Publié le 20.07.2006 Mis à jour le 06.02.2013
Les pays du Mékong s’ouvrent de façon effrénée à l’économie de marché, afin d’attirer les investisseurs et leurs devises. Le Thaïlande est l’exemple-type de cette course au profit au détriment des personnes les plus vulnérables.
Le secteur du tourisme y est florissant, avec sa variante inavouable : le tourisme sexuel. Dans ce pays, de nombreux enfants doivent travailler, voire se prostituer pour survivre. Les pays voisins de la Thaïlande (Vietnam, Laos, Chine, Birmanie et Cambodge) empruntent la même voie. La lutte contre les trafics concernant les enfants devient un défi commun à toute la région.
Le partenaire
Le CPCR (Centre for protection of children’s rights), créé en Thaïlande en 1982, apporte son soutien et sa protection aux enfants et aux femmes victimes du trafic humain et les aide à retourner dans leur communauté.
Le projet
Depuis sa création, le CPCR apporte son soutien aux enfants et aux femmes victimes du trafic humain et les aide à retourner dans leur communauté. Grace à ses efforts, il a réussi à créer un large réseau incluant les secteurs gouvernementaux et non-gouvernementaux du Mae-Khong (Cambodge, Chine, Vietnam, Laos et Birmanie) pour une coopération en faveur de la protection des enfants Récemment interpellés par le CPCR, les gouvernements thaïlandais et cambodgien ont signé un Mémorandum pour une coopération afin d’éliminer le trafic transfrontalier d’enfants et de femmes.
Les réalisations