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  • Cinq ans après l’accord de Paris, l’Amérique centrale frappée par les dérèglements climatiques

    Cinq ans après la signature de l’accord de Paris, nous avons malheureusement peu de raisons de célébrer…
    Alors qu’une série d’ouragans frappe durement l’Amérique centrale, où est la volonté politique nécessaire pour répondre à la gravité de la situation et aux espoirs portés par la société civile internationale ?

    (suite…)

  • Salvador : la démocratie confisquée

    Ancien maire de San Salvador, la capitale du pays, Nayib Bukele a été élu, à 37 ans, président de la République. Son élection en février 2019, a rompu l’hégé­monie des deux principaux politiques qui ont gouverné le pays durant trente ans : l’Arena, à droite, de 1989 à 2009 ; et le FMLN, à gauche, de 2009 à 2018. Ayant mené campagne sur les réseaux sociaux et sans base parlementaire solide, il assume un style très autocratique, faisant à la fois appel à la religion et au pouvoir des forces de sécurité (police et armée) pour asseoir son leadership.

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  • Coronavirus au Salvador : agriculteurs, éleveurs… comment faire face à la crise en zones rurales ?

    En confinement, notre partenaire du Salvador Funprocoop accompagne à distance les producteurs locaux touchés de plein fouet par la pandémie de Covid-19. Témoignage du directeur, Mauricio Vanegas.

    (suite…)

  • Au Salvador, espoir de justice après l’inconstitutionnalité de la loi d’amnistie

    La loi d’amnistie approuvée en 1993, suite aux accords de paix, et qui servait de paravent pour protéger des responsables de massacres et des graves crimes contre l’humanité, vient d’être déclarée inconstitutionnelle.
    Walter Prysthon, responsable du service Amérique Latine au CCFD-Terre Solidaire, souligne à quel point cette décision est significative dans le combat contre l’impunité et pour asseoir une culture des droits humains dans la région. Elle est aussi le résultat de longues années de travail des organisations de défense des droits humains et des associations de victimes au Salvador.
    La balle est désormais dans le camps des institutions salvadoriennes pour traduire en justice les responsables des crimes et des violations des droits humains et poser ainsi les bases de la réconciliation et de la non répétition des faits de violence.
    Nous reproduisons ci-dessous le communiqué de Tutela Legal, avec qui le CCFD-Terre Solidaire a beaucoup travaillé au Salvador.

    (suite…)

  • Edito de Faim et Développement sur la solidarité

    Comme vous, je suis scandalisé par ces milliers de migrants et réfugiés morts en mer Méditerranée, devenue un vrai cimetière. Depuis le début de l’année, près de 2 000 personnes s’y sont noyées. Les tergiversations de l’Union européenne et des pays membres, sous prétexte d’un éventuel appel d’air, sont intolérables et irrecevables. Quand un homme, une femme, un enfant se noie, on se doit d’abord de le sauver, de lui donner des couvertures et de quoi manger. Après seulement, on organise la gestion de ces arrivées.

    Il nous faut « réveiller nos consciences pour que ce qui est arrivé ne se répète pas », suppliait le pape François à Lampedusa le 8 juillet 2013. Avec le collectif Des Ponts pas des murs, auquel participe le CCFD-Terre Solidaire, nous avons demandé au président de la République de faire en sorte qu’une véritable opération de sauvetage en mer et qu’un mécanisme d’accueil sur la base de la solidarité entre États membres de l’UE se mettent en place. Il semble que la Commission européenne veuille avancer dans ce sens[[ Lors du Conseil européen prévu, le 25 et 26 juin, les États devront se prononcer, après consultation du Parlement européen, sur l’ensemble des propositions de la Commission européenne (voir page 12). Ce vote se fera à la majorité.]].

    Le CCFD-Terre Solidaire, avec d’autres ONGs, porte des propositions concrètes pour la politique migratoire de la France. Dans nos rencontres avec les pouvoirs publics, nous rappelons que le droit d’asile est un droit fondamental et, qu’à ce titre, l’accueil de réfugiés ne peut pas se discuter. Ces hommes, ces femmes, ces enfants risquent leur vie en Syrie, en Irak, en Érythrée, en Somalie. Ils fuient la guerre et la répression.

    L’an dernier, la France n’a accueilli que 14 512 réfugiés [[Selon les chiffres de l’Ofpra : statut de réfugiés et protection subsidiaire.]]. C’est très peu pour la patrie des Droits de l’Homme et bien moins que l’Allemagne ou la Suède. Et la réforme du droit d’asile en cours peut faire craindre de nouvelles restrictions.

    Une fois encore, ce sont les pays du Sud qui se montrent les plus solidaires. La Jordanie accueille un million de réfugiés syriens, le Liban aussi, soit un quart de sa population !

    Heureusement, en France, des associations comme le Service jésuite des réfugiés ou Revivre, et des familles, accompagnent au quotidien des réfugiés. Ils sont les témoins d’un peuple français qui sait rester solidaire. Nous leur donnons la parole dans ce numéro.

    Sans solidarité pas d’humanité ! Hier, aussi, cette solidarité était à l’œuvre dans des combats différents. Mgr Oscar Romero, a été béatifié le 23 mai dernier à San Salvador en présence de 300 000 fi dèles. Alors que la répression et les violences politiques sévissaient au Salvador, il a pris la défense des plus pauvres, en particulier des paysans sans terre. Il n’a pas hésité à interpeller vigoureusement les autorités et l’armée. Il l’a payé de sa vie, assassiné par un « escadron de la mort », alors qu’il célébrait l’Eucharistie dans une chapelle. « Une Église qui ne s’unit pas aux pauvres, et à partir d’eux, ne dénonce pas les injustices commises contre eux, n’est pas la véritable Église de Jésus-Christ », disait-il.

