• Qui sommes-nous ?
    • Retour
    • Qui sommes-nous ?
    • La gouvernance
    • Les rapports institutionnels
  • Nos combats
    • Retour
    • Nos combats
    • Paix et vivre ensemble
    • Souveraineté Alimentaire
    • Migrations Internationales
    • Justice Economique
  • Nos partenaires
    • Retour
    • Nos partenaires
    • Nos programmes
    • Nos projets
  • Actualités
    • Retour
    • Actualites
    • Nos dossiers thématiques
    • magazine échos du monde
    • Revue de presse
  • Qui sommes-nous ?
    • Retour
    • Qui sommes-nous ?
    • La gouvernance
    • Les rapports institutionnels
  • Nos combats
    • Retour
    • Nos combats
    • Paix et vivre ensemble
    • Souveraineté Alimentaire
    • Migrations Internationales
    • Justice Economique
  • Nos partenaires
    • Retour
    • Nos partenaires
    • Nos programmes
    • Nos projets
  • Actualités
    • Retour
    • Actualites
    • Nos dossiers thématiques
    • magazine échos du monde
    • Revue de presse
J'agis Je donne
  • retour
  • EN
  • Enfermement, éloignement

    En France, le séjour irrégulier est un délit passible de peines d’emprisonnement et d’interdiction du territoire. La lutte contre l’immigration clandestine conduit le gouvernement à fixer des quotas en matière d’expulsion: une logique qui dérive vers la traque aux sans-papiers et leur enfermement systématique.

    – L’enfermement traumatise et humilie. Il ne doit être qu’un dernier recours après l’épuisement des autres modalités d’éloignement (négociation, assignation à résidence)

    – Il faut mettre fin à la logique des chiffres et des quotas.

  • Accueil, insertion, discrimination

    Il est possible de vivre ensemble. Il est possible d’accueillir les migrants sans les discriminer.

    – En permettant la participation des jeunes migrants au service civil des 18-25 ans.

    – En rendant les résidents électeurs et éligibles aux élections municipales.

    – En généralisant la Couverture Maladie Universelle, dont l’accès est de plus en plus restreint pour les illégaux.

  • Le travail

    La France a fermé la porte à l’immigration de travail et ne compte l’ouvrir qu’aux “cerveaux” les plus qualifiés. De nombreux immigrés qui contribuent à l’économie travaillent ainsi comme clandestins, sans droit et sans protection. Il faut :

    – Octroyer un titre de séjour pour tout étranger occupant un emploi, sans que l’emploi soit une condition indispensable au maintien du titre.

    – Garantir l’accès à tous les emplois publics et privés aux résidents en France (sauf pour des raisons de sécurité nationale).

  • Des statuts sûrs pour les migrants et leur famille

    Faciliter la vie de famille et respecter la vie privée sont deux conditions indispensables à une intégration réussie. Pourtant, les migrants n’y ont souvent pas droit. En outre, la précarisation de leur statut les fragilise et conduit, parfois, à la clandestinité. Il faut:

    – Faciliter le regroupement familial sans condition de ressources ou de logement.

    – Créer une vraie citoyenneté de résidence pour les réfugiés et les migrants qui ont des attaches privées et/ou familiale en France.

    – Ôter au ministère de l’Intérieur la compétence en matière d’immigration.

  • Droit d’asile

    Il faut assurer le plein exercice du droit d’asile, donner aux instruments internationaux de protection toute leur étendue:

    – En supprimant les privations de liberté pour les demandeurs d’asile, dont certains sont aujourd’hui enfermés dans des zones d’attente.

    – En facilitant les démarches auprès de l’Ofpra (entretien dans la langue marternelle par exemple).

  • Migrations mondiales

    Il faut renforcer la protection des migrants et questionner la répression aux frontières de l’Europe :

    – En arrêtant d’aider les pays du Sud à réprimer les migrants avec les fonds destinés au développement.

    – En soutenant les acteurs du codéveloppement comme les associations de migrants.

    – En revoyant la politique des visas, ultra-restrictive, qui condamne de nombreux migrants à l’illégalité.

Je reste informé ! Je m'abonne à la newsletter

Je m'abonne
loader
Utilisation des données

Respect des garanties rgpd

Les données communiquées via ce formulaire sont collectées avec votre consentement et sont destinées au CCFD-Terre Solidaire en sa qualité de responsable du traitement.
Elles sont destinées à la direction du développement des générosités pour vous envoyer notre actualité et vous tenir informé de nos actions.
Pour l’exercice de vos droits d’accès à vos données, vous pouvez contacter notre Délégué à la Protection des Données personnelles par courriel dpo@ccfd-terresolidaire.org ou par courrier postal :

CCFD-Terre Solidaire (DPO)
4 rue Jean Lantier
75001 PARIS

En cas de difficulté en lien avec la gestion de vos données personnelles, vous pouvez adresser une réclamation à la CNIL.

J'agis
Je donne

Vous souhaitez nous rejoindre ?

Offre d'emploi

Offres d'emploi

Consulter Consulter
Offre de bénévolat

Offres de bénévolat

Consulter Consulter
Logo Terre Solidaire
  • Suivez-nous :
  • Twitter
  • Facebook
  • Linkedin
  • Youtube
  • Instagram
Comité Catholique contre la faim et pour le développement
- Terre solidaire
  • Contactez-nous
  • F.A.Q.
  • Mentions légales
  • Cookies
  • Espace presse
  • Espace bénévole
  • Espace donateur
  • Articles
  • Twitter
  • Facebook
  • Linkedin
  • Youtube
  • Instagram
N° SIREN 775 664 527 - N° RNA W759000066