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  • Des raisons d’espérer ?

    Parce que, là-bas, les acteurs locaux palestiniens et israéliens que nous soutenons continuent de s’engager à travers des projets qui favorisent le développement de la personne dans toutes ses dimensions et le vivre ensemble. Malgré une situation désespérante, ils trouvent dans leur action énergie et sens.

    (suite…)

  • Pourquoi s’engager publiquement

    Pour demander le respect du droit international ?

    (suite…)

  • Un enjeu régional

    Le conflit israélo-palestinien a également une dimension régionale qui, même s’il est loin d’être le seul facteur de déséquilibre, continue à peser sur la paix et le développement de toute la région.

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  • Catholicisme, judaïsme, et conflit israélo-palestinien

    Depuis Vatican II et la déclaration Nostra aetate, l’Église catholique a fait des avancées théologiques très importantes sur le dialogue inter-religieux, et notamment avec le judaïsme.

    (suite…)

  • Entendre les Israéliens

    Les Israéliens marqués par la peur et l’insécurité

    Le peuple juif a été menacé dans son existence dans toute l’Europe et victime d’un génocide qui fit six millions de morts, sans qu’aucune nation ou institution internationale ne le protège. Marqués par ce passé, de nombreux juifs et Israéliens vivent avec un profond sentiment d’insécurité et d’angoisse.

    Après la Shoah, la déclaration d’indépendance de l’État d’Israël en 1948 a représenté un immense espoir pour beaucoup de juifs, qui espéraient que cet État les mettrait à l’abri des persécutions vécues en Europe et leur permettrait de construire leur propre système politique. Ce traumatisme mêlé d’espoir a certainement conduit les Israéliens, mais aussi nombre d’Européens et d’Américains, à ignorer le prix payé par la population palestinienne qui fut, pour plus de la moitié d’entre elle, dépossédée et jetée sur les routes de l’exil dès 1948.
    Ensuite, les guerres israélo-arabes, puis les attentats terroristes et les tirs de roquettes frappant la société civile sont venus réactiver les angoisses israéliennes. L’idée que les Arabes n’accepteraient jamais leur existence s’est imposée. Malgré la supériorité militaire écrasante des Israéliens, la peur reste omniprésente dans la société.

    Cependant, des Israéliens critiquent la manière dont certains hommes politiques israéliens exploitent cette peur pour se maintenir au pouvoir et légitimer l’usage systématique de la force envers les Palestiniens « au lieu d’avertir des dangers qu’il y a à poursuivre le conflit » [[Akiva Heldar, chef de la rédaction politique et éditorialiste au quotidien Ha’aretz « En finir avec la politique de la peur », article publié dans Ha’aretz et traduit en français dans Courrier International, le 28 décembre 2010.]]. Ils s’inquiètent de la menace que finit par représenter l’extension des colonies pour la démocratie israélienne.

    Avraham Burg, député travailliste et ancien président de la Knesset, l’Assemblée parlementaire israélienne, ne cesse d’alerter ses concitoyens sur cette question, en critiquant l’aveuglement des gouvernements israéliens qui encouragent la colonisation : « Quiconque souhaite effacer la frontière antérieure à 1967 demande la suppression pure et simple des valeurs fondatrices de l’État d’Israël : démocratie, égalité, État de droit, laïcité et modernité. La colonisation du territoire palestinien […] va à l’encontre de ces valeurs. Elle génère des énergies fanatiques, nationalistes, fondamentalistes et antidémocratiques qui menacent les fondements de la société israélienne. » [[« Oui à un “made in Israel” n’incluant pas les colonies », tribune parue dans Le Monde le 5 juin 2012.]] Refusant de tomber dans un pessimisme silencieux, Avraham Burg appelle à mettre un terme à l’occupation : « Je me sens le devoir de créer une sorte d’alternative à la politique du désespoir et de la violence. (…) La paix est le meilleur moyen qui existe d’assurer notre sécurité. [[Entretien réalisé par Ari Shavit, Ha’aretz, 14 novembre 2003, traduit en français sur le site de La Paix maintenant. lapaixmaintenant.org]] »

    Des voix s’élèvent

    Des voix israéliennes s’élèvent aussi pour dénoncer les conséquences de l’occupation et les violations massives de droits de l’homme à l’égard des Palestiniens. Ils s’inquiètent de l’avenir des valeurs d’Israël dans ce contexte de guerre permanente. Elik Elhanan, de l’association Combattants pour la Paix et ancien parachutiste de l’armée israélienne, garde un souvenir cuisant de son service militaire dans les territoires occupés : « Sur les barrages militaires, tu n’es plus ni de droite, ni de gauche. Tu es comme Dieu et tu en veux à ces gens qui t’ont mis dans cette situation, alors tu les traites comme des animaux. »

    Un certain nombre s’interrogent sur l’identité d’Israël, à l’instar d’Eitan Bronstein, de l’association Zochrot : « Si nous voulons rester démocratique, nous ne pouvons pas en rester à l’idéologie de l’exclusivité juive. On peut être sioniste sans revendiquer l’exclusivité des droits sur cette terre. » Ils espèrent qu’un jour les deux peuples pourront vivre en paix, à égalité de droits. Convaincues que la sécurité est un bien commun à construire entre les différents peuples de la région et que ces voix sont les forces de paix de demain, nos organisations ont choisi de soutenir certaines de ces associations afin de les aider à se faire entendre dans une société où elles restent très minoritaires.

