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  • Que devient le Soudan, un an après le référendum

    Le 9 juillet 2011, le Soudan du Sud devenait le 54ème Etats d’Afrique. Cette indépendance est le résultat du référendum d’autodétermination organisé en janvier 2011, conformément à l’accord global de paix signé en 2005 entre les autorités soudanaises de Khartoum et l’Armée Populaire de libération du Sud Soudan. Une nouvelle page de l’histoire du Soudan et du Soudan du Sud s’ouvrait alors. Un an après ce référendum où en sont ces deux pays ?

    (suite…)

  • Quelques sujets clés inquiètent les acteurs de la société civile alors que le référendum se tient dans 6 mois.

    Quelques sujets clés inquiètent les acteurs de la société civile alors que le référendum se tient dans 6 mois : les ressources pétrolières sont majoritairement situées au Sud, les pipelines passent uniquement par le Nord et rejoignent Port-Soudan dans l’est du pays. Cette répartition « inégale » de la principale ressource économique du pays pose aujourd’hui encore la question de la délimitation d’une frontière qui soit acceptable, de part et d’autre, par les deux gouvernements.

    (suite…)

  • Conférence sur le Darfour

    Pour être réussie, cette réunion du 25 Juin 2007 doit déboucher sur des engagements concrets sur la protection des civils, le déploiement de la force de paix hybride et la reprise du processus du paix, et ce en dépit de l’absence regrettable de l’Union Africaine.

    Nous demandons aux pays participants une position claire et qu’ils s’engagent à :

    • Soutenir politiquement les efforts de médiation des Nations Unies et de l’Union Africaine.
    Le groupe de contact élargi doit tirer les leçons des vingt dernières années de négociations avec le Soudan et empêcher que le gouvernement soudanais ne se joue encore de la communauté internationale et ne renie ses engagements une nouvelle fois. Cette réunion, destinée à relancer le processus de paix, doit marquer la fin de la multiplication des initiatives concurrentes qui ont ralenti les négociations. Le groupe de contact élargi doit aussi se préparer à devenir, à travers une stratégie coordonnée entre tous les acteurs, un groupe de pression sur toutes les parties au conflit.

    • Apporter un soutien financier et humain aux efforts de médiation.

    Les pays participants doivent apporter ce soutien sur le long terme. Le processus de paix d’Abuja (qui a abouti à la signature de l’Accord de paix sur le Darfour en mai 2006) a en effet échoué en partie à cause de la précipitation qui l’a entouré. Un accord de paix durable nécessitera du temps et un dialogue incluant toutes les parties.
    • Demander un calendrier précis aux Nations unies, à l’Union africaine et au gouvernement du Soudan quant au déploiement de la force de paix hybride.
    Cela fait déjà 7 mois que le gouvernement Soudanais a donné son premier accord de principe pour cette force.

    • Appuyer politiquement, financièrement, matériellement et humainement le déploiement de cette force de paix.

    Cette force doit pouvoir sécuriser le Darfour, assurer une meilleure protection des populations civiles et surveiller le désarmement des milices janjawids et des groupes d’opposition armés. Elle devrait aussi inclure des observateurs des droits humains pour surveiller, enquêter et rendre public les violations commises, dont les viols et toutes autres formes de violences sexuelles.

    • Appeler toutes les parties au conflit pour que les attaques contre les populations civiles cessent immédiatement.

    Le groupe de contact élargi devra aborder la question du Darfour au niveau régional, et en particulier encourager le
    dialogue politique entre le Soudan, le Tchad et la République Centrafricaine ainsi qu’à l’intérieur de chacun de ces pays.

    Organisations signataires :
    Amnesty International France,
    CCFD (Comité Catholique contre la Faim et pour le Développement),
    FIDH (Fédération internationale des ligues des droits de l’Homme),
    Secours Catholique – Caritas

  • Diocèse de Torit améliore la condition des éleveurs

    Le Diocèse de Torit est situé à l’extrême sud du Soudan, à la frontière avec le Kenya. Depuis le début de la guerre civile, en 1983, le territoire a été le théâtre d’affrontements entre les forces gouvernementales et le SPLA (l’armée de libération du Sud-soudan).

    (suite…)

  • Engagement des candidats et du Président sur le Darfour : véritable espoir ?

