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  • Sommet UE-Afrique : stop à une gestion sécuritaire des migrations

    Aujourd’hui s’ouvre à Bruxelles le sixième Sommet entre l’Union africaine et l’Union européenne. Sophie Duval, chargée de plaidoyer sur les migrations internationales au CCFD-Terre Solidaire, nous décrypte les enjeux migratoires qui seront discutés lors de cet événement.

    ©Roberta VALERIO/CCFD-Terre Solidaire
    ©Roberta VALERIO/CCFD-Terre Solidaire

    Un sommet rapprochant Union européenne et Union africaine

    La première édition du Sommet UE-Afrique a eu lieu au Caire en 2000. Il rassemble les chefs d’État et de Gouvernement de l’Union européenne et de l’Union africaine, qui compte aujourd’hui 55 États africains. Cette conférence organise le dialogue et les relations de coopération entre ces deux organisations et aborde des sujets aussi divers que la paix et la sécurité, la dette, la démocratie ou les migrations.

    Les migrations : un sujet central

    Dès le premier Sommet Afrique-Europe, les migrations ont été une thématique importante. En 2008 Nicolas Sarkozy organise, sous présidence française du Conseil de l’Union européenne, un sommet uniquement centrée sur les migrations et le développement.

    Aujourd’hui, quatorze ans plus tard Emmanuel Macron propose un agenda très similaire à celui de Sarkozy. Il prône notamment une immigration dite choisie, c’est à dire de travailleurs qualifiés. Il force également les États africains à accepter leurs ressortissants expulsés et le déploiement de gardes-frontières européens via Frontex, tout en utilisant l’aide au développement comme un levier de négociation.

    Un entêtement sécuritaire vain et dramatique 

    Avec le collectif Des Ponts pas des murs nous dénonçons dans une tribune un « entêtement sécuritaire vain et dramatique » de la coopération euro-africaine en matière de migrations. En effet, le but de l’Union européenne dans ces négociations est clair : il s’agit d’empêcher les arrivées de personnes africaines en Europe. Nos partenaires en sont les premiers témoins : au Niger par exemple, ils nous disent que ce pays est devenu en quelques années un véritable « garde-frontière » de l’Union européenne. Le pays a modifié ses lois pour criminaliser les personnes migrantes et celles leur venant en aide, et imposer des contrôles aux frontières qui n’existaient pas auparavant.

    Le but de l’Union européenne dans ces négociations est clair : il s’agit d’empêcher les arrivées de personnes africaines en Europe.

    Sophie Duval, chargée de plaidoyer sur les migrations internationales

    Cette politique a de graves conséquences : détentions arbitraires, tortures, refoulements, et donc une augmentation des disparitions et décès de personnes migrantes.
    De plus, l’Union africaine souhaite mettre en œuvre la libre-circulation des personnes au sein de son espace mais cela est totalement remis en cause par les politiques imposées par l’Europe.

    Nous en appelons donc à refonder la coopération entre l’Afrique et l’Europe sur la base de la défense des droits humains et de la dignité des personnes migrantes. La France, actuellement présidente du Conseil de l’Union européenne, a une responsabilité majeure dans ce rééquilibrage.

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