Category:

“La rumeur”, une nouvelle pour contourner la censure

juillet 2nd, 2021 by

Vous ne saurez ni son vrai nom, ni son pays.
Nous avons délibérément choisi d’anonymiser son témoignage.
Pour ne pas le mettre en danger.

Avant-propos


Narun fait partie d’une de ces organisations partenaires que nous soutenons mais dont nous ne pouvons plus parler, sans prendre le risque de les mettre en insécurité avec les autorités de leur pays.

Petit à petit en effet notre carte du monde se rétrécit, et la liste des pays sur lesquels nous pouvons communiquer se réduit en peau de chagrin.
Comment continuer à raconter l’histoire de nos partenaires, à partager et faire connaitre leurs combats dans ces conditions?
Comment ne pas laisser le silence s’installer, donnant ainsi la victoire à ceux qui voudraient les faire taire ? Il suffit de lire cette histoire bouleversante pour comprendre à quel point leur combat mérite d’être connu et partagé.
L’histoire de Narun est l’histoire vraie d’un de nos partenaires racontée sous la forme d’une courte nouvelle.
En faisant disparaitre le nom des pays, et des communautés concernées, ce sont aussi nos projections et nos à priori culturels qui disparaissent.
Et c’est finalement un récit universel qui se dessine, une radiographie du poison de la rumeur dont les médias sociaux et des politiques avides de pouvoir se repaissent. Narun lui agit sur le terrain, au plus près des populations parfois victimes, parfois actrices, des violences.
Armé de son drap blanc et de son vidéo projecteur, il arpente les villages, suscite la rencontre, ravive l’émotion, bouscule les représentations. Et même si nous ne savons pas où cette histoire se déroule, elle nous devient étonnamment proche…

(suite…)

Liban : abattre les cloisons pour construire des ponts

juin 22nd, 2021 by

Le fondateur de l’association Alpha, le père Albert Abi Azar vit à Beyrouth. Alpha, partenaire du CCFD-Terre Solidaire, intervient au pays du Cèdre, mais aussi en Syrie et en Irak pour des missions d’urgence humanitaire, et dans le cadre de son programme d’alphabétisation. Rencontre avec un homme au caractère bien trempé, porteur de la mémoire de son pays.

(suite…)

Gaston : oser s’engager plus pour défendre les droits des personnes migrantes

juin 21st, 2021 by

Partons à la rencontre de Gaston, bénévole depuis 9 ans au CCFD-Terre Solidaire. De sa propre arrivée en France, à son voyage engagé à Tunis au lendemain du Printemps arabe, Gaston nous parle de son engagement pour l’accueil des personnes migrantes et un ordre migratoire plus juste.

(suite…)

Le regard de Bernard Pinaud : «Nous devons nous mettre à leur service»

juin 21st, 2021 by

À l’occasion de nos 60 ans, Bernard Pinaud, ancien Délégué général et compagnon de route de l’association, revient sur l’histoire du CCFD-Terre Solidaire. Il nous livre ses souvenirs les plus forts et analyse les évolutions actuelles.

(suite…)

Frente a EDF, la lucha de una comunidad indígena mexicana por el reconocimiento de sus derechos

juin 11th, 2021 by
© ProDESC
© ProDESC

El 13 de octubre de 2020, personas defen soras de los derechos humanos y el terri torio de la comunidad de Unión Hidalgo, en México, la asociación mexicana de derechos humanos ProDESC y la asociación de defensa de derechos humanos ECCHR promovieron una demanda civil contra la empresa pública Électricité de France (en adelante, «EDF») por violación de su deber de vigilancia.

Qué está en juego? EDF pretende construir un parque eólico -el proyecto Gunaá Sicarú- a escala industrial, en Oaxaca, al sur de México, en las tierras de los pueblos indígenas, sin respetar sus derecho al consentimiento libre, previo e informado tal y como establecen la Constitución mexicana y el derecho internacional.

La violación de este derecho ha generado graves conflictos sociales y violaciones de los derechos humanos.

En en informe, “Vigilancia sin Voltaje”, CCFD-Terre Solidaire, ECCHR y ProDESC ponen en relieve los incumplimientos al deber de vigilancia y al derecho internacional relacionados con el proyecto Gunaá Sicarú, así como el papel de EDF, y de la Agencia de Participaciones del Estado frances.

