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  • Bibliographie

    Tourisme Nord-Sud, nouveaux acteurs, nouvelles pratiques. CDTM-RITIMO, dec 2001.

    Tourisme, éthique et développement. Pierre Amalou, Hervé Barioulet, François Vellas. Edition l’Harmattan 2001

    Un carton rouge pour le tourisme, Ed. Charles Léopold Mayer, 2002

    Voyager autrement, vers un tourisme responsable et solidaire. Ed. Charles Léopold Mayer, 2002

    Les Masques du Tourisme. Sous la direction de Georges Cazes et Georges Courade. Revue Tiers Monde, n° 178, PUF, Juin 2004.

    Tourisme solidaire et responsable. Revue Espaces, n° 220, Novembre 2004.

  • Associations, infos, centres de documentations

    Transverses : association de réflexions et d’actions sur le tourisme Nord-Sud , centre de documentation, accueille des stagiaires. www.chez.com/transverses

    Ritimo : réseau de centres de documentation et d’information pour le développement durable et la solidarité internationale www.ritimo.org

    Unat (Union nationale des associations de Tourisme) coordonne le secteur du tourisme social et associatif français. S’investit dans la promotion d’un tourisme différent : www.unat.asso.fr

    La plate-forme du commerce équitable : a étendu son domaine de réflexion au tourisme équitable. Quatre voyagistes appartiennent à la plate-forme www.commercequitable.org

    Aidéstous : étudie les impacts du tourisme sur les populations hôtes, soutient des projets de tourisme solidaire en France et dans les pays en développement : www.aidetous.org

    Site d’info sur le tourisme durable : www.tourisme-durable.net

    Tourism Concern : Réseau d’origine anglaise regroupant plus de 1000 membres. Une référence internationale en matière de recherche et de lobbying : www.tourismconcern.org.uk

    ECPAT (End Child Prostitution, Child Pornography and Trafficking of Children for Sexual Purposes) ONG internationale présente dans une soixantaine de pays dont la vocation est de lutter contre l’exploitation sexuelle des enfants. La lutte contre le tourisme sexuelle est l’une de ses priorités : www.ecpat.net

    AITR (Associazione Italiana turismo responsabile) C’est le réseau national le plus grand du monde. Sa particularité est de grouper des associations réfléchissant sur le tourisme et plus de 25 associations voyagistes, totalisant des voyages dans une trentaine de pays et une dizaine d’expériences en Italie même. Regroupe toutes les offres touristiques alternatives du marché italien, www.aitr.org

    Tourism watch : Association allemande www.tourism-watch.org

    Organisations nationales et internationales

    AFIT : Groupement d’Intérêt public sous tutelle du ministère du tourisme. Mission d’ingénierie et de conseils pour assurer la compétitivité des offres touristiques dont celles du tourisme durable (appui aux acteurs intervenants dans ce domaine). www.afit-tourisme.fr

    Secrétariat d’Etat au Tourisme Français : www.tourisme.gouv.fr

    OMT (Organisation Mondiale du Tourisme). A intégré l’ONU : www.world-tourism.org

    Chartes, codes, recommandations…

    Textes issus d’organismes internationaux :

    Charte du tourisme durable, 1995 : résultat des travaux de la conférence de Lanzerotte réunissant l’ UNESCO, l’OMT+ le PNUE (Programme des Nations Unies pour l’Environnement). http://www.insula.org

    Code mondial d’éthique du tourisme, adopté en 1999 par OMT. Plus réducteur que le texte précédent. La notion de développement durable disparaît et les intérêts des populations réceptives deviennent secondaires.
    [http://www.world-tourism.org->http://www.world-tourism.org/

    Charte nationale

    La charte nationale d’éthique du tourisme, charte du Secrétariat d’Etat au Tourisme Français
    http://www.tourisme.gouv.fr

    La Charte Ethique du Voyageur :
    http://www.atalante.fr/qui/Ethique/charte.html

  • Les partenaires du CCFD-Terre Solidaire témoignent

    Le racket des tours opérateurs
    « Les chiffonniers du Caire représentent une communauté de 2000 personnes qui ramassent 1000 tonnes de déchets par jour. 80 % de ces déchets sont recyclés. Notre association travaille avec les femmes. Elles sont doublement marginalisées. Parce qu’appartenant à cette communauté et parce que s’occupant du tri, elles ne sortent pas de chez elle. Nous les avons encouragées a développé un artisanat qui va du patchwork au papier recyclé et que nous cherchons à écouler auprès des touristes. C’est loin d’être simple. Certes le ministère du tourisme a créé un centre d’artisanat pour encourager la commercialisation des produits locaux, mais les tours opérateurs exigent une marge de 40 à 50 %. Avec de tels taux, c’est impossible de s’en sortir ».
    Nicole Assad, représentante d’APE, Association pour la Promotion de l’Environnement. Egypte.

