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  • Réinventer l’accueil des personnes migrantes dans les villes

    S’appuyant sur l’exemple de la politique migratoire de São Paulo au Brésil, qu’il a participé à construire, le réseau Red Sin Fronteras, partenaire du CCFD-Terre Solidaire depuis 2012, agit auprès des villes pour développer un modèle fondé sur le respect des droits et la participation politique des exilés.

    Arrivées d’Europe et d’Asie à la fin du XIXe siècle puis des pays voisins d’Amérique latine, des personnes migrantes de trente nationalités résident aujourd’hui à Catamarca, région andine prospère et point de passage en Argentine avec le Chili, le Paraguay et la Bolivie. Mais ni la ville ni même l’État ne proposent de politique d’intégration pour les personnes étrangères, dont d’importantes communautés venues – par l’Espagne du temps de Franco- ou plus récemment du Pérou et de Bolivie pour travailler. Elles étaient alors souvent privées de droits ou contraintes de se rendre dans la province de la Rioja pour effectuer leurs démarches administratives.
    Face à l’absence de politique de protection des plus vulnérables, et notamment des exilés durant la pandémie, les acteurs locaux ont continué à porter des alternatives, jouant un rôle essentiel.

    Originaire de la capitale, San Fernando del Valle de Catamarca, Adriana Fadel, chercheuse au Brésil et militante au sein du réseau Red Sin Fronteras, connaît bien la politique inclusive de São Paulo. Elle suit aussi de près le travail du réseau sur les villes accueillantes. En 2019, de retour de Paris où elle a participé au lancement de l’Alliance autorités locales/société civile pour une autre gouvernance des migrations que soutient le CCFD-Terre Solidaire , elle a organisé des ateliers auprès des communautés étrangères pour qu’elles comprennent la force de l’alliance entre municipalité et associations afin de faire progresser les droits des personnes migrantes (voir encadré). Elle a également engagé sur ce sujet un dialogue avec la ville.

    Le premier conseil municipal de migrants d’Argentine

    Après plusieurs mois de travail avec les communautés migrantes, la ville de Catamarca, dont Adriana est depuis devenue conseillère municipale, met en place, en septembre 2020, un conseil municipal des migrants. La première expérience de ce type dans le nord-ouest de l’Argentine ! Son objectif : être un espace de consultation des exilés et des associations pour la construction de politiques d’accueil et d’intégration. Il se veut enfin un lieu de formation à la protection et à la défense des droits des migrants, notamment pour les élus et les différents fonctionnaires de la ville. La création de ce conseil souligne la volonté de la municipalité de promouvoir une vision interculturelle. Pour que ces orientations soient appliquées par les différents services de la ville, le Conseil des migrants crée un groupe de travail dont les membres sont élus parmi les différentes communautés, résidant à Catamarca ; son bureau est composé d’un Japonais, d’un Colombien, d’un Cubain et d’un Brésilien. Par ailleurs, le premier recensement des personnes immigrées a permis que cette population, jusqu’alors quasi invisible, soit prise en compte dans les politiques publiques.

    Lorsque le dialogue s’ouvre entre collectivités, associations solidaires et exilés, l’accueil est un moteur de changement social qui bénéficie à tous.

    Le Conseil a également lancé des actions de sensibilisation et des événements culturels, comme la fête des communautés, qui a donné plus de visibilité aux questions de la migration à Catamarca. Depuis son échelon local, le Conseil des migrants a ainsi permis une réelle prise en considération de l’enjeu de l’intégration. Un an après son lancement, en septembre 2021, le gouverneur de la Province, Raúl Jalil, a annoncé l’ouverture de l’Office national des migrations à Catamarca, autorisant les personnes migrantes à effectuer leurs démarches administratives dans la ville.

    Un laboratoire de pratiques nouvelles

    L’initiative de Catamarca est une expérience modèle pour le réseau Red Sin Fronteras et un véritable laboratoire de pratiques nouvelles riches d’enseignement. Elle traduit concrètement les principes fondateurs de l’Alliance pour une autre gouvernance des migrations : son engagement en faveur de l’interculturalité, l’approche transversale des politiques publiques, l’importance des actions de formation et de sensibilisa- tion. Accompagné par le réseau, Catamarca est un exemple de plus pour montrer, et même démontrer, que lorsque le dialogue s’ouvre entre collectivités, associations solidaires et exilés, l’accueil est non seulement possible mais est un moteur de changement social qui bénéficie à tous.

