• Qui sommes-nous ?
    • Retour
    • Qui sommes-nous ?
    • La gouvernance
    • Les rapports institutionnels
  • Nos combats
    • Retour
    • Nos combats
    • Paix et vivre ensemble
    • Souveraineté Alimentaire
    • Migrations Internationales
    • Justice Economique
  • Nos partenaires
    • Retour
    • Nos partenaires
    • Nos programmes
    • Nos projets
  • Actualités
    • Retour
    • Actualites
    • Nos dossiers thématiques
    • magazine échos du monde
    • Revue de presse
  • Qui sommes-nous ?
    • Retour
    • Qui sommes-nous ?
    • La gouvernance
    • Les rapports institutionnels
  • Nos combats
    • Retour
    • Nos combats
    • Paix et vivre ensemble
    • Souveraineté Alimentaire
    • Migrations Internationales
    • Justice Economique
  • Nos partenaires
    • Retour
    • Nos partenaires
    • Nos programmes
    • Nos projets
  • Actualités
    • Retour
    • Actualites
    • Nos dossiers thématiques
    • magazine échos du monde
    • Revue de presse
J'agis Je donne
  • retour
  • EN
  • Rapport d’activité de HDO (Organisation pour le Développement Humain)

    HDO s’est beaucoup impliqué et engagé dans les districts les plus négligés, distribuant des secours aux victimes, en particulier aux enfants, aux femmes, aux femmes enceintes qui n’avaient reçu aucune aide aussi bien de l’Etat que d’autres organisations.

    (suite…)

  • Femmes et enfants, doublement victimes ?

    De HDO, Sri Lanka, 24 janvier

    (suite…)

  • Les enjeux de la reconstruction

    L’instrumentalisation de l’aide
    Les deux camps (gouvernemental et tamoul) qui s’opposent depuis 40 ans luttent pour le monopole de l’aide à apporter dans les zones tamoules. Le LTTE possède sa propre organisation humanitaire. Sur le terrain, les associations doivent ménager un espace indépendant pour la société civile.

    Les femmes en dernière position
    Comme en Inde, les femmes veuves ou divorcées ne sont pas considérées comme des bénéficiaires prioritaires de l’aide. Notamment parce qu’elles n’ont pas le statut de chef de famille lors des opérations de distribution.

    Relancer les activités économiques… au bénéfice des populations
    La pêche et le tourisme représentent moins de 5% du Pib mais font vivre plusieurs centaines de milliers d’individus. Souvent pauvres et marginalisées, ces populations de pêcheurs et Dalits risquent de se retrouver encore plus fragilisées après le tsunami. Face à des intérêts économiques (tourisme, pêche industrielle), elles devront s’organiser pour maintenir leur habitat et leur mode de subsistance. De nombreux titres de propriété on été perdus lors de la catastrophe, laissant présager des conflits autour des terrains côtiers.

  • Situation au 9 janvier – CCFD

    Contexte et situation du pays

    Le dernier bilan de la catastrophe fait état de 30 615 morts pour le Sri Lanka, au 07-01-05. Ce pays est économiquement et proportionnellement à sa population sans doute le pays le plus affecté, car l’essentiel de la population vit le long des côtes, les deux tiers de la population ont été touchés.

    Cela a occasionné des visites de personnalités importantes, elles aussi uniques dans l’histoire de l’île. Le secrétaire d’Etat américain, le secrétaire général de l’ONU, le premier ministre sud coréen, le président de la Banque Mondiale, le directeur de l’Organisation Mondiale de la Santé, le ministre des affaire étrangères allemand et le ministre français de la santé se sont succédés sur l’île en trois jours (du 6 au 9 janvier)….

    On cite parmi les chiffres des dégâts : un demi million de personnes dans des camps de fortune ; des dommages pour 1,3 milliard de dollars ; près de 100 000 maisons détruites ; près de 100 000 embarcations (bateaux de pêcheurs) détruits… Pour comparer, signalons que le fardeau du remboursement de la dette atteint un niveau de 500 millions de dollars par an. Le pays pourrait demander non pas seulement un moratoire mais un effacement de la dette.
    […]

    1. L’aide apportée aux zones tamoules. Il n’est pas clair si l’aide d’urgence parvient d’une manière équitable dans toutes les zones du pays. Chaque camp politique, le gouvernement mais aussi l’organisation tamoule LTTE, se comporte comme s’il devait disposer d’un monopole sur l’aide à apporter, en tout cas se comporte comme s’il devait contrôler toute l’aide qui parvient aux zones sinistrées, en l’occurrence les zones administrées par le LTTE. L’armée cinghalaise essaye de mettre à profit le désastre pour reprendre pied dans les zones tamoules. Le LTTE est-il prêt à accepter d’autres organisations humanitaires, en plus du TRO (Tamil Relief Organization, qu’il contrôle) ? Il est important de sauvegarder et de protéger l’espace de travail pour les ONG et les organisations de la société civile qui ne sont inféodées ni à l’Etat, ni à l’armée ni au LTTE dans cette phase d’aide d’urgence et de réhabilitation.
    2. Le tsunami a fait de nombreux orphelins, cela risque d’être une aubaine pour les trafiquants d’enfants. Il faut protéger les enfants orphelins, ou rendus plus vulnérables, de l’esclavage, de la prostitution, de l’adoption à des fins mercantiles, du recrutement paramilitaire.