    Quand la population locale s’exaspère
    « Le tourisme de masse qui s’est exercé dans l’Oasis de Ghardaïa a fini par exaspérer la population locale. Se sentant bafoués dans son identité, elle s’est fermée à tout dialogue avec ceux qu’elle considérait exclusivement comme des envahisseurs. Avec l’amélioration du climat politique qui se précise depuis 2000, le tourisme revient à l’ordre du jour. Or si un tourisme respectueux exige une sensibilisation des voyageurs à la diversité des cultures, il passe également par une préparation des personnes qui reçoivent. Elles aussi ont leurs préjugés, et ont besoin d’une aide pour déchiffrer le comportement de ceux qu’elles accueillent »
    Salah Baali, président d’APEB, Association pour la Protection de l’Environnement de Beni Isguen. Algérie.

    Mettre fin au face à face Nord-Sud
    « Il est temps de mettre fin à la distinction établie entre le nord – qui serait l’unique pourvoyeur en touristes – et le Sud ou l’Est, considérés uniquement sous l’angle des prestataires de services. Or un début de demande touristique émerge au Sud comme à l’Est. Il convient de s’en saisir et d’encourager ces nouvelles populations désireuses de voyager à opter pour un tourisme responsable. Favoriser le tourisme intra-régionnal constitue, par ailleurs, une réponse à la demande très volatile des touristes du Nord. La peur de la montée des intégristes stigmatisant les pays musulmans, n’a pas dissuadé les Marocains ou les Egyptiens de voyager dans leur région ».
    Hedi ben Salam représentant d’ASOC, Association de Sauvegarde de l’Oasis de Chenini. Tunisie

    Réhabiliter la réputation d’une population
    « Notre association a établi un partenariat avec une agence développant l’écotourisme dans une zone préservée du Nord Est du Liban. Outre le fait d’assurer un complément de revenus aux tribus peuplant cette région, notre ambition est de réhabiliter leur réputation. Les Libanais des villes s’en sont fait une image caricaturale de trafiquants de hashich qu’il faut absolument déconstruire. L’expérience commence à porter ses fruits ».
    Ismaïl Chahine, représentant de MADA, association de développement locale et de préservation de l’environnement. Liban

    Transmission de la mémoire orale et des traditions
    « Notre association soutient le développement local des 21 villages du cercle d’Imilchil, dans la vallée de l’Assif Melloul au Maroc. Encourager les populations à mettre en place des offres touristiques, conçues comme une source de revenus supplémentaire et n’entravant pas les travaux agricoles, et l’un des nombreux volets de notre activité. Cet accueil de touristes, que nous voulons fondé sur l’échange, a permis de réactiver une mémoire orale et des traditions qui étaient en train de disparaître. Exemples parmi d’autres : les vieux du village d’Imilchil ont été sollicités pour clarifier une légende relative aux deux lacs qui font la notoriété de la région. Des cuisinières de talent ont transmis leurs recettes aux familles faisant de l’hébergement… ».
    Omar Chiban, président d’ADRAR, association de développement local.Maroc

  • Promouvoir le tourisme solidaire…

    “Un comité d’entreprise permet de toucher un public très varié”
    Emmanuel Monnier, membre bénévole du CCFD-Terre Solidaire et du groupe de travail « Tourisme Solidaire », fait la promotion d’un tourisme différent au sein de son comité d’entreprise .

    (suite…)

  • Un label pour le tourisme équitable ?

    Jean Luc Gantheil est président de l’association Croqu’nature, une des quatre associations de tourisme membre de la Plateforme du commerce équitable.

    (suite…)

  • Une relation inégalitaire

    Riche d’une expérience professionnelle de six ans dans le tourisme au Maroc, Françoise El Alaoui est l’auteur d’un mémoire de recherche sur le tourisme équitable, effectué dans le cadre d’un Master de Management du Tourisme.

    Comment expliquez-vous que les pays d’accueil profitent si peu des bénéfices générés par le tourisme mondial ?

