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  • Les enjeux de la reconstruction

    Les Dalits sont négligés par la distribution de l’aide et même exclus des camps de réfugiés. Parfois en conflit avec les communautés de pêcheurs, ils sont affectés aux tâches les plus dures de nettoyage des zones affectées. Les autorités indiennes perpétuent cette discrimination dans la distribution de l’aide publique. Femmes et enfants: exclus de fait Les enfants seuls ne sont pas pris en compte comme des acteurs à part entière. Quant aux femmes seules, elles ne sont pas considérées comme chefs de famille et ne sont donc pas visées par l’aide . La captation de l’aide par des organisations religieuses Certaines organisations (chrétiennes, fondamentalistes hindoues ou musulmanes) captent l’aide internationale au profit de “leurs” bénéficiaires (pêcheurs chrétiens par exemple). Le contrôle des pouvoirs publics Pour s’assurer de l’équité et de l’efficacité de l’action publique face à la catastrophe, de nombreuses Ong locales contrôlent les autorités indiennes. La question de la prévention des catastrophes a également surgi. Quid des acteurs locaux? Le processus de réhabilitation doit prendre en compte les acteurs locaux traditionnels présents avant le tsunami, tels les Panchayat. Maintenir les populations dans leur environnement Petits pêcheurs, Dalits : ces populations sont fragiles face aux grands projets économiques et industriels nationaux ou étrangers qui convoitent la zone côtière. Le tsunami, en déplaçant les hommes et en détruisant leur habitat, accentue leur vulnérabilité. Tsunami Inde – La situation au 9 janvier – CCFD (PDF – 8 pages) Les Dalits victimes de discrimination – CCFD (PDF – 3 pages)

    Documents joints

    Tsunami Inde – La situation au 9 janvier – CCFD (PDF – 8 pages)
    Les Dalits victimes de discrimination – CCFD (PDF – 3 pages)
  • Problèmes de répartition et captation de l’aide

    De Fédina Inde, 9 janvier 2005

    (suite…)

  • « Les Intouchables indiens ramassent les morts du raz-de-marée »

    Traduction française de l’article « India’s untouchables gather tsunami dead » de l’agence Reuter, 3 janvier.

    (suite…)

  • Causes et conséquences économiques et sociales du désastre

    Ces dix dernières années, les populations du Tamil Nadu, comme ailleurs, ont été l’objet d’atteintes répétées de la part de nombreux groupes locaux et étrangers ayant pour objectif de leur faire abandonner leurs lieux de vie traditionnel : la création d’un élevage intensif de la crevette, la pollution épouvantable par les industries chimiques et les centrales nucléaires de la région, le développement des industries liées au tourisme et aux loisirs, les développements outranciers des infrastructures, des autoroutes et des ports, la route côtière de l’Est… Toutes ces activités ont repoussé dangereusement ces populations de pêcheurs encore plus près de la mer, les réduisant en masse à l’état de main d’œuvre journalière bon marché. La loi sur la Réglementation de la Zone Côtière, qui interdisait toute construction à moins de 500 mètres de la côte a été systématiquement transgressée bien souvent avec la complicité des autorités. Les récifs coralliens et les mangroves qui constituent des remparts naturels contre les tempêtes et les raz de marée ont été massivement détruits. A présent, ces groupes peuvent invoquer la tragédie du Tsunami pour déplacer définitivement les populations de pêcheurs de la zone côtière, sous le prétexte de les protéger alors qu’ils envisagent de permettre encore plus largement l’implantation de leurs groupes sur nos côtes. Il ne s’agit pas là simplement d’une crainte. Cela s’est déjà produit dans les états d’Orissa et du Gujarat.
    Du TTRC (coalition créée pour gérer l’aide d’urgence), Tamil Nadu, Inde.

  • Le bilan en Inde

    Deux régions sinistrées

    L’Etat du Tamil Nadu (55 millions d’habitants), au sud-est du pays, concentre plus de 70% des 10 730 morts et plus de 5600 disparus. L’archipel d’Andaman et Nicobar, situé à l’est de l’Océan indien, recenserait plusieurs milliers de victimes (sur 300 000 habitants). Sur les 2000 km de côte de l’Etat du Tamil Nadu, au moins 300 000 personnes ont dû être accueillies dans des camps de réfugiés.

    15 000 embarcations et 95 000 filets de pêche auraient été détruits. En tout, plus de 6,7 millions de personnes seraient affectées par le tsunami en Inde.

    Non à l’aide internationale

    Le gouvernement indien a refusé l’aide publique internationale et, fidèle à sa prétention de puissance, a souhaité porter secours aux pays voisins. Dans certaines zones, des sources font valoir que les risques sanitaires sont écartés. Mais l’urgence demeure, notamment pour les Dalits (Intouchables) négligés par l’aide d’urgence.

    inde.jpg

  • INDE : La mobilisation des partenaires

    18 partenaires du Ccfd sont mobilisés depuis le 26 décembre en Inde.

    (suite…)

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