    Justine Festjens, responsable de l’équipe migrations internationales

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  • En Argentine, défendre les « gardiens de la nature » et l’agriculture familiale

    En Argentine, l’association Incupo accompagne les populations rurales autochtones et paysannes à lutter pour leurs droits sur leurs territoires. L’organisation, soutenue par le CCFD-Terre Solidaire, les aide à faire face à la pression d’une agro-industrie puissante.

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  • Les accords Mercosur vus d’Amérique latine : 3 témoignages du Paraguay, de l’Argentine et du Brésil

    Renforcement de l’agro-industrie tournée vers l’exportation, menaces sur l’agriculture familiale, absence de débat public… Trois des organisations partenaires que nous soutenons au Paraguay, au Brésil et en Argentine alertent sur les risques sociaux et environnementaux des accords de libre-échange prévus entre l’Union européenne et le Mercosur

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  • Femmes migrantes en Argentine : « Leur situation a empiré depuis la pandémie »

    Alors que l’Argentine a été plutôt épargnée jusqu’ici par le Covid-19, Valeria Chiavetta, Responsable de la Fondation oecuménique de Cuyo (FEC), partenaire du CCFD-Terre Solidaire, estime que la situation économique, sociale et administrative des migrants s’est aggravée. En particulier celles des femmes.

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  • Les réseaux sociaux, des armes de mobilisation massive

    Facebook, Twitter, Instagram… En Argentine, au Brésil, comme dans toute l’Amérique latine, les réseaux sociaux sont devenus incontournables pour mobiliser et organiser la protestation sociale.

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  • Elles, ils ont fait plier Monsanto

    Le Burkina Faso se libère du coton Bt

    C’est ce qui s’appelle un revirement brutal : il y a trois ans, la variété Bt de Monsanto, génétiquement manipulée pour produire son propre insecticide, couvrait plus des deux tiers des champs de coton burkinabè. En 2018, elle en aura totalement disparu.

    Ce coton, développé dans l’illégalité par la firme avec la connivence des autorités, puis imposé par la Sofitex, société d’État qui gère 80 % de la filière cotonnière, promettait aux petits agriculteurs une forte hausse des rendements et des revenus, et moins de travail dans les parcelles. Mais on a joué aux apprentis sorciers : les préconisations de culture du coton Bt sont fortement déconnectées des réalités paysannes, et la variété n’est pas au point. L’économie rurale est menacée, le coton étant la première culture de rente du pays.

    Des universitaires s’alarment, des mouvements citoyens dénoncent la mainmise de Monsanto sur les semences, et les paysans se braquent. En 2015, la Copagen, partenaire du CCFD-Terre Solidaire palliant la défaillance de l’État, lance une enquête socio-économique de terrain dont les résultats sont une gifle pour les promoteurs du coton Bt : la variété est plus coûteuse et moins rentable que les semences conventionnelles ! Les autorités ne peuvent que s’incliner, d’autant que la Sofitex perd des marchés à l’international. Au printemps 2016, le contrat avec Monsanto est rompu.

    Pour en savoir plus : L’après “coton Monsanto” au Burkina

    En Argentine, la résistance du pot de terre contre le pot de fer

    Le 1er novembre 2016 est un jour historique à Malvinas, dans la province argentine de Córdoba : Monsanto vient de vendre le terrain où devait être construit la plus gigantesque usine de traitement de maïs transgénique au monde.

    Le mastodonte jette l’éponge devant une troupe ultra déterminée de riverains, des femmes principalement, « qui ont campé nuit et jour devant le site pendant quatre ans pour bloquer le chantier », témoigne Sofía Gatica, l’une des meneuses.

    Son quartier d’Ituzaingó Anexo s’est mobilisé pour dénoncer les aspersions aériennes des champs de maïs OGM par des pesticides qui arrosaient régulièrement les zones habitées, frappées par une forte recrudescence de certaines maladies. Aussi, quand Monsanto lance son projet, le quartier voit rouge et organise immédiatement une manifestation de protestation. « Toutes ces années, nous avons connu les balles en caoutchouc, les coups de matraque, les os cassés, mais nous avons tenu bon », se félicite Sofía Gatica. La lutte devient un emblème international de la résistance du pot de terre contre le pot de fer. Et le 3 août 2016, Monsanto renonce officieusement, alléguant une stagnation de la production de maïs OGM. Prudentes, les femmes de Malvinas ne lèveront le camp que trois mois plus tard, quand la firme quittera physiquementles lieux.