    PARTAGE : ÉCOUTER SA CONSCIENCE

    Sur quels critères ces officiers prennent-ils la décision de refuser de prendre part à certaines attaques ?

    Est-ce facile d’écouter sa conscience et d’aller à contre-courant de ce que la société ou sa famille semble attendre de soi ?

    Suis-je moi aussi capable de faire des choix qui remettent en cause mes réflexes de pensée, mes peurs ou mon mode de vie ?

    Que nous apprennent ces soldats ?

  • Des chrétiens palestiniens lancent un appel

    Témoignages

    Qui sont les chrétiens palestiniens ?

    Claudette Habesch, secrétaire exécutive de Caritas-Jérusalem, aime à se présenter ainsi lorsqu’elle vient témoigner en Europe : « Je suis arabe. Je ne me considère pas comme une minorité. Je suis chrétienne, j’appartiens à l’Église universelle. (…). Nous sommes la Palestine et nous sommes l’Église en même temps. » En Terre Sainte, les chrétiens partagent la même vie et le même destin que les musulmans.
    En tant que Palestiniens, les chrétiens sont confrontés aux mêmes mesures discriminatoires en Israël et aux conséquences de l’occupation en Cisjordanie et à Gaza.

    Bernard Sabella, secrétaire exécutif du département des réfugiés du Conseil des Églises du Moyen-Orient, raconte les défis auxquels sont confrontés les chrétiens, dont un très grand nombre s’exilent à chaque nouvelle crise du conflit israélo-palestinien : « Je m’inquiète de voir de plus en plus de chrétiens choisir de partir. Mais contrairement à ce qu’on dit souvent, ce n’est pas le fondamentalisme musulman qui fait partir les chrétiens. Bien sûr, l’islamisation de la société palestinienne est un fait qui met les chrétiens en difficulté. Pourtant, ce n’est pas leur principal problème. Notre préoccupation pour l’instant, c’est la situation créée par l’occupation. »

    PARTAGE : COMMENT AIDER LES CHRÉTIENS DE TERRE SAINTE ?

    Face à la souffrance, nous apprenons à renoncer aux jugements ou aux formules consolatrices trop faciles. Nous apprenons aussi à écouter et à comprendre. Celui qui traverse l’épreuve a-t-il quelque chose à nous apprendre ? À travers les extraits du Kairos (page suivante), qu’est-ce qui me marque dans ce message des chrétiens palestiniens ? Comment répondre à leur appel ?

    Le « Kairos » – 2010

    En 2010, des chrétiens de Terre Sainte ont lancé un appel aux chrétiens du monde entier, le « Kairos Palestine », signé par tous les chefs d’Église de Jérusalem et par plus de 2 300 chrétiens palestiniens. Voici quelques extraits de leur message [[L’ensemble du texte du Kairos traduit en français est disponible sur le site Chrétiens de la Méditerranée : chretiensdelamediterranee.com]] :

    « Nous, un groupe de Palestiniens chrétiens, après avoir prié, réfléchi et échangé devant Dieu sur l’épreuve que nous vivons sur notre terre, sous occupation israélienne, nous faisons entendre aujourd’hui notre cri, un cri d’espoir dans l’absence de tout espoir, uni à notre prière et à notre foi en Dieu… »
    « Notre avenir et celui des Israéliens ne font qu’un : ou bien un cercle de violence dans lequel nous périssons ensemble ou bien une paix dont nous jouissons ensemble. Nous invitons les Israéliens à renoncer à leur injustice à notre égard, à ne pas déformer la vérité de l’occupation en prétendant lutter contre le terrorisme. »
    « Notre message aux musulmans est un message d’amour et de convivialité et un appel à rejeter le fanatisme et l’extrémisme. C’est aussi un message pour le monde, pour lui dire que les musulmans ne sont pas un objet de combat ou un lieu de terrorisme, mais un but de paix et de dialogue. »
    Le document appelle aussi « tous les peuples, tous les dirigeants politiques et tous les décideurs à faire pression sur Israël et à prendre des mesures de droit pour contraindre son gouvernement à mettre fin à son oppression et à son mépris du droit international. »
    « Comme chrétiens palestiniens, nous espérons que ce document marquera un tournant et fournira une orientation aux efforts de toutes les personnes éprises de paix dans le monde, spécialement nos sœurs et nos frères chrétiens. Nous espérons aussi qu’il sera accueilli de façon positive et qu’il recevra un soutien fort, comme ce fut le cas pour le document sud-africain Kairos publié en 1985 et qui s’est révélé à l’époque un outil dans la lutte contre l’oppression et l’occupation. »

