• Qui sommes-nous ?
    • Retour
    • Qui sommes-nous ?
    • La gouvernance
    • Les rapports institutionnels
  • Nos combats
    • Retour
    • Nos combats
    • Paix et vivre ensemble
    • Souveraineté Alimentaire
    • Migrations Internationales
    • Justice Economique
  • Nos partenaires
    • Retour
    • Nos partenaires
    • Nos programmes
    • Nos projets
  • Actualités
    • Retour
    • Actualites
    • Nos dossiers thématiques
    • magazine échos du monde
    • Revue de presse
  • Qui sommes-nous ?
    • Retour
    • Qui sommes-nous ?
    • La gouvernance
    • Les rapports institutionnels
  • Nos combats
    • Retour
    • Nos combats
    • Paix et vivre ensemble
    • Souveraineté Alimentaire
    • Migrations Internationales
    • Justice Economique
  • Nos partenaires
    • Retour
    • Nos partenaires
    • Nos programmes
    • Nos projets
  • Actualités
    • Retour
    • Actualites
    • Nos dossiers thématiques
    • magazine échos du monde
    • Revue de presse
J'agis Je donne
  • retour
  • EN
  • Cambodge, le long combat des femmes de Boeung Kak

    Il pleut averse et la nuit est déjà tombée quand une clameur de joie s’élève de la foule massée devant la grille de la prison : la voilà ! Le 22 novembre 2013, après plus d’un an passé en détention, Yorm Bopha, militante anti-expulsion de la communauté de Boeung Kak, vient d’être enfin libérée.

    (suite…)

  • Colombie : Vends ta terre ou c’est ta veuve qui le fera

    A l’heure où les paysans colombiens se mobilisent, le CCFD-Terre Solidaire, lance “Vends ta terre ou c’est ta veuve qui le fera”, un web documentaire qui retrace la lutte pour la défense de leur terre.

    (suite…)

  • Cambodge : Tout sauf des armes et autres histoires

    Au Cambodge, depuis l’adoption de la loi de 2001 sur la propriété foncière, qui permet à l’état d’attribuer des terres sous forme de « concession foncière économique », 2 millions d’hectares – 56% des terres arables du pays – sont passés aux mains de sociétés privées. « Tout sauf les armes » est le sixième épisode du cycle TERRES.

    (suite…)

  • Brésil-Pérou : Carnet de route

    Du Sommet des peuples pour la justice sociale et environnementale aux luttes des paysans péruvien contre le projet minier de Conga, en passant par l’occupation de la Fazenda Cedro par les sans terre brésiliens et les inquiétudes générées par la construction des barrages de Santo Antonio et Jirau, un voyage à la rencontre de ceux qui luttent pour un monde plus juste…

    (suite…)

  • Bénin : Djidja

    La commune de Djidja, dans le département du Zou, au centre du Bénin, dispose d’importante réserves de terres agricoles. Traditionnellement, la moitié est mise en culture et le reste laissé en jachère. Mais cet équilibre est en train d’être bouleversé par l’arrivée d’investisseurs extérieurs et, depuis 2008, près de la moitié des terres agricoles de la commune (environ 45.000 hectares) ont changé de main…

    (suite…)

  • Burkina Faso : les gens veulent manger mais ils n’ont pas l’argent

    Depuis les émeutes qui ont accompagné les manifestations contre la vie chère, en 2008, le Burkina Faso a connu des hauts et (surtout) des bas, mais se nourrir demeure un problème quotidien, et le pays continue d’importer 70% du riz qu’il consomme, alors que 90% de sa population active travaille dans l’agriculture…

    (suite…)

  • Mali : ruée sur les terres irrigables de l’Office du Niger

    La conférence internationale « Stop à l’accaparement des terres » organisée par la Via Campesina, présente la problématique de l’accaparement des terres dans le contexte international.

    (suite…)

  • Philippines : « D’abord ils ont pris ma terre »

    Qu’il s’agisse de terres agricoles ou de terrains urbains, de monocultures d’exportation, d’agrocarburants, de zones franches ou d’aquaculture, aux Philippines, tout est fait pour attirer les investisseurs étrangers.