    Faim et Développement est disponible sur abonnement payant. Nous vous avons offert cet article pour découvrir les contenus de notre magazine.

  • Acción Educativa, 30 ans au service de l’Education Populaire

    Partenaire de référence du CCFD-Terre Solidaire en Amérique du Sud, Acción Educativa, basé à Santa Fé, en Argentine, fête cette année ses 30 ans d’existence. Un moment clé pour cette structure qui, malgré ses nombreux domaines d’intervention, reste fidèle à sa démarche d’Éducation Populaire.

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  • En Argentine, l’habitat populaire comme un espace de citoyenneté

    Créée en 1988 par un groupe d’architectes et de travailleurs sociaux, l’ONG Canoa, partenaire du CCFD-Terre Solidaire depuis tout juste vingt ans, travaille au développement de l’Habitat Populaire dans les quartiers défavorisés de Santa Fé, en Argentine.

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  • En Argentine, Latindadd dénonce l’attaque des « fonds vautours »

    Les organisations membres du réseau LATINDADD (Réseau Latino-Américain sur la Dette, le Développement et les Droits), partenaire du CCFD-Terre Solidaire, accusent l’assaut des fonds spéculatifs dits «fonds vautours» mené contre le gouvernement et le peuple argentin.

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  • Argentine, défendre la vie !

    « Nous voulions vous dire que le message d’INCUPO est arrivé jusqu’au village d’Andacollo, un coin du Nord de la Patagonie ». Ainsi commence le message d’un groupe de paysans d’Andacollo, à presque 2 000 km de Reconquista (province de Santa Fé) dans le Chaco. INCUPO, Instituto de Cultura Popular, fondé il y a plus de 40 ans par des chrétiens engagés est installé à Reconquista et travaille à partir de là dans les provinces alentours : promotion des semences paysannes, lutte contre les pesticides et produits phytosanitaires, défense du territoire et des ressources naturelles, et plus généralement, protection du mode de vie paysan et indigène.

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  • Avec le soutien du CCFD-Terre Solidaire, la société civile latino-américaine se mobilise

    La société civile latino-américaine se mobilise, avec le soutien du CCFD-Terre Solidaire, contre le modèle de l’agrobusiness dans la région Cône Sud (Argentine, Brésil, Uruguay, Paraguay et Chili). Le système intensif de production des matières premières agricoles, notamment celui du soja, ne fait qu’augmenter les problèmes environnementaux et sociaux déjà existant.

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  • La société civile, l’autre pilier de la reconstruction argentine

    Les politiques menées successivement par Néstor, puis Cristina Kirchner, depuis 2003, ont permis à l’Argentine de sortir de la crise. Mais les initiatives de la société civile et des citoyens ont également joué un rôle primordial dans la reconstruction du pays

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  • Cristian Ferreyra a été assassiné dans la Province de Santiago del Estero en Argentine

    Paris, le 21 novembre 2011 Le 16 novembre 2011, Cristian Ferreyra a été assassiné dans la Province de Santiago del Estero en Argentine par deux hommes armés au service d’un grand propriétaire terrien. Cristian ferreyra était membre du MOCASE (Mouvement des paysans de Santiago del Estero), partenaire du CCFD-Terre Solidaire.   Depuis des années, la communauté de San Antonio, membre du MOCASE est régulièrement victime d’exactions et de menaces violant les droits des petits producteurs, des éleveurs et des peuples indigènes. Le MOCASE lutte sans relâche contre l’accaparement des terres et la violation des droits des paysans et des paysannes. Devant la gravité du problème, le MOCASE et le CCFD-Terre Solidaire travaillent à dénoncer ces atteintes auprès des autorités judiciaires. Aujourd’hui, le CCFD-Terre Solidaire exprime sa plus profonde solidarité envers la famille de Cristian Ferreyra, ses proches ainsi que le MOCASE. http://www.pagina12.com.ar/diario/sociedad/3-181517-2011-11-18.html Lire le communiqué de l’Evêque de Santiago del Estero (pdf)

    Documents joints

    Lire le communiqué de l’Evêque de Santiago del Estero (pdf)
  • Dix ans après la crise économique, sociale et politique