  • Ce qu’ils vivent, les Palestiniens se sentent pris en étau

    Les Palestiniens rappellent souvent qu’avec les accords d’Oslo signés en 1993, ils acceptaient le compromis, en échange de la paix, de construire un État en Cisjordanie et dans la bande de Gaza sur seulement 22 % du territoire où ils avaient vécu jusqu’en 1948. Mais depuis Oslo, la pression de la colonisation n’a cessé de réduire cet espace, tandis que les Palestiniens se sont retrouvés impuissants face aux violations croissantes de leurs droits.

    (suite…)

  • Repères historiques, la Palestine de 1947 à nos jours

    1947 – 29 novembre
    Le Plan de partage voté par les Nations unies (résolution 181).

    Il prévoyait la division de la Palestine (alors sous mandat britannique) en trois entités : un État juif, un État arabe tandis que Jérusalem restait sous contrôle international. L’idée d’un retour des juifs en Palestine s’est développée dès le XIXe siècle et les pogroms anti-juifs en Europe. Sa concrétisation a été accélérée après la Seconde Guerre mondiale et le génocide des juifs.

    1948 – 14 mai
    Proclamation de l’État d’Israël. Première guerre israélo-arabe.

    Victoire militaire d’Israël. Début de la Nakba (« catastrophe ») pour les Palestiniens expulsés. Les réfugiés sont placés dans des camps des Nations unies.

    1967
    Guerre des Six jours.

    Israël attaque l’Égypte, la Syrie et la Jordanie. Occupation militaire par Israël du Golan, de la bande de Gaza, du Sinaï, de la Cisjordanie et annexion de Jérusalem-Est. Début de la colonisation, c’est-à-dire l’implantation de civils israéliens dans les nouveaux territoires occupés. En novembre, les Nations unies (résolution 242) condamnent l’occupation, appelant au retrait des territoires occupés.

    1973
    Guerre de Kippour.

    Déclenchée par l’Égypte et la Syrie contre Israël.

    1974
    Reconnaissance de L’OLP

    (Organisation de la Libération de la Palestine). Créée en 1964, elle est reconnue comme instance représentant le peuple palestinien au sein des Nations unies ; Yasser Arafat en est le président.

    1987
    Première intifada.

    Insurrection populaire des Palestiniens contre l’occupation à Gaza et en Cisjordanie.

    1993
    Accords d’Oslo.

    Création de l’Autorité palestinienne ; reconnaissance mutuelle avec Israël et déclaration de principe sur l’autonomie palestinienne.

    2000
    Deuxième intifada.

    Elle commence suite à la marche d’Ariel Sharon, chef de la droite israélienne, sur l’esplanade des Mosquées à Jérusalem.

    2002
    Siège de l’église de la Nativité
    à Bethléem et du quartier général de Yasser Arafat à Ramallah. Vague d’attentats suicides terroristes.

    2004
    Condamnation de la construction du mur
    (démarrée en 2002) par avis consultatif de la Cour Internationale de Justice.

    2005
    Évacuation unilatérale de la bande de Gaza par Israël
    . La bande de Gaza demeure sous blocus israélien.

    2006
    Majorité absolue pour le Hamas aux élections législatives palestiniennes
    et boycott du gouvernement issu de ces élections par Israël et la communauté internationale. Début des luttes fratricides entre le Hamas et le Fatah.

    2009 – décembre
    Opération « plomb durci »
    . Dans la bande de Gaza, les raids israéliens font plus d’un millier de morts.

    2011
    Entrée de la Palestine à l’Unesco.

    L’ Autorité palestinienne œuvre pour l’adhésion de la Palestine aux Nations unies en tant qu’État membre.

    2012
    La Palestine devient « État observateur non membre » des Nations unies
    suite à un vote de l’Assemblée générale de l’ONU.

  • Les Palestiniens, un peuple dispersé

    Neuf millions de Palestiniens sont aujourd’hui dispersés entre plusieurs pays et territoires. Ils y subissent différents statuts discriminatoires et n’ont pas la possibilité de circuler librement. De nombreuses familles sont séparées.

    (suite…)

  • Israël, une société plurielle

    Loin d’être monolithique, la société israélienne s’est constituée avec l’arrivée progressive de plusieurs vagues d’immigration porteuses de cultures différentes. Sa population atteint aujourd’hui 7,8 millions de citoyens (1).

    (suite…)

  • Pourquoi s’engager en tant que chrétiens

    Pour plus de justice en Palestine et en Israël ?

    (suite…)

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