Más ampliamente, este informe pone de manifiesto una negligencia culpable del Estado francés cuya pasividad ha alimentado las violaciones en Unión Hidalgo.

Descargar el informe “Vigilancia sin voltaje”
2021-06-08_-_vigilance_hors_tension_-_rapport_-_es_-_-2.pdf


Documents joints

Jean-François Dubost, Directeur du Plaidoyer

juin 9th, 2021 by

Jean-François Dubost, est nommé Directeur du Plaidoyer en juillet 2021. Avec son arrivée, le CCFD-Terre Solidaire témoigne de sa volonté de poursuivre son travail vis-à-vis des décideurs, des acteurs publics et privés.

Jean-François DUBOST, directeur du plaidoyer du CCFD-Terre Solidaire © Ophélie Chauvin / CCFD-Terre Solidaire
Jean-François DUBOST, directeur du plaidoyer du CCFD-Terre Solidaire © Ophélie Chauvin / CCFD-Terre Solidaire

Un spécialiste des questions de plaidoyer

Titulaire d’un DESS de droit international des droits de l’homme et droit humanitaire de l’Université Paris-2 Panthéon-Assas, Jean-François DUBOST est un expert des problématiques de plaidoyer pour le compte d’organisation de la société civile. Il a notamment été responsable du programme Protection des populations (2016/2021), responsable du programme Personnes déracinées (2010/2015) et responsable du service Réfugiés (2006/2010) au sein d’Amnesty international France.

Il était dernièrement responsable du programme protection des populations au sein d’Amnesty International France.

Sa mission : renforcer l’action plaidoyer de l’ONG auprès des décideurs

Sa mission s’articule principalement autour de quatre champs d’action complémentaires : construire la souveraineté alimentaire, promouvoir le développement fondé sur la justice économique, accompagner les migrations internationales et enfin promouvoir la Paix et le vivre-ensemble.

« La crise sanitaire a exposé de façon criante et aggravée les inégalités qui défigurent nos communautés. Dans ce contexte, la solidarité constitue plus que jamais un rempart pour préserver la dignité de chaque être humain. Fort de ses liens avec ses partenaires, le CCFD-Terre Solidaire doit alerter et pousser les décideurs à agir dans le sens du Bien commun pour que nul homme ni femme ne soit une variable d’ajustement de choix politiques, économiques et financier »

Déclare Jean-François Dubost

Au Burundi, elle lance une plateforme pour lutter contre la haine

juin 8th, 2021 by

Très suivi sur les réseaux sociaux, Yaga contribue à la lutte contre les rumeurs et les préjugés, et crée un espace de dialogue favorable à la consolidation de la paix dans son pays. Rencontre avec Dacia Munezero, bloggeuse et une de ses membres fondateurs.

(suite…)

En RDC, la solidarité s’exprime au pied du volcan Nyiragongo (diaporama)

juin 3rd, 2021 by

A quelques kilomètres de Goma, où le volcan Nyiragongo s’est réveillé, le photographe William Dupuy est parti à la rencontre de notre partenaire UWAKI et témoigne de l’élan de solidarité pour accueillir les rescapés.

(suite…)

La transition tchadienne sous surveillance citoyenne

juin 1st, 2021 by

Suite au coup d’état au Tchad, la société civile vient de créer l’Observatoire citoyen de la transition. Une initiative du Comité de suivi de l’appel à la paix et à la réconciliation (CSAPR), partenaire du CCFD-Terre Solidaire.

Après la mort du président Idriss Déby, un « Conseil militaire de transition » a pris le pouvoir au Tchad, en suspendant la constitution et dissolvant le gouvernement et le parlement. De nombreuses voix se sont élevées pour dénoncer un « coup de force » qui échappe à toute légitimité démocratique. De nombreuses manifestations ont été durement réprimées dans le pays.

