Publié le 17.06.2005 Mis à jour le 27.08.2012
Des dizaines de milliers de déplacés vivent encore dans des logements temporaires, bâtis par les autorités et les ONG mais les chantiers de construction témoignent de l’avancée des travaux pour le relogement des pêcheurs.
La situation reste plus difficile pour les Dalits (Intouchables) ou les populations tribales (Adivasis) qui n’ont accès à aucun soutien, tant pour la relance des activités économiques que pour le relogement. Or, ils ont été eu aussi durement frappé par la catastrophe qui a considérablement accru la précarité de leur situation.