Publié le 24.02.2009 Mis à jour le 11.02.2013
Le 1er février 2008, les rebelles ont attaqué la capitale tchadienne, N’Djamena, afin de renverser le pouvoir en place. Ces attaques ont conduit des milliers de Tchadiens à fuir la ville et à se réfugier dans le nord du Cameroun. Selon les chiffres du HCR (Haut Commissariat aux Réfugiés des Nations Unies), entre 30 000 et 50 000 personnes se sont déplacées. La plupart des familles vivent dans les rues et environ 10 000 personnes se sont regroupées dans la paroisse de Kousseri. Les hommes retournent timidement à N’Djamena pour constater les dégâts et retrouver des parents perdus. Actuellement on dénombre encore plus de 2 500 personnes dans la paroisse, essentiellement des femmes et des enfants. Ces familles souffrent essentiellement : du manque de nourriture, d’eau et de soins.
Objectifs :
Activités :
Dès le début de la crise, la paroisse de Kousseri a accueilli les familles réfugiées et les premiers soins ont pu être prodigués. Les principaux domaines d’intervention sont :
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Migrations Paix et conflit Réfugiés