    Paris, le 23 mars 2007 Grâce à l’initiative d’Urgence Darfour, plusieurs candidats se sont exprimés sur la situation au Darfour le 20 mars à la Mutualité et ont présenté la politique qu’ils mettraient en œuvre pour résoudre cette crise une fois élus ; à cette occasion, l’actuel Président de la République et son ministre des Affaires étrangères ont également souhaité expliciter leur gestion de ce dossier et les mesures qu’ils vont porter dans les prochaines semaines. La dynamique consensuelle qui se dessine ces derniers jours en faveur des populations du Darfour, ainsi que le fait que plusieurs candidats aient déjà signé l’acte d’engagement proposé par Urgence Darfour ne doivent pas faire oublier l’inaction voire l’attitude de blocage qui ont prévalu jusqu’à présent au niveau français, ni masquer les divergences de fond qui restent pendantes. Soulignons tout d’abord que la portée de l’engagement de ces candidats ne vaut pas seulement jusqu’au 6 mai et uniquement pour celui ou celle qui sera effectivement élu(e) à la magistrature suprême, comme l’a souligné l’une des candidates signataires ; chacun des candidats s’est bien engagé, dans son activité d’élu à quelque niveau que ce soit, d’opposant ou de simple citoyen, à continuer de porter avec force les préoccupations de cet appel aussi longtemps que de besoin, bien au-delà du résultat des élections présidentielle ou législatives. Le constat concernant le drame humain est certes unanime, depuis le nombre de morts jusqu’aux villages brûlés, en passant par les femmes violées, les enfants décharnés et les centaines de milliers de personnes déplacées. Tout le monde s’accorde pour reconnaître que la priorité et l’urgence vont à la sécurisation et la protection des populations civiles ; cependant, aussi bien les différents candidats que l’actuel ministre des Affaires étrangères ont beau jeu de se défausser sur le Conseil de Sécurité des Nations unies et de déplorer soit l’absence de résolution adéquate pour assurer cette protection, soit son inefficacité ou bien l’impossibilité d’adopter aujourd’hui une telle résolution (à laquelle risquerait notamment de s’opposer la Chine). Ce cadre onusien existe pourtant bel et bien : il s’agit de la résolution 1706, votée le 31 août 2006, qui prévoit notamment de placer la Mission des Nations unies au Soudan (MINUS) sous Chapitre VII de la Charte et d’en faire la principale force des Nations unies dans le monde (plus de 20.000 hommes) afin de pouvoir assurer efficacement la protection des populations civiles. C’est un mandat fort et explicite, qui ne se contente pas d’observer un cessez-le-feu qui se fait toujours attendre ou bien de simplement faciliter l’acheminement de l’aide. Ce déploiement a donc été formellement décidé par le Conseil de Sécurité des Nations unies il y a déjà plus de six mois, sans que la Chine ne s’y oppose et sans attendre d’autorisation préalable du gouvernement de Khartoum, qui a simplement été « invité à y consentir ». La base légale est donc là, seule la volonté politique a fait défaut jusqu’à présent : après plus de six mois de tergiversation et de recherche par la diplomatie classique d’un « feu vert » de Khartoum non obligatoire, il est plus que temps d’enfin mettre en œuvre cette résolution. Il est évident que cela ne résoudra pas les problèmes de partage des ressources et de démocratisation au Soudan à moyen et long termes, mais permettra sûrement de stopper les massacres et de sécuriser les populations dans l’immédiat. Par là même, en figeant les opérations sur le terrain et en renforçant la capacité d’observation et de dénonciation de la communauté internationale, on favorisera également le retour à la table des négociations et la conclusion d’un nécessaire accord de paix, qui associe réellement toutes les parties, traite de l’ensemble des problèmes et ne soit pas perçu comme imposé au pas de charge par l’Union africaine et les Occidentaux. Pour avoir déjà perdu trop de temps et de vies innocentes, on ne peut plus attendre un hypothétique accord de paix comme préalable à une intervention armée de la communauté internationale, comme M. Douste-Blazy continue de l’invoquer. En ce qui concerne le cas de la Chine, il sera toujours temps d’envisager d’ici quelques mois une éventuelle