    D’abord une petite précision : en dépit de tous ses méfaits, le tourisme est un facteur d’enrichissement pour les pays d’accueil. C’est une industrie unique qui implique un nombre considérable de secteurs. Les médecins, par exemple, sont plus sollicités dans une zone touristique, alors que leur activité est à priori indépendante du tourisme. Toutefois, cette industrie exige des infrastructures – aéroports, réseau routier, adduction d’eau, équipements sanitaires … – sans lesquelles le tourisme est inimaginable. Certes dans la plupart des cas, la population locale en profite aussi. Mais pas toujours. Les Etats investissent donc dans des infrastructures qui bien souvent sont construites par des sociétés étrangères , avec des matériaux étrangers payés en devises. Les pays du Sud ne rentrent pas dans leurs fonds, tandis que les pays occidentaux s’enrichissent encore un peu plus, bénéficiant des contrats et des intérêts sur des emprunts contractés auprès de leurs banques. Même chose pour les complexes touristiques. Les Tours Opérateurs (TO) obtiennent des conditions très avantageuses sur le plan foncier et fiscal. Dans les hôtels de luxe, absolument tout est importé : de la literie à la petite cuillère, en passant par la viande servie au restaurant. Sans compter le personnel dirigeant. Bien sûr, le personnel local formé correctement est rare. Mais le transfert de compétences n’est pas non plus la priorité des TO. Economiquement c’est un problème, et sur le plan social, ça entraîne d’énormes frustrations. Le pire ce sont les formules où tout est compris au départ. Ce n’est plus 60 mais plutôt 90 % du montant du forfait qui retombe alors entre leurs mains des TO, puisque ces derniers gèrent directement l’ensemble des prestations vendues au touriste. Finalement l’industrie du tourisme est une forme de colonialisme moderne.

    Qu’est-ce qui vous choque le plus dans le tourisme de masse ?

    L’indifférence totale de la plupart des touristes vis à vis de la culture et des conditions de vie de leurs hôtes. Ils ont payé, ils considèrent donc leurs vacances passées en terre étrangère est un du. Ce type de comportement se retrouve aussi dans le tourisme d’élite. Or lorsqu’on propose la semaine en Tunisie à 150 euros, à peine davantage qu’une journée à Dysney Land, cela se fait forcément sur le dos de quelqu’un. Se demandent-ils si les femmes « girafes » qu’on peut photographier telles des animaux dans un zoo, sont consentantes ? Pourtant la Birmanie est une des pires dictatures au monde. Savent-ils que des régions entières sont vidées de leur population initiale pour laisser place à des complexes touristiques ? Ce fut le cas à Hawaï, aux Philippines, aux Antilles… Enlevées à leurs terres ancestrales , de nombreuses tribus indigènes ont été privées de leurs ressources vivrières. Le Maroc a déclaré six grandes zones d’intérêt prioritaire pour le développement touristique. Cela entraîne nécessairement des déplacements forcés de population car dans les pays peu ou pas démocratiques, les gens n’ont même pas idée qu’ils pourraient se rebiffer. Parfois c’est de bonne foi que les touristes ont des comportements irresponsables. Prenez l’exemple de la mendicité infantile. Combien de familles j’ai vu éclater parce que l’enfant récoltait une journée ce que son père gagnait pour une semaine de travail ! Il suffirait souvent que les touristes se posent quelques questions pour éviter le pire.

    Quelles ont été les étapes déterminantes dans la promotion d’un autre tourisme ?

    La remise en question du tourisme de masse apparaît en même temps que son essor – c’est à dire dans les années 1970 – et donne lieu à quelques initiatives alternatives. Notamment en Casamance où s’est créé des campements destinés à ” associer les populations rurales aux activités touristiques sans déséquilibrer leur environnement socioculturel”. Toutefois, ce sont les églises, avec la Coalition Œcuménique sur le Tourisme du Tiers-Monde (ECTWT ), qui jetteront le premier pavé dans la mare. Réunies à Bangkok en 1982 pour analyser les effets du tourisme au Sud, elles dénoncent le terrible accroissement de la prostitution infantile en Asie. Leur mobilisation donne lieu, huit ans plus tard à la campagne internationale, ECPAT, devenue depuis une association. Mais si l’exploitation sexuelle des enfants fait le consensus dans l’indignation, il reste difficile de convaincre les gens sur les autres méfaits du tourisme de masse. Ce n’est pas désespéré pour autant. Le concept de « Tourisme équitable » commence à se populariser, en partie grâce à la notoriété croissance des valeurs défendues par le « commerce équitable » mais aussi parce que sur la plan de la communication, le terme « équitable » renvoie directement à la notion de justice alors que des appellations telles que tourisme « responsable », « éthique » ou « durable » sont plus difficilement déchiffrables. Par ailleurs, Le Code Mondial d’Ethique du Tourisme est une avancée . Il a été adopté en 2000 par l’Organisation Mondiale du Tourisme (OMT) qui fait aujourd’hui partie intégrante de l’ONU. L’OMT représente essentiellement les Tours Opérateurs et le texte se soucie davantage de protéger les touristes que de préserver les intérêts des populations locales. Mais il a comme tous les grands textes internationaux une vertu incitative et le mérite d’envisager le tourisme sous l’angle de l’éthique. Enfin le projet « Global Reporting Initiative » de l’ONU peut-être très porteur . Chaque secteur, pas seulement le tourisme, est invité à définir des indicateurs permettant d’évaluer son activité en terme de développement durable. Jusqu’à présent ,seuls les TO ont produit des indicateurs. Mais si les ONG et les populations locales s’y mettaient, ça permettrait de comparer les pratiques touristiques selon des critères vraiment pertinents.

