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Cahier de propositions citoyennes pour le changement.

février 8th, 2011 by
Paris, le 8 février 2011 Le Mouvement Social Guinéen considère que, dans cette période cruciale de l’histoire de la Guinée, avec l’élection démocratique d’un Président de la République, il est de son devoir de s’impliquer fortement dans le processus de démocratisation. Ainsi, il compte s’engager résolument, en se recentrant sur son rôle et ses missions, pour un Etat de droit en Guinée et l’instauration d’une gouvernance démocratique. Le Mouvement Social Guinéen se doit de construire une nouvelle dynamique avec l’ensemble de ses composantes. Cette démarche doit permettre de relancer le débat autour du contenu du changement, aux fins d’offrir aux guinéens la capacité d’asseoir les bases d’un Etat de droit garantissant le progrès économique et social. C’est à cette fin que le CNOSCG a organisé, à Conakry, du 9 au 11 décembre 2010, un Forum International des Sociétés Civiles regroupant l’ensemble de ses démembrements (Conseils Préfectoraux/Communaux, Conseils Régionaux), ses réseaux affiliés, l’Inter-centrale Syndicale et une quinzaine de représentants des sociétés civiles africaines et européennes. La question centrale examinée par le forum était : « Comment consolider les acquis démocratiques et renforcer l’Etat de droit en Guinée à l’aune de la troisième République ? » Ce forum a identifié et adopté, pour les cinq prochaines années (2011 – 2015), une charte éthique et une stratégie d’action que le Mouvement Social Guinéen doit mettre en oeuvre afin de répondre à cette préoccupation. C’est dans ce cadre que des concertations régionales sur l’Etat de Droit se sont déroulées sur toute l’étendue du territoire, associant tous les acteurs locaux du Mouvement Social Guinéen. Sur la base des constats partagés par tous les acteurs du Mouvement Social Guinéen, ce cahier de propositions citoyennes pour le Changement a été élaboré à l’attention du Président de la République. Il recense un certain nombre de préoccupations des citoyens guinéens et propose des mesures emblématiques afin de rétablir la confiance entre la population guinéenne et l’Etat. Lire le cahier de propositions citoyennes pour le cahngement en Guinée (pdf)

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Insertion professionnelle des femmes par le micro crédit

janvier 11th, 2011 by
Le contexte Le long de la côte mauritanienne, au nord de Nouakchott, d’anciens peuples nomades se sont sédentarisés dans des petits hameaux. Suite aux grandes sécheresses des années 70 et 80, qui ont décimé les troupeaux de bétail, ils se sont rabattus sur la pêche, qu’ils pratiquaient jusqu’alors occasionnellement. Totalement démunis, installés dans des cabanes sans commodités (ni eau, ni électricité), ils pratiquent une pêche traditionnelle à pied et en pirogue. Le projet L’ONG s’est associée à une initiative de la coopération japonaise pour travailler auprès des villages de pêcheurs et y développer des activités de transformation et de commercialisation du poisson séché. Le but est d’aider les villages à améliorer leur situation et à ralentir l’exode, en tirant parti du potentiel de la pêche pour assurer l’alimentation et l’insertion économique des populations les plus vulnérables. Les réalisations Depuis mars 2009 le Réseau des femmes qui vivent de la pêche artisanale est officiel. Il regroupe près de 1700 femmes et concrétise enfin le travail de Mauritanie 2000. L’association a pour objectif de défendre et revendiquer le droit des femmes. La construction d’un centre de traitement du poisson est terminée. Un deuxième centre sur Nouadhibou est à l’étude. Des nouveaux outils de gestion sont mis en place pour suivre les 800 crédits solidaires en cours. Les règles de fonctionnement du centre sont en cours d’élaboration et l’étude d’un nouveau mode de commercialisation – en dehors de la Mauritanie – est en cours de réflexion. L’association propose ainsi des microcrédits aux femmes pour qu’elles puissent développer des activités génératrices de revenus. Ecouter un reportