• Qui sommes-nous ?
    • Retour
    • Qui sommes-nous ?
    • La gouvernance
    • Les rapports institutionnels
  • Nos combats
    • Retour
    • Nos combats
    • Paix et vivre ensemble
    • Souveraineté Alimentaire
    • Migrations Internationales
    • Justice Economique
  • Nos partenaires
    • Retour
    • Nos partenaires
    • Nos programmes
    • Nos projets
  • Actualités
    • Retour
    • Actualites
    • Nos dossiers thématiques
    • magazine échos du monde
    • Revue de presse
  • Qui sommes-nous ?
    • Retour
    • Qui sommes-nous ?
    • La gouvernance
    • Les rapports institutionnels
  • Nos combats
    • Retour
    • Nos combats
    • Paix et vivre ensemble
    • Souveraineté Alimentaire
    • Migrations Internationales
    • Justice Economique
  • Nos partenaires
    • Retour
    • Nos partenaires
    • Nos programmes
    • Nos projets
  • Actualités
    • Retour
    • Actualites
    • Nos dossiers thématiques
    • magazine échos du monde
    • Revue de presse
J'agis Je donne
  • retour
  • EN
  • Un guide pour accompagner une démarche de voyage solidaire : Pourquoi et pour qui ?

    (suite…)

  • Quelques ressources complémentaires pour une introduction aux voyages solidaires

    voir.png

    Humanitudes,

    Vincent Froehly, documentaire, 62 mn, 2000, disponible auprès d’Atlantic Télévision, atv@atlantic-television.fr
    Regard (im)pertinent porté sur le séjour d’un groupe de jeunes étudiants au Togo. Motivations au départ et à l’accueil, construction d’un partenariat, approche de la solidarité internationale, vie de groupe, réalité de la rencontre interculturelle… Tout y passe, sans complaisance ; après, on ne peut pas dire : « je n’imaginais pas que… ». Un docu « choc » qui permet de vérifier que la réalité dépasse souvent la fiction… et surtout de ne pas craindre d’accompagner ces projets.

    lire.png

    Partir pour être solidaire ?

    Ritimo, 2007, www.ritimo.org/H/livres.html
    Ludique et percutant comme tous les guides Ritimo, son premier chapitre est consacré aux motivations au départ. Une première approche en particulier pour ceux qui ont « l’aide » comme motivation affichée. Il peut être utilement complété par Vacances, j’oublie tout ?, un autre guide Ritimo.

    voir.png

    Solidarité Vidéastes,

    Esprit d’ébène, distribués par le FONJEP et France Volontaires.
    Chaque année, depuis 2008, 5 ou 6 reportages (10 à 15 mn) de groupes de jeunes sur leurs séjours « solidaires » sont sélectionnés et regroupés sur un seul DVD. Une bonne manière à la fois d’imaginer la diversité des destinations et des « thèmes » de séjour, mais aussi de mesurer certains enjeux et difficultés.

  • Témoignages de partenaires

  • Fiche 2 Comment utiliser ce guide ?

    Telle une caravane parcourant une partie de la planète, ce guide vise à amener les jeunes d’un point à un autre, depuis l’idée du voyage jusqu’à sa relecture.

    Il propose une démarche et des outils d’animation permettant à un animateur de cheminer avec un groupe de jeunes à travers cinq étapes incontournables dans un projet de voyage :

    1. l’identification des motivations de chacun et du groupe ;
    2. l’ouverture aux questions de solidarité internationale et à la notion de développement ;
    3. la préparation à la rencontre d’une autre culture ;
    4. la construction d’un partenariat avec l’association qui accueillera les jeunes ;
    5. la réflexion sur le retour, l’évaluation du projet et la proposition d’une suite au voyage.

    Chacune de ces routes sera développée dans un cahier, se présentant selon le plan suivant :

    1. Une rubrique « Caravansérail » : introduction identifiant les principaux enjeux et permettant à l’animateur de cerner les idées et messages clés du cahier.
    2. Des fiches pédagogiques pour animer : chacune propose une démarche originale, décrite pas à pas. Ces fiches ont chacune des objectifs spécifiques et ont été conçues pour être complémentaires les unes des autres.
    3. Une rubrique « Ressources » : éléments bibliographiques proposant plusieurs références afin de vous permettre d’approfondir certains points.

    Dans un premier temps, vous aurez à vous repérer dans les différents cahiers et comprendre le sens et les objectifs de chacun. Nous vous invitons pour ce faire à commencer par lire toutes les fiches « Caravansérail» (les premières rubriques de chaque étape).
    Dans un deuxième temps, vous pourrez mettre en regard ces différentes notions avec l’état d’avancée de la réflexion des jeunes que vous accompagnez. Il vous sera ainsi possible, le cas échéant, de passer rapidement sur les notions que vous jugez acquises, voire de fixer votre priorité de travail sur un seul des cahiers.
    Dans un troisième temps, vous pourrez prendre connaissance des fiches pédagogiques proposées.
    Mais, attention, l’objectif de ce guide n’est pas que vous utilisiez toutes les fiches pédagogiques ! Les propositions de méthodes d’animation y sont très variées. Chaque animateur peut y choisir à son gré celles qui lui correspondent le mieux, à la fois en termes de mise en œuvre pratique et de fond.
    Certaines prennent la forme de mises en situation ou de jeux qui peuvent (doivent !) entraîner, de la part des participants, des réactions très personnelles, voire vives. La remise en cause de repères ou d’idées des jeunes, visée par certaines animations, doit être abordée avec la plus grande attention et accompagnée d’un temps de discussion. Votre connaissance du groupe et de sa cohésion, guidera utilement vos choix. De manière générale, ces animations conviennent à des groupes variant de 3 à 15 personnes (voire parfois au-delà). Veillez dans la mesure du possible à ce que le nombre de participants soit suffisant pour assurer une expression variée d’opinions,
    tout en restant raisonnable afin que chacun puisse réellement prendre la parole.

    Durant tout ce cheminement, nous considérerons donc que le projet ne se limite pas à la durée du séjour mais à une démarche d’ensemble, allant de l’émergence de l’idée d’un départ en groupe, aux questionnements et investissements individuels et/ou collectifs au retour.

    LES POINTS QUE CE GUIDE NE TRAITERA PAS

    Toutes vos questions ne trouveront sans doute pas de réponse dans la démarche proposée sur ce site. Certains aspects ont en effet volontairement été laissés de côté car ils sont abordés sur d’autres supports ou s’éloignent trop de la compétence ou de la spécificité du CCFD-Terre Solidaire.

    Néanmoins, il ne s’agit pas de les négliger. Parmi ces aspects :
    1. L’accompagnement général d’un groupe de jeunes ; vie en groupe, place de l’épanouissement individuel dans un contexte collectif, vie affective et sentimentale, …
    La plupart des groupes sont en lien avec une structure associative, un mouvement de jeunesse, voire un établissement scolaire. Ces institutions ont toutes une pédagogie
    interne, le plus souvent explicite et très structurée. Il ne s’agit donc pas ici de se substituer à un projet qui est propre à votre association, mouvement ou service, mais
    d’intervenir en complément de cette pédagogie par des thématiques spécifiques comme la solidarité internationale et la rencontre interculturelle.
    2. La préparation administrative, financière, logistique d’un voyage à l’étranger, ainsi que les questions de santé. Nous n’entrerons pas dans le détail de ces questions, l’essentiel ayant déjà été écrit, et étant disponible dans d’autres guides ou sur différents supports internet.

    Cette démarche n’a rien d’exhaustif. De multiples outils pédagogiques existent dont vous pouvez nous faire part afin de faire évoluer notre proposition pédagogique.
    Pour finir cette présentation, notons qu’à la lecture de l’ensemble, l’ampleur du travail pourra vous paraître décourageante : les points importants que vous devrez aborder avec les jeunes sont nombreux. N’hésitez pas à vous entourer d’autres partenaires sur les sujets qui vous semblent personnellement plus délicats à appréhender.

    LES PLUS DU SITE INTERNET

    Ce site internet a comme vocation d’être régulièrement réactualisé, notamment au niveau des fiches pédagogiques et des ressources proposées. Il a également vocation d’être un espace d’échanges d’expériences sur les méthodologies utilisées ainsi que sur les approches des thématiques. N’hésitez pas à commenter les contenus, évoquer vos expériences, proposer des animations ou variantes, ainsi que des ressources pertinentes.
    Pour nous contacter : a.idrac@ccfd-terresolidaire.org

    VOUS TROUVEREZ ÉGALEMENT CE GUIDE EN VERSION PAPIER :

    Ce guide existe en version papier. Pour vous la procurer, vous pouvez vous rendre dans les délégations du CCFD-Terre Solidaire ou contacter a.idrac@ccfd-terresolidaire.org

    SESSION DE FORMATION POUR S’APPROPRIER LA DÉMARCHE

    En partenariat avec d’autres associations, le CCFD-Terre Solidaire anime deux fois par an une formation à l’accompagnement de voyage solidaire de jeunes, sur la base de la démarche Visa pour le voyage. Cette formation vous permettra d’appréhender les différentes étapes et de vous approprier certaines animations proposées. Retrouvez les dates et contacts dans la rubrique actualités de ce site.

    Documents joints

    cahier0_6_7.pdf
  • Fiche 1 Les enjeux de l’accompagnement de jeunes dans le cadre d’un voyage solidaire

    L’accompagnement est au cœur de toute démarche d’éducation populaire. Étymologiquement, le compagnon est celui qui partage la même ration de pain. Accompagner, c’est cheminer avec. Il ne s’agit donc pas d’apporter un savoir, de guider, mais d’« aider une personne à cheminer, à se construire, à atteindre ses buts »[[Martine BEAUVAIS, Vers une éthique de l’accompagnement, www.inrp.fr/biennale/7biennale/Contrib/longue/7088.pdf]]. En solo ou en groupe, par l’intermédiaire d’une institution, d’une association ou en « autonome », majeur ou pas encore ; les cas sont nombreux et divers, ce qui rend toute « recette » unique d’accompagnement impossible. Avant d’aborder quelques repères, précisons les enjeux.

    1. Au cœur du projet, le jeune et son devenir

    Pour le CCFD-Terre Solidaire, ces projets revêtent surtout une dimension d’éducation au développement. En résumé, par une rencontre concrète de certaines réalités, s’opère une prise de conscience sur les inégalités Nord-Sud et les injustices qui peut occasionner des changements d’attitudes, tant sur place qu’au retour en France. De la théorie à la pratique… C’est déjà pour favoriser ce cheminement que ce guide vous est proposé. Mais au-delà, c’est bien du développement, de l’épanouissement de chacun de ces jeunes dont il s’agit.
    Affirmer que « les voyages forment la jeunesse » c’est aller un peu vite. Si « L’auberge espagnole »[[L’auberge espagnole, Cédric KLAPISCH, 2002]] ou « Carnet de voyage »[[Carnet de voyage, Walter SALLES, 2004.]] illustrent des expériences transformatrices, tant de voyages « scolaires » ou de séjours « touristiques » sont là pour nous prouver que cela peut ne rien changer. Si le déplacement n’est que kilométrique ou avec une unique finalité d’apport technique (« nous partons pour creuser un puits »), sans réelle envie de rencontre de l’autre, en particulier dans son altérité, peu de déplacements « intérieurs » sont à espérer.
    Écoutons maintenant Nicolas Bouvier : « On croit qu’on va faire un voyage, mais bientôt c’est le voyage qui vous fait, ou vous défait »[[Nicolas BOUVIER, L’usage du monde, Petite Bibliothèque Payot, 2001, p. 12.]]. Nous sommes ici dans une posture de rencontre, d’ouverture. Elles peuvent m’enthousiasmer, favoriser un décentrage constructif par rapport à mes références, mes habitudes, mes croyances, mes savoirs. Elles peuvent aussi m’effrayer, m’amener à me recroqueviller sur moi-même, réveiller des « vieux démons » enfouis dans mon histoire.
    On parle souvent de « voyage initiatique », voire de « rite personnel de passage »[[Amina YALA, Volontaires en ONG : l’aventure ambiguë. Paris, Éditions Charles
    Léopold Mayer, 2005, p. 190.]]. Cette confrontation à une autre réalité peut nous fait revenir différent, portant un regard et des attitudes modifiés sur notre monde, notre environnement quotidien. Évoquons aussi l’idée d’« expérience sociale »[[François DUBET, Sociologie de l’expérience, Paris, Seuil, 1994.]]. En quelques mots, chacun de nous, est être de relations sociales et développe une réflexion éthique personnelle et des stratégies plus ou moins conscientes pour favoriser son insertion et sa « réussite ». Ces projets nous permettent d’amplifier, parfois fortement en un si court laps de temps, ces trois dimensions. Portant un regard plus personnel, construit autour d’un vécu, sur le monde et soi-même, nous pouvons être plus « acteur » dans la société.
    On le voit, les impacts sur chacun des voyageurs peuvent être considérables, d’autant plus que vous vous adressez le plus souvent à des jeunes en pleine construction. Comment alors concevoir la posture d’accompagnant ?
    ooooooh_que_si_petit.jpg

    2. Avant tout, le dialogue

    Dans le cas de ces projets de « voyages solidaires », il s’agit avant tout d’aider le jeune à faire des choix qui peuvent orienter sa vie. « Aider l’autre à se construire, implique, a minima, de l’aider à conscientiser ce qu’il fait et ce qu’il projette, et à s’en distancier » [[ibid note 1]]. ; il ne s’agit en rien d’éloigner le jeune de son projet, mais par la distanciation, lui permettre de se l’approprier par une démarche de verbalisation et de réflexion critique[[Ce travail peut l’amener à remettre en question son projet ou à le modifier,par exemple en ne souhaitant plus « partir » mais en s’engageant dans une structure d’accueil de migrants.]].
    Il y a là un risque pour l’accompagnant : en pensant (à tort ou à raison) détenir une expertise sur un sujet (par exemple les enjeux de la solidarité internationale ou le concept de partenariat), non pas accompagner mais simplement dispenser un savoir qui ne tient pas compte de la réalité, du contexte du jeune. L’accompagnement implique de partir d’où il en est et de cheminer en respectant des étapes intermédiaires, dans une relation caractérisée par le dialogue [[« La définition du verbe accompagner confirme cette organisation du sens, se joindre à quelqu’un (dimension relationnelle) pour aller où il va (dimension temporelle et opérationnelle), en même temps que lui : à son rythme, à sa mesure, à sa portée. Tel est le principe de base : l’action se règle à partir de l’autre, de ce qu’il est, de là où il en est. », Maela PAUL, Autour du mot accompagnement, Recherche et formation n° 62, 2009, http://ife.ens-lyon.fr/ publications/edition-electronique/recherche-et-formation/RR062-8.pdf .]].
    Ainsi, par exemple, des motivations exprimées peuvent sembler inadéquates, des représentations de populations locales empreintes de préjugés. Il ne s’agit pas de faire « rêver » le jeune, mais de chercher à savoir où il en est sur le sujet abordé pour imaginer l’étape à franchir ensemble. Surgit une difficulté supplémentaire dont il faudra tenir compte en présence d’un groupe : chacun de ses membres n’en est pas nécessairement à la même étape !
    L’accompagnement est un partage dans lequel le jeune exprime à la fois ses questionnements, ses doutes, ses convictions. L’accompagnant, dans ce dialogue, est là pour à la fois permettre au jeune d’exprimer sa liberté, son autonomie, tout en favorisant une dynamique réflexive en apportant ses propres doutes, questionnements, connaissances et convictions, mais aussi en permettant au jeune d’avoir accès à d’autres sources d’informations : témoignages, rencontres, lectures, documentaires ou films…
    Il doit à la fois tenir compte de la durée du projet et la prise en compte de chacun-e dans un contexte souvent de départ en groupe.


    3. Accompagner dans la durée

    Le « projet » ne peut évidemment se limiter à l’action (dans son sens matériel, « concret ») envisagée sur place (construire une école, monter une pièce de théâtre…). Il ne peut non plus se réduire au séjour en lui-même. Le « projet » a avant tout pour finalité le développement de chaque jeune, avec pour « support » une ou des activités en lien avec « le Sud », répondant à un certain nombre de critères éthiques définis par les différents partenaires concernés, démarche que ce guide peut vous aider à mener.
    Pour ce qui est de la durée du projet, il est commun d’affirmer que ces « voyages solidaires » se préparent pendant un an et se poursuivent plusieurs mois après le retour. Donc, nous voilà parti pour environ 18 mois a minima !

    QUELQUES ÉTAPES ESSENTIELLES EN TERMES D’ACCOMPAGNEMENT

    1. En premier lieu viendra l’expression des motivations des principaux acteurs concernés. Si la verbalisation des attentes des jeunes est indispensable, ne pas oublier d’aborder explicitement celles des autres acteurs essentiels : partenaires « sur place », institution ou association dont feraient partie les jeunes, parents, financeurs… Croiser ces différents regards, c’est aussi entrer de manière concrète dans la pluralité, la complexité et ainsi nourrir le débat et approfondir et mûrir ses propres opinions.

    2. Puis, définir un projet commun, parfois à partir d’attentes à la fois diverses et parfois contradictoires. Un conseil : entre ces deux étapes, prévoir des temps d’échanges et de partage entre membres du groupe, sur tous autres sujets, afin de développer la confiance réciproque et donc faciliter l’expression individuelle lors des débats sur le projet commun.

    3. Impliquer, responsabiliser en veillant à une répartition des tâches et des rôles. Bien entendu, on tiendra compte des compétences de chacun afin de ne pas mettre la barre trop haut tout en permettant aux uns et aux autres de prendre une place à part entière. Un exemple auquel on ne pense pas souvent : maintenir une veille d’information sur l’actualité du pays d’accueil grâce à Internet et la diffuser aux autres membres du groupe.

    4. Faire le point : en tant qu’accompagnant, faire un point régulier avec chacun puis collectivement sur l’avancement du projet de manière plus globale.

    5. Si vous allez sur place avec le groupe, parvenir à rester attentif à chacun (réactions, replis, enthousiasmes, peurs…) malgré les contraintes logistiques, les imprévus en tout genre et ses propres ressentis face à tout ce qui se passe tant dans le groupe que dans l’immersion, dans un autre contexte : bonne chance !

    6. Enfin, on n’oubliera pas l’étape du retour de séjour. L’expérience vécue « là-bas » est la plupart du temps extrêmement forte en émotions (en particulier à travers les relations nouées mais aussi les valeurs interpellées) et prises de conscience (« pauvreté », relations Nord-Sud, ses propres limites…). L’accompagnement, avec cette éthique du partage et de l’écoute, est alors primordial pour permettre la verbalisation du vécu et des ressentis afin de favoriser d’une part la prise de conscience de ce qui a été vécu et la mise en lien avec le parcours (passé et à venir) du jeune.

    Enfin, de manière plus transversale, trois points d’attention :

    • Veiller à l’expression et à la prise en compte de chacun-e dans les temps
      collectifs.
    • En fonction des groupes, des jeunes, le maintien de la motivation dans la durée peut être une difficulté. Pour cela, être attentif à chacun-e : il peut y avoir démotivation par manque d’intérêt, par sensation de rejet par le groupe, par peur, par crainte, non exprimées ou prises en compte, etc.
    • Multiplier des modalités pédagogiques, les activités : faire le point sur l’avancement du projet, visionner ensemble un fi lm, prévoir une sortie commune, aller manger ensemble dans un restaurant proposant de la cuisine du pays d’accueil, en rencontrer des ressortissants, participer à la Semaine de la solidarité internationale, échanger avec un autre groupe engagé dans une démarche similaire…

    L’accompagnement nécessite donc à la fois écoute et propositions pour élargir les horizons de la pensée de chacun. Le travail en réseau et l’échange entre adultes intervenant dans ces projets sont à privilégier. Mais le jeu en vaut la chandelle ; ces expériences sont « transformatrices d’identité, vers de nouvelles solidarités »[[Marc BULTEAU, Va, vis et deviens : en 2006, des jeunes adultes de Savoie
    voyagent à l’étranger ; expérience sociale transformatrice d’identité, vers de
    nouvelles solidarités. Téléchargeable gratuitement sur www.iteco.be/Vas-viset-deviens. Une « synthèse » par l’article « Voyages : de l’autre à soi, d’un soi transformé à une relation renouvelée à l’autre », disponible sur www.deroutes.com/AV5/bulteau5.htm]].

    Documents joints

    cahier0_acc.pdf

Je reste informé ! Je m'abonne à la newsletter

Je m'abonne
loader
Utilisation des données

Respect des garanties rgpd

Les données communiquées via ce formulaire sont collectées avec votre consentement et sont destinées au CCFD-Terre Solidaire en sa qualité de responsable du traitement.
Elles sont destinées à la direction du développement des générosités pour vous envoyer notre actualité et vous tenir informé de nos actions.
Pour l’exercice de vos droits d’accès à vos données, vous pouvez contacter notre Délégué à la Protection des Données personnelles par courriel dpo@ccfd-terresolidaire.org ou par courrier postal :

CCFD-Terre Solidaire (DPO)
4 rue Jean Lantier
75001 PARIS

En cas de difficulté en lien avec la gestion de vos données personnelles, vous pouvez adresser une réclamation à la CNIL.

J'agis
Je donne

Vous souhaitez nous rejoindre ?

Offre d'emploi

Offres d'emploi

Consulter Consulter
Offre de bénévolat

Offres de bénévolat

Consulter Consulter
Logo Terre Solidaire
  • Suivez-nous :
  • Twitter
  • Facebook
  • Linkedin
  • Youtube
  • Instagram
Comité Catholique contre la faim et pour le développement
- Terre solidaire
  • Contactez-nous
  • F.A.Q.
  • Mentions légales
  • Cookies
  • Espace presse
  • Espace bénévole
  • Espace donateur
  • Articles
  • Twitter
  • Facebook
  • Linkedin
  • Youtube
  • Instagram
N° SIREN 775 664 527 - N° RNA W759000066