Le CSAPR, partenaire du CCFD-Terre solidaire, s’est engagé dès le début de cet épisode, en proposant dès le 28 avril des pistes pour une transition civile. Sur la base de l’étude de différentes expériences de transitions dans plusieurs pays d’Afrique, le CSAPR plaide pour « un dialogue national inclusif ». Il plaide aussi pour la fin du soutien français aux acteurs du coup d’état…

Un mois plus tard, cet engagement se poursuit par la mise sur pied de « l’Observatoire citoyen de la transition ». L’observatoire rassemble une trentaine d’organisations. Il est présidé par une figure de la société civile, l’avocat Me Nodjitoloum Salomon, ancien président de l’ACAT (Action des chrétiens pour l’abolition de la torture) – Tchad.

Cette plateforme entend mener une veille citoyenne et promouvoir une transition démocratique, l’état de droit et un dialogue dans des conditions sereines. L’observatoire s’adresse aussi à la communauté internationale en demandant la mise en place rapide d’un médiateur par les Nations unies, pour favoriser le dialogue et la tenue d’élections.

Il salue les prises de positions de l’Union africaine et du parlement européen. Ce-dernier a adopté, le 20 mai, une résolution ferme qui condamne « la prise militaire du pouvoir » et appelle « une transition pacifique, menée par des civils et urgente vers des élections démocratiques, libres et équitables, dans les meilleurs délais ».

Ce positionnement est le fruit du travail de plaidoyer de la part de plusieurs ONG européennes, dont le CCFD-Terre Solidaire.

3 rapports pour mieux comprendre les conflits au Tchad

voici un récapitulatif des rapports publiés ces dernières années en partenariat avec la société civile tchadienne pour mieux comprendre la situation de ce pays :

Consulter les rapports :

Soutenir la reconstruction de Gaza (une fois encore)

mai 28th, 2021 by

Au lendemain des bombardements, les habitants de la bande de Gaza découvrent l’ampleur des destructions et pansent leurs blessures. Une fois encore, nos partenaires doivent se reconstruire, sans réel espoir de paix. Cette fois encore, nous sommes à leurs côtés pour manifester notre soutien et notre solidarité.

(suite…)

Evasion au coeur des territoires indigènes Wampis

mai 27th, 2021 by

C’est au cœur d’une forêt dense bordée par le Rio Santiago, que vit le peuple indigène Wampis, au nord de l’Amazonie péruvienne. Ricardo Jiménez, président de Forum Pérou Solidarité, (partenaire du CCFD-Terre Solidaire), a sillonné ces rives idylliques menacées par la pollution, en compagnie de Wrays Pérez, le Chef du Gouvernement Territorial Autonome de la Nation Wampis (GTANW). Il nous livre ses impressions de voyage et nous invite à réfléchir au lien qui nous unit à la nature. À travers sa prose, évadons-nous un court instant, le long des rivières amérindiennes.

© Ricardo Jimenez
© Ricardo Jimenez

Une forêt à la beauté féroce

Six longues heures de montées et de descentes, de brusques zigzags sur une route étroite, mal dessinée, parfois incroyablement détériorée, agrémentée à l’occasion par le franchissement de ravins et de ruisseaux. La camionnette qui nous emmène prend des allures d’une montagne russe, un vrai défi pour le corps habitué à la géométrie plane des villes.

Nous nous enfonçons de plus en plus dans les entrailles végétales de la forêt, un tunnel ombreux et brillant, empli de tous les verts qu’on n’a pas encore imaginés. Nous avançons au milieu de l’élégante et sereine quiétude des arbres irrépressibles, incommensurables ; à coups de lumière des cieux ouverts et limpides, à coups d’ombre des murs humides des lianes millénaires.

” Thérapeutique, silencieux, régénérant, un oubli vert et magique m’imprègne.”

© Ricardo Jimenez
© Ricardo Jimenez

Nous avançons au milieu de l’élégante et sereine quiétude des arbres irrépressibles, incommensurables ; à coups de lumière des cieux ouverts et limpides, à coups d’ombre des murs humides des lianes millénaires.

De temps à autre, quelques maisons, l’ébauche d’un village. Des enfants, filles et garçons, des hommes chargés de paquets, des femmes portant une machette. Des vêtements colorés. Des regards curieux ou méfiants, indifférents, souriants, insondables ; des yeux comme des lumières d’étoiles.

Thérapeutique, silencieux, régénérant, un oubli vert et magique m’imprègne.

UNE TRAVERSÉE ANIMÉE PAR LES RÉCITS DU “PAMUK”

Tout autant que la route de Nieva, long est le voyage en bateau sur la rivière Kanus (Santiago) jusqu’à Alianza Progreso, la communauté où doit se tenir le congrès de la jeunesse Wampís. Quatre ou cinq heures sur une rivière qui serpente en un capricieux labyrinthe de bras et de dérivations.

L’eau qui constitue la plus grande partie de mon corps se retrouve dans la rivière, se redécouvre dans la rivière, se connaît dans la rivière. Le poète martyr péruvien Javier Heraud avait raison : nous sommes fleuve.

Le Pamuk, (Président du gouvernement) Wampís, Wrays Pérez, me raconte sa vie et me parle du territoire.

” Nous sommes fleuve” 

© Ricardo Jimenez
© Ricardo Jimenez

Géographie et biographie se fondent et se pétrissent en une seule histoire, née avec la planète, à l’instant amoureux et perdu où fut conçue la cordillère Kampagkias, ” espagnolisée en Kampagkis “.

Le Pamuk, (Président du gouvernement) Wampís, Wrays Pérez, me raconte sa vie et me parle du territoire.

Du Kampagkias est né le peuple Wampís, du peuple Wampís est née la famille de Wrays et de cette famille lui-même est né. Son père était un étranger qui s’éprit du Kampagkias et du peuple Wampís ; il se fit Wampís, il parlait, mangeait, chantait et respirait en Wampís.

Les bateaux passent sur la rivière Kanus comme les avions dans le ciel de l’Europe

Wrays me montre l’endroit lointain où il est né, au pied des insondables messages blancs des pierres calcaires du Kampagkias. Il se souvient :

” Dès que j’ai eu cinq ans, je suis venu ici pour aller à la première école qu’on ait fondée. Je savais déjà lire, parce que mon papa m’avait montré, avec un alphabet de bois qu’il m’avait fabriqué “.

Nous passons près du lieu où était alors sa maison, maintenant la forêt a repris tout le terrain. De temps à autre passent des embarcations de toute taille, et de toutes petites pirogues vont dans tous les sens. De sa voix ferme et profonde, avec des intonations chantantes et amusées, le Pamuk me dit :

” Les bateaux passent sur la rivière Kanus comme les avions dans le ciel de l’Europe “.

© Ricardo Jimenez
© Ricardo Jimenez

DROIT ET MÉMOIRE : SOURCES D’UNE GOUVERNANCE AUTONOME

Wrays a vécu six mois à Madrid où il suivait une formation en Droits Humains. C’est à cette expérience qu’il puise la source fondamentale du Droit International à l’Autonomie des Peuples Indigènes. Un droit qui jaillit de l’existence ancestrale même de ces Peuples.

Nous l’avons gouverné et conservé pendant six mille ans

L’autre source, c’est la mémoire de l’organisation et du gouvernement autonome ancestral des Peuples Indigènes.

” Tu vois “, dit-il, joyeux et emphatique, en montrant de son bras étendu tout le paysage visible. ” Voilà la preuve que nous les Peuples Indigènes, nous avons su nous gouverner de manière autonome. Si nous ne l’avions pas su, rien de cela n’existerait. Nous l’avons gouverné et conservé pendant six mille ans “.

Droit International du présent et Mémoire ancestrale du passé, deux sources convergentes, qui concourent à nouveau, comme deux cours d’eaux vivifiants, à l’établissement du Gouvernement Territorial Autonome : ” qui surgit comme une récupération de nos propres modes d’organisation, face à des siècles d’échec des modes d’organisation qu’on nous a imposés de l’extérieur “.

Nous aimons le Pérou, mais le Pérou ne nous aime pas. Que faut-il alors que nous fassions ?

Pour le confirmer, il me raconte l’oubli, les duperies, le mépris et l’incompréhension, les nécessités non satisfaites, la destruction du trésor que nous voyons et que nous respirons.

” Nous aimons le Pérou “, dit-il, triste et pensif.

” Mais le Pérou ne nous aime pas. Que faut-il alors que nous fassions ? “.

© Jean-Claude Gérez
© Jean-Claude Gérez
© Micaela Guillén Ramirez
© Micaela Guillén Ramirez

LE GOUVERNEMENT TERRITORIAL AUTONOME DE LA NATION WAMPIS

Nous pénétrons dans une gorge qui nous écarte de la rivière et nous arrêtons sur une rive, dans l’un de ces petits ports typiques que possède chaque maison du bord du fleuve.

” C’est ma maison. Entre, tu vas connaître “, me dit-il.

Il y a là une embarcation beaucoup plus grande, de conception moderne. Elle est verte, avec un grand logo du GTAWN, le Gouvernement Territorial Autonome de la Nation Wampís, dont Wrays est le président.

Nous marchons avec précaution sur la boue formée par les pluies récentes et nous parvenons à la maison du Pamuk, une maloka sur pilotis, typique de la forêt amazonienne.

Nous entrons et il me montre ses meubles en bois local, solide, aux teintes difficiles à définir ; sa radio avec laquelle il parle à tout le territoire Wampís et au-delà ; sa source d’énergie par panneaux solaires ; sa cuisine encore en construction, avec un toit conçu pour récupérer une eau de pluie que l’on rendra potable ; en construction aussi, sa production piscicole.

LA FORÊT : SOURCE DE VIE

Je ne peux m’empêcher de penser qu’il construit sa maison avec le même amour, le même sens des responsabilités et de la prévision qu’il apporte à la construction du gouvernement autonome de son peuple.

” Je vais te donner notre vaccin anti-Covid “, me dit-il. ” Tu sais que nous avons fait de la forêt notre pharmacie, une fois encore, devant la situation d’abandon où nous laisse le gouvernement “.

© Jean-Claude Gérez
© Jean-Claude Gérez

Je bois plusieurs petits verres d’un concentré très fort de racines végétales de chuchuhuasi, avec du yonke (eau-de-vie) et du miel. Je mange aussi un ” suri ” avec du sel, un ver qui se développe dans les pousses des arbres de la forêt péruvienne, tandis que le Pamuk me répète que c’est une source de protéines nécessaires pour tuer les virus.

Tu sais que nous avons fait de la forêt notre pharmacie

Nous retournons au bateau pour continuer notre route. Sous une pluie à certains moments torrentielle. De petites étoiles crépitent et fendent un instant la nappe de la rivière.

Je conserve dans ma peau et dans mon cœur cette sensation de protection absolue, malgré les intempéries. Je la reçois comme un signe inéluctable de régénération, face au monde fatigué, qui s’écroule, et d’où je viens.

Texte de Ricardo Jimenez traduit en français par Daniel Hangouët (CCFD-Terre Solidaire).Publié originalement par Forum Solidaridad Perú, le 3 décembre 2020.

Pour aller plus loin

© Jean-Claude Gérez

Sous les bombardements à Gaza, la menace du silence

mai 19th, 2021 by

A Gaza, les locaux de nombreux médias et d’ONG ont été la cible des bombardements israéliens. L’angoisse des Palestiniens se conjugue désormais avec la peur du silence et de la solitude face aux réactions insuffisantes de la communauté internationale. Haya, du Community Media Center, nous a envoyé ce témoignage que nous avons choisi de traduire et relayer pour les aider à faire entendre leurs voix.

(suite…)

A Gaza, les bureaux de notre partenaire Filastiniyat bombardés

mai 18th, 2021 by

Nous avons appris que les bureaux de notre partenaire Filastiniyat, qui soutient le travail des femmes journalistes dans la Bande de Gaza, ont été bombardé hier. Nos partenaires sont sous le choc.

(suite…)

Bombardements à Gaza : témoignage d’une « nuit difficile »

mai 12th, 2021 by

Alors que les tensions entre Israël et la Palestine s’intensifient, la bande de Gaza a été le théâtre de violents bombardements dans la nuit du 11 mai. Familles, femmes et enfants sont en première ligne, victimes de cet embrasement qui laisse craindre une guerre à grande échelle. Découvrons le témoignage d’une voix Gazaouie.

(suite…)