    (suite…)

  • L’auteur

    « Je suis un artisan engagé. Artisan car je confectionne à la main et de bout en bout chacun de mes web documentaires en profitant des possibilités offertes par Internet. Engagé car j’ai choisi mon camp dans le match ’Privatisation du monde versus Défense des biens communs’. Je veux donner à voir et à comprendre les luttes pour la terre – et plus largement pour l’eau, l’air, la biodiversité, la propriété intellectuelle, etc. – car cela relève, me semble-t-il, de la simple éthique professionnelle. »

    (suite…)

  • Des lois foncieres inexistantes pour la paysannerie

    Les pays les plus attractifs pour les investisseurs sont ceux dans lesquels la gouvernance foncière est la plus faible et dans lesquels les droits sur la terre sont le moins consolidés, ou sont propriétés de l’Etat. En général le statut juridique des terres et des forêts concernées par ces appropriations est très variable, reflétant souvent les particularités de l’histoire locale et les spécificités des droits coutumiers. Sans politique foncière claire et à l’image des usages locaux, l’accaparement des terres sera toujours facilité par ces flous fonciers juridiques. Souvent il n’y a aucune volonté politique réelle même si parfois elle est affichée, de mettre en place une politique foncière qui s’inscrirait clairement dans le droit, et sanctionnerait les illégalités et les abus.

    (suite…)

  • Les stratégies spéculatives des opérateurs financiers

    Les opérateurs financiers cherchent toujours à produire le profit maximum en termes monétaires, quel que soit l’objet de la spéculation, même si cela affame les populations, pas de morale chez ces gens là !

    (suite…)

  • Les multiples moteurs de la « soif de terre »

    La hausse des prix des denrées alimentaires en 2007 et 2008 a largement contribué à l’accélération des acquisitions et des locations de terres à grande échelle. Les pays riches en ressources monétaires, mais fortement dépendants des importations alimentaires, ont mis en place des fonds souverains et encouragent leurs entreprises à s’investir dans des projets de production alimentaire à l’étranger, avec comme principale préoccupation : la sécurité alimentaire sur leur propre territoire.

    (suite…)

  • Quels impacts ?

    Au-delà des effets négatifs directs pour les populations locales (expropriations, déni des droits fonciers divers, destruction de l’environnement, etc.), il existe aussi des risques à long terme.

    (suite…)

  • L’insécurité alimentaire s’accroît

    Les règles du commerce international, sous l’égide de l’OMC ne garantissent plus l’alimentation pas chère pour tous. Aujourd’hui des Etats comme la Lybie, les Etats des émirats arabes, la Chine ont ainsi mis en place des fonds dits souverains pour acquérir massivement des terres arables pour garantir leur approvisionnement. On parle même de géopolitique des terres arables.

    (suite…)

Je reste informé ! Je m'abonne à la newsletter

Je m'abonne
loader
Utilisation des données

Respect des garanties rgpd

Les données communiquées via ce formulaire sont collectées avec votre consentement et sont destinées au CCFD-Terre Solidaire en sa qualité de responsable du traitement.
Elles sont destinées à la direction du développement des générosités pour vous envoyer notre actualité et vous tenir informé de nos actions.
Pour l’exercice de vos droits d’accès à vos données, vous pouvez contacter notre Délégué à la Protection des Données personnelles par courriel dpo@ccfd-terresolidaire.org ou par courrier postal :

CCFD-Terre Solidaire (DPO)
4 rue Jean Lantier
75001 PARIS

En cas de difficulté en lien avec la gestion de vos données personnelles, vous pouvez adresser une réclamation à la CNIL.

J'agis
Je donne

Vous souhaitez nous rejoindre ?

Offre d'emploi

Offres d'emploi

Consulter Consulter
Offre de bénévolat

Offres de bénévolat

Consulter Consulter
Logo Terre Solidaire
  • Suivez-nous :
  • Twitter
  • Facebook
  • Linkedin
  • Youtube
  • Instagram
Comité Catholique contre la faim et pour le développement
- Terre solidaire
  • Contactez-nous
  • F.A.Q.
  • Mentions légales
  • Cookies
  • Espace presse
  • Espace bénévole
  • Espace donateur
  • Articles
  • Twitter
  • Facebook
  • Linkedin
  • Youtube
  • Instagram
N° SIREN 775 664 527 - N° RNA W759000066