    Comme Mgr Romero, sachons garder notre capacité d’indignation devant les injustices et particulièrement devant ce scandale des migrants en Méditerranée. Appuyons les associations qui, comme le CCFD-Terre Solidaire, n’hésitent pas à interpeller les autorités pour leur rappeler leur devoir de solidarité et à leur faire des propositions concrètes. Chacune et chacun peut participer, à sa mesure, à la construction d’un monde plus juste et plus humain.

  • Mgr Romero, défenseur des sans-voix, proclamé Saint

    Le 24 mars 1980, l’archevêque de San Salvador, Mgr Romero était assassiné en pleine messe. Pour tous ceux qui luttent pour les droits humains et les droits des plus pauvres, sa canonisation lors du synode pour les jeunes d’octobre 2018 est un moment de grande joie. Le CCFD-Terre Solidaire, qui a soutenu son action à l’époque, est particulièrement heureux de cette reconnaissance par l’Eglise qui donne à son engagement une dimension universelle.

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  • Comment réduire la pauvreté des communautés paysannes au Salvador ?

    Au Salvador, pays marqué par la pauvreté et la violence, la Fondation pour la promotion de coopératives (Funprocoop), partenaire du CCFD-Terre Solidaire, joue la carte de la formation des petits agriculteurs familiaux. Agro-écologie, économie sociale, mais aussi capacité à formuler des demandes précises en termes de politiques publiques… L’objectif est de faire de ces petits paysans des acteurs à part entière du monde rural, au moment même où la gauche vient d’accéder pour la première fois à la tête du pays.

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  • Programme de production et de conservation des semences traditionnelles et actions de plaidoyer

    La promotion d’une agriculture de résistance

    Le contexte

    Le secteur agricole est en crise au Salvador : quatre personnes sur cinq vivent sous le seuil de pauvreté. Le développement économique du pays est centré sur le secteur urbain bien que 60 % de la population vivent dans les campagnes. Deux tremblements de terre successifs et des périodes de sécheresse ont accentué la détresse des paysans. D’autres maux sont liés à la politique des dirigeants du pays, toute tournée vers le secteur de l’agro-exportation. Le Congrès a voté en 2002 une loi des semences et brevets favorisant le monopole des vendeurs de semences hybrides et d’intrants chimiques. Le gouvernement salvadorien a, par ailleurs, ratifié le Traité de libre échange entre les pays d’Amérique centrale et les Etats-Unis qui risque encore d’approfondir la crise agricole au détriment des producteurs familiaux pauvres. Enfin, dans la zone concernée par l’action de la FUNPROCOOP, un projet de barrage sur le fleuve Lempa risque de restreindre l’accès des riverains aux ressources dont ils ont besoin pour leur activité agricole.

    Le projet

    La FUNPROCOOP (Fondation pour la promotion de coopératives) a mis en place un programme de promotion d’une agriculture familiale « de résistance » dans quatre micro-régions du pays. Plus de 900 familles représentant 55000 habitants en bénéficient. Ils se voient renforcer leurs droits à vivre dignement de l’activité agricole, en respectant leurs modes de vie traditionnels. Le programme consiste à dynamiser la production et la conservation de semences traditionnelles et d’espèces locales. Les paysans sont formés à l’analyse de leur situation. La FUNPROCOOP les accompagne dans des actions de plaidoyer pour la défense de la sécurité alimentaire.

    Les réalisations

    • Les ressources génétiques de plantes locales sont identifiées. De nouveaux systèmes de production utilisant les semences traditionnelles locales et des intrants biologiques sont mis en place. Les sources d’eau sont protégées et valorisées.

    • FUNPROCOOP apporte son assistance technique aux paysans. Elle leur assure des formations et les prépare à l’ouverture de marchés alternatifs. Elle diffuse des études venant de comités locaux de recherche et donne un coup de pouce aux initiatives commerciales venant de jeunes et de femmes.

    • L’organisation forme des leaders pour la participation démocratique aux débats sur l’agriculture et l’alimentation. Elle pousse ces leaders à s’engager contre la biopiraterie et les OGM.

    • Elle renforce les organisations locales de paysans pour plus d’impact politique. Elle se mobilise dans des actions de lobbying aux niveaux local et national, notamment pour influer sur la loi des semences et de propriété sur le vivant. Elle mène pour cela des campagnes de communication et de mobilisation citoyenne.

  • Des communautés se mobilisent face à des projets industriels peu soucieux de l’environnement

    Suite à la soudaine et inexpliquée fermeture de Tutela Legal par l’archevêché de San Salvador en octobre 2013, le CCFD-Terre Solidaire a suspendu sa coopération avec le bureau des droits humains de l’Archevêché.

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  • Salvador

    Sur la côte Pacifique, entre le Guatemala et le Honduras, El Salvador, grand comme la Bretagne, est le plus petit pays d’Amérique centrale. Les effets de la guerre civile de 1980 à 1992, qui a coûté 100 000 vies dans un pays de 6,7 millions d’habitants, se font encore sentir. Ils se traduisent par une insécurité très forte, El Salvador étant considéré comme le pays le plus dangereux au monde.

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