Conformément à son principe fondateur, le CCFD n’envoie pas d’expatriés, n’a pas de mission à demeure sur place, n’expédie pas d’aide matérielle.
Il existe sur place suffisamment de compétences pour travailler aux côtés des populations victimes et reconstruire.
Le CCFD s’appuie sur les associations locales, qui connaissent les populations, leurs besoins, les méthodes de travail et valorisent l’économie locale.
En général, nous n’intervenons pas sur les besoins d’urgence, en revanche, il peut intervenir en urgence quand la situation l’exige, comme cela a été le cas immédiatement après les raz-de-marée. Plusieurs de nos partenaires ont pris une part très active à l’élan de solidarité générale pour porter secours aux populations et leur fournir alimentation, vêtements, médicaments...
Nous les avons aidés dans cette démarche.
Mais l’essentiel de notre solidarité, mise en œuvre grâce aux dons reçus, est destinée au travail de réhabilitation, notamment aux profits des plus vulnérables et à la défense de leurs droits durant la longue période de reconstruction qui a commencé.
Le CCFD a répondu positivement à l’appel de ses partenaires et a déjà apporté son soutien à 15 projets pour un montant de 404 700 euros.