    Saladas en Argentine, le 2 novembre 2011

    Ils sont venus de toute la province du Chaco, au nord de l’Argentine, pour participer à une session de formation de deux jours sur le thème « Repenser l’identité paysanne dans le contexte actuel. » Ils ont été invités par l’Institut de Culture Populaire (INCUPO), une association créé en 1970, partenaire du CCFD-Terre Solidaire. Massée dans une salle du complexe socioculturel de Saladas, une vingtaine d’hommes et de femmes représentent des milliers de petits agriculteurs d’une région menacée et fragilisée par la culture intensive de soja transgénique. Au programme, échanges d’expériences, débats thématiques, exercices de groupe et interventions de spécialistes. Cet après-midi, Carlos Chiarulli, animateur du Réseau Agro forestier Chaco Argentine (REDAF), est venu présenter une cartographie du monde rural argentin. « Le modèle exportateur agricole, implanté dans les années 1990 en Argentine a provoqué la disparition de plus de 150 000 unités productives, explique t-il. Ce modèle est basé sur la concentration de la terre. Tant qu’il n’existera pas de politiques pour corriger ce problème de fond, il n’y aura pas de changements, ni d’améliorations pour les familles rurales. »

    « Nous organisons régulièrement ce type de réunions à travers tout le pays, explique Luis Nocenti, responsable de la communication au sein d’INCUPO. Suivant les réalités économiques et sociales locales, nous abordons des thèmes différents. Mais avec toujours la même philosophie : contribuer à un développement rural durable » Et ce, même si le contexte politique n’a semble t-il jamais été aussi favorable aux revendications des mouvements sociaux dans ce pays, déclaré en faillite en 2001. Car le 23 octobre dernier, en réélisant massivement Cristina Fernandez Kirchner à la tête du pays, les argentins ont approuvé une politique sociale et économique marquée par la création de près de 5 millions d’emplois et l’adoption de réformes sociales importantes (retraites, allocations familiales, etc…)… « S’il existe aujourd’hui une répartition plus égalitaire des richesses, le modèle économique de fond, basé sur les monocultures d’exportation n’a pas changé, martèle Carlos Chiarulli. Il est donc important de continuer à développer l’Education populaire et à former des leaders pour qu’ils puissent sensibiliser leurs communautés et tenter d’influer sur les politiques publiques. »

    De la protestation à la proposition

    C’est cette mission également que s’est fixée le Centro Nueva Tierra, un autre partenaire argentin du CCFD-Terre Solidaire, à travers les « Ecoles de Citoyenneté ». « Nous avons créées ces structures après la crise de 2001, explique Nestor Borri l’un des responsables du centro Nueva Tierra. A cette époque, les argentins rejetaient en bloc la politique et criaient : Qu’ils s’en aillent tous ! ». Les Ecoles de Citoyenneté se sont alors attachées à « activer le potentiel de millions d’argentins à exercer leurs capacités de participation politique. » En s’appuyant notamment sur la grande solidarité qui a uni les argentins dans ces moments difficiles. Avec une idée force : « transformer cette solidarité en initiatives citoyennes, explique Fabian Roja, animateur au sein de l’Ecole de Citoyenneté, créée en 2006 à Resistencia, également dans la province du Chaco. Et faire en sorte que, dix ans après la crise, nos interlocuteurs passent de la protestation à la proposition. »

    L’exercice pourrait sembler quelque peu obsolète dans une Argentine qui a recommencé à croire et participer à la politique. « Au contraire ! assure Jorge Jorge Luis Migueles, l’un des responsables de l’Ecole de Citoyenneté de Resistencia. Plus que jamais les citoyens doivent s’impliquer dans la politique du pays ! » Un exemple ? Le thème de « l’industrialisation de la ruralité », annoncé par la présidente. Autrement dit, comment transformer sur place les matières premières agricoles pour en tirer plus de richesses. « Il faut que tout le monde s’interroge sur les conséquences possibles d’un tel projet pour les populations rurales, assure Jorge. En se demandant, par exemple, quel doit être le rôle des organisations représentatives de l’agriculture familiale. Ces questions, sur ce thème, comme sur de nombreux autres, doivent être au centre de notre mission d’Education Populaire. C’est ainsi que la construction de la démocratie va se poursuivre en Argentine. »

    Propos recueillis par Jean-Claude Gérez

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