campagne de boycott des Jeux olympiques avec d’hypothétiques effets de contrainte… mais sur un autre dossier que le Darfour ! En effet, nous ne pouvons attendre 2008, d’autant plus que la Chine n’a pas opposé son veto à la résolution 1706. Cela doit bien se lire dans la perspective de la doctrine de la « responsabilité de protéger », corollaire de la souveraineté : dans la mesure où cette résolution ne portait pas atteinte aux intérêt vitaux chinois et après avoir constaté l’incapacité (à tout le moins…) du gouvernement soudanais à assurer la protection de sa propre population, le Conseil de Sécurité a déjà conclu que cette responsabilité lui échoyait désormais. Il faut maintenant mettre en œuvre la résolution 1706 par l’envoi de troupes : c’est là que peuvent entrer en scène la France et l’Union européenne. Tous les orateurs ont appelé de leurs vœux le déploiement et la mise à disposition des moyens militaires français déjà positionnés au Tchad et en Centrafrique pour, dès demain, observer précisément les mouvements de population et de troupes mais aussi les violations de l’embargo aérien afin de les empêcher. Ces intentions restent à concrétiser. Par ailleurs, si le déploiement d’une éventuelle force de l’UE ne peut se concevoir que dans le cadre d’un mandat onusien, on pourrait envisager que Javier Solana , comme il l’a déjà fait par le passé, signale sa disponibilité au Secrétaire général des Nations unies pour intervenir au titre de la mise en œuvre opérationnelle de la résolution1706. A défaut d’une intervention militaire légitime de la communauté internationale, certains, dont Bernard-Henri Lévy, ont énoncé la possibilité de soutenir (financièrement et matériellement) l’une des parties belligérantes en faisant le calcul hasardeux que cela permettra, un tant soit peu et à court terme, de stabiliser la situation sur le terrain et de sécuriser les populations civiles : dans les faits, cela ne ferait que prolonger le conflit. En disant cela, on ne renvoie pas dos à dos les différentes parties : il est clairement établi que le gouvernement de Khartoum ainsi que les milices janjawid qu’il a armées, formées et télécommandées, portent la principale et première responsabilité des massacres de civils. Pour toutes ces raisons la France doit immédiatement prendre des sanctions ciblées , aussi bien politiques qu’économiques, même unilatéralement. Elles doivent viser non seulement les individus portant une grande responsabilité dans les massacres et déjà pointés par la Commission d’enquête des Nations unies ainsi que par la Cour pénale internationale, mais aussi le parti au pouvoir à Khartoum qui ne cesse de bafouer les résolutions du Conseil de Sécurité . La France se doit de ne pas banaliser ses relations diplomatiques et économiques avec des régimes responsables de crimes de guerre et de crimes contre l’humanité. En tant que Patrie des droits de l’homme, il lui incombe au contraire d’entraîner les autres membres de la communauté internationale, notamment ses partenaires européens, à peser sur le régime soudanais pour que celui-ci mette dès aujourd’hui un terme à sa politique de massacres systématiques, accepte de coopérer avec la MINUS et la CPI et commence à désarmer les Janjawid ; et que demain il négocie un nouvel accord de paix sur le Darfour avec l’ensemble des factions rebelles et respecte enfin les engagements qu’il a souscrit dans le cadre de l’accord de paix avec les rebelles sudistes du SPLA . Les populations du Darfour ne peuvent pas attendre l’élection en France d’un nouveau Président et d’une nouvelle Assemblée, puis la mise en place d’un nouveau gouvernement. Au-delà des formules convenues, la France, par son Président et son ministre des Affaires étrangères, peut dès aujourd’hui rompre avec son attentisme coupable et mettre enfin ses actes au diapason de ses discours et de ses ambitions, au Conseil de Sécurité des Nations unies ainsi que lors du Conseil Européen des 23 et 24 avril. Quant aux candidats, media et société civile, ils doivent veiller à ce qu’elle le fasse effectivement, avec persévérance et intégrité. Jean-Etienne de Linarès, ACAT Jean-Marie Fardeau, CCFD Michel Roy, Secours catholique/Caritas France Sharon Courtoux, Survie   Télécharger le document entier au format PDF