    La polémique a rebondi en France sur le point de savoir s’il faut protéger les orphelins dans des centres spécialisés, ou s’il faut laisser la porte ouverte à des adoptions, y compris internationales. Pour éviter les dérives, le gouvernement sri lankais a interdit pour le moment les adoptions d’orphelins.

    Le gouvernement français met en garde, et prévoit des procédures spéciales, en particulier des parrainages collectifs à distance, qui est une forme d’aide, mais pas une forme d’adoption.

    Passée la phase d’urgence, on devra reconnaître que les enfants aussi sont traumatisés, et que l’aide à apporter doit être également psychologique en plus des aides matérielles.

  • Le bilan au Sri Lanka

    Lourd tribut humain et matériel

    30 957 morts, 5 903 disparus et 15 122 blessées. La côte sri lankaise a été balayée au Nord et à l’Est. C’est le pays le plus affecté en proportion de sa population, notamment en raison de la concentration humaine le long des côtes. Plus d’un demi million de personnes seraient hébergées dans des camps de réfugiés.

    Les pertes en termes d’infrastructures sont importantes : les rizières de la côte (les plus productives du pays) et l’activité de pêche (qui emploie 250 000 personnes) sont parmi les secteurs les plus touchés. 100 000 embarcations auraient été détruites, soit 75% de la flotte.

    L’urgence dans la guerre

    Malgré une trêve décrétée après le tsunami, le contexte de guerre civile entre le mouvement séparatiste tamoul LTTE et le gouvernement brouille les cartes de la distribution de l’aide dans les zones de conflit. La communauté tamoule dénonce l’absence d’équité dans la distribution de l’aide.

  • SRI LANKA : La mobilisation des partenaires

    Agir sans attendre
    La réaction des petites associations de paysans, pêcheurs et syndicalistes, proches du terrain, a été immédiate et très importante.

    Un impératif : mobiliser tous les acteurs
    HDO, partenaire du Ccfd, avait déjà acquis une expérience de l’urgence lors des récentes inondations. Il a avancé des fonds pour distribuer les produits de première nécessité dans la région de Batticaloa. Dans une phase suivante, il a fait part de la nécessité de mobiliser l’ensemble de la société civile dans un contexte de tension entre deux autres forces, tamoule et gouvernementale. HDO travaille notamment avec des étudiants et des journalistes.

  • Victimes du tsunami et de l’exclusion sociale ordinaire

    De IMADR, Comité Asie du mouvement international contre toutes les formes de discrimination et de racisme, 29 décembre 2004.

    (suite…)

Je reste informé ! Je m'abonne à la newsletter

Je m'abonne
loader
Utilisation des données

Respect des garanties rgpd

Les données communiquées via ce formulaire sont collectées avec votre consentement et sont destinées au CCFD-Terre Solidaire en sa qualité de responsable du traitement.
Elles sont destinées à la direction du développement des générosités pour vous envoyer notre actualité et vous tenir informé de nos actions.
Pour l’exercice de vos droits d’accès à vos données, vous pouvez contacter notre Délégué à la Protection des Données personnelles par courriel dpo@ccfd-terresolidaire.org ou par courrier postal :

CCFD-Terre Solidaire (DPO)
4 rue Jean Lantier
75001 PARIS

En cas de difficulté en lien avec la gestion de vos données personnelles, vous pouvez adresser une réclamation à la CNIL.

J'agis
Je donne

Vous souhaitez nous rejoindre ?

Offre d'emploi

Offres d'emploi

Consulter Consulter
Offre de bénévolat

Offres de bénévolat

Consulter Consulter
Logo Terre Solidaire
  • Suivez-nous :
  • Twitter
  • Facebook
  • Linkedin
  • Youtube
  • Instagram
Comité Catholique contre la faim et pour le développement
- Terre solidaire
  • Contactez-nous
  • F.A.Q.
  • Mentions légales
  • Cookies
  • Espace presse
  • Espace bénévole
  • Espace donateur
  • Articles
  • Twitter
  • Facebook
  • Linkedin
  • Youtube
  • Instagram
N° SIREN 775 664 527 - N° RNA W759000066