    De quelles dérives le tourisme alternatif est-il porteur ?

    D’abord ça reste du tourisme. Aussi respectueuses que soient les personnes qui s’y adonnent, elles finissent par repartir, tandis que l’Africain ou l’Asiatique qui les a accueillies continue à se battre avec les difficultés inhérentes aux pays en voie de développement. La relation reste donc profondément inégalitaire. Par ailleurs, il y a encore trop peu d’initiatives réellement conçues et portées par les populations locales. Cela pose la question de l’adéquation de ces projets aux besoins réels des communautés. Enfin le concept peut facilement être récupéré au profit d’une simple opération de marketing. D’ailleurs les plus grands Tours Opérateurs se vantent aujourd’hui de faire du tourisme durable. On a vu comme ils se sont précipités pour participer à l’opération « Tourism for Développement » de Mustapha El Gendy. La dite opération consistant à céder un $ à une association de développement pour chaque nuitée dans un hôtel, sans questionner un seul instant le comportement des touristes ou le fonctionnement de l’industrie touristique. C’est pourquoi il est tellement important qu’associations et TO s’assoient à la même table pour faire le point sur le concept.

    Qu’en est-il en France ?

    Les Italiens et les Anglais plus pragmatiques ont su le faire. En France malheureusement, on reste beaucoup dans l’idéologie. Deux grands acteurs se partagent le terrain : l’UNAT (Union Nationale des Associations de Tourisme) qui réunit les associations de tourisme social et le réseau ATR (Agir pour un Tourisme Responsable) qui regroupe des T.O. orientés “Ecotourisme” et/ou “tourisme d’aventure”. Associations à but non lucratif et entreprises ont beaucoup de mal à dialoguer. La dispersion des efforts et des initiatives n’aide pas du tout la cause du Tourisme alternatif et donne une image brouillée de ce concept dans notre pays. D’autant que la notion de « tourisme solidaire » promue par l’UNAT – autrement dit le fait de contribuer à un projet de développement par son voyage – tend à éclipser celle de « tourisme équitable ». C’est dommage parce que réducteur. Il faut absolument insister sur la responsabilité des parties : touristes, TO… Par ailleurs si ces deux acteurs se sont munis de chartes éthiques , aucun contrôle extérieur n’en garantit le respect. Cette auto-labellisation pose un vrai problème. Les pouvoirs publics semblent vouloir mettre fin à cette joyeuse anarchie. Les prochains mois seront peut-être porteurs de changement. Je pense pour ma part qu’il est trop ambitieux de labelliser toute une entreprise. Labelliser un produit, comme le fait l’organisme indépendant FTTSA (Fair Trade in Tourism South Africa) m’apparaît plus crédible.
    Nous avons aussi quelques raisons d’espérer avec l’entrée sur scène du Réseau Archimède, une plate forme de réflexion qui rassemble des acteurs très divers : professionnels du tourisme, chercheurs, anthropologues, collectivités territoriales …

    Le tourisme équitable est-il condamné à n’être qu’un marché de niches ?

    Il faut être réaliste. Les multinationales ne sont pas des enfants de cœurs et elles ne sont pas prêtes à renoncer aux revenus du tourisme de masse. Les gouvernements non plus. Après le passage du Tsunami, un haut lieux touristique tel que l’île de Phuket en Thaïlande sera reconstruit à l’identique. Même injustement redistribué, l’argent laissé par les touristes fait vivre des centaines de familles, ce qui ne sera jamais le cas d’un projet alternatif. Sans compter qu’une petite structure associative ne versera pas aux dirigeants corrompus des pots de vin comparables à ceux qu’ils touchent des grands Tours Opérateurs. Ceci étant dit, le tourisme équitable peut s’avérer un complément de revenus précieux pour certaines communautés à condition de ne pas être conçu comme une fin en soi, mais plutôt comme un volet parmi d’autres du développement local. Le concept par ailleurs a une portée pédagogique. Des initiatives, même marginales d’un point de vue macro-économique, peuvent avoir valeur d’exemple et modifier les exigences du plus grand nombre.

    Entretien Avril 2006

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