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  • Darfour, appel à protéger les populations civiles.

    Paris, le 2 mars 2007

    Monsieur le Président,
    Madame la candidate, Monsieur le candidat,

    Nos associations sont horrifiées par l’intensification des exactions commises, en toute impunité, à l’encontre des populations du Darfour. En quatre ans, plus de 300 000 personnes ont été tuées et plus de 2,4 millions de personnes ont été chassées de leurs foyers. Dans le même temps, dix résolutions ont été adoptées par le Conseil de sécurité des Nations unies, sans aucun résultat concret sur le gouvernement de Khartoum. Cette situation insupportable déstabilise le Tchad et la République centrafricaine et risque d’embraser l’ensemble de la région.

    En refusant, le 15 février 2007, d’octroyer des visas aux membres de la mission d’enquête du Conseil des Droits de l’Homme des Nations unies se rendant au Darfour, et en niant le 26 février 2007 toute compétence à la Cour pénale internationale (CPI) au Darfour, le gouvernement soudanais vient de prouver une nouvelle fois qu’il n’est pas prêt à mettre un terme aux exactions commises au Darfour.

    Face au refus des autorités soudanaises de protéger ses populations, il est du devoir de la communauté internationale d’intervenir urgemment.

    Le 15 février 2007, les députés du Parlement européen ont adopté une résolution sur la situation au Darfour qui « invite les institutions de l’Union européenne à appliquer des sanctions visant toute partie, y compris le gouvernement soudanais, qui viole le cessez-le-feu ou s’en prend aux civils, et à mener toute action nécessaire contribuant à mettre fin à l’impunité par l’application du régime de sanction du Conseil de sécurité des Nations unies qui prévoit des sanctions économiques ciblées, y compris des interdictions de voyager et des gels d’actifs, à l’instar des mesures prises par l’Union européenne par le passé à l’égard d’autres pays ».

    Le Parlement européen « souligne que les sanctions à l’encontre du Soudan devraient également inclure la menace d’un embargo pétrolier ».

    Le 27 février 2007, le procureur de la Cour pénale internationale (CPI) Luis Moreno Ocampo, a demandé aux juges d’assigner ou d’émettre des mandats d’arrêt à l’encontre de deux hauts responsables des crimes commis au Darfour : Ahmad Muhammad Harun, ancien ministre de l’Intérieur du gouvernement soudanais et Ali Muhammad Ali Abd-Al-Rahman, commandant d’une milice janjawid, alliée aux forces gouvernementales.

    Même si nous avons bien conscience que la résolution de la crise au Soudan en général, et au Darfour en particulier, devra nécessairement passer par un accord de paix inclusif et accepté par les parties, nous sommes convaincus que les sanctions ciblées individuelles sont indispensables pour contraindre les belligérants à arrêter les combats et à accepter le déploiement de casques bleus au Darfour, conformément à la résolution 1706 des Nations unies.

    Jusqu’à présent, malgré ses discours et condamnations de principe, la France s’en est tenue à une simple diplomatie « classique », refusant de mettre en oeuvre des sanctions et voyant même son commerce avec le Soudan croître.

    Convaincus du principe qu’on ne doit pas commercer avec des régimes responsables de crimes contre l’humanité quand on se revendique patrie des Droits de l’Homme, nous vous demandons de mettre immédiatement en œuvre, sur le territoire français, une série de sanctions ciblées individuelles à l’endroit de toute partie qui viole le cessez-le-feu ou s’en prend aux populations civiles au Darfour :

    refus de visas, gel des avoirs en France de toutes les personnes nommées dans les rapports de la Commission d’enquête et du panel d’experts des Nations unies et enquête sur les comptes en France des entreprises soudanaises proches du gouvernement de Khartoum afin de préparer la mise en œuvre de nouvelles sanctions ciblées ;
    gel des relations commerciales de la France avec les pouvoirs publics et le gouvernement de Khartoum et gel des investissements français dans le secteur pétrolier soudanais.
    Dans l’hypothèse où le gouvernement soudanais continuerait de ne pas respecter ses obligations de protection vis-à-vis de ses propres populations et n’autoriserait pas le déploiement de casques bleus au Darfour, à l’échéance du mandat de la Mission préparatoire des Nations unies au Soudan (MINUS), le 30 avril 2007, nous vous demandons d’apporter une contribution financière, humaine et matérielle au déploiement d’une force onusienne ayant pour mandat, conformément à la résolution 1706, sous chapitre VII de la Charte des Nations unies :
    • de favoriser les conditions d’un véritable accord de paix entre toutes les parties, permettant aux populations déplacées ou réfugiées de retourner sur leurs terres, en toute sécurité ;
    de protéger efficacement les populations des violences, notamment à travers l’établissement d’une zone d’exclusion aérienne sur tout le Darfour ;
    • de mettre en place des corridors humanitaires sécurisés permettant aux organisations humanitaires d’accéder à l’ensemble des populations nécessitant une aide vitale.

    Nous vous prions d’agréer, Monsieur le Président, Madame la candidate, Monsieur le candidat, l’expression de notre très haute considération.

    Pour les associations signataires :

    Jean-Etienne de Linares
    Délégué Général de l’ACAT-France

  • République du Soudan

    Premier pays d’Afrique par la superficie, de 2,5 millions de km², le Soudan se situe au carrefour du monde arabe et de l’Afrique noire : au nord se trouvent la Libye et l’Egypte, à l’est la mer rouge, l’Erythrée et l’Ethiopie, le Centrafrique et le Tchad à l’ouest et la RDC, le Kenya et l’Ouganda au sud.

    (suite…)

  • Liliace Araba, Soudan.

    Pour faire face au retour des réfugiés au Sud-Soudan, les besoins sont énormes et les services quasi inexistants.

    (suite…)

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