir informé de nos actions.
Pour l’exercice de vos droits d’accès à vos données, vous pouvez contacter notre Délégué à la Protection des Données personnelles par courriel dpo@ccfd-terresolidaire.org ou par courrier postal :

CCFD-Terre Solidaire (DPO)
4 rue Jean Lantier
75001 PARIS

En cas de difficulté en lien avec la gestion de vos données personnelles, vous pouvez adresser une réclamation à la CNIL.

J'agis
Je donne

Vous souhaitez nous rejoindre ?

Offre d'emploi

Offres d'emploi

Consulter Consulter
Offre de bénévolat

Offres de bénévolat

Consulter Consulter
Logo Terre Solidaire
  • Suivez-nous :
  • Twitter
  • Facebook
  • Linkedin
  • Youtube
  • Instagram
Comité Catholique contre la faim et pour le développement
- Terre solidaire
  • Contactez-nous
  • F.A.Q.
  • Mentions légales
  • Cookies
  • Espace presse
  • Espace bénévole
  • Espace donateur
  • Articles
  • Twitter
  • Facebook
  • Linkedin
  • Youtube
  • Instagram
N° SIREN 775 664 527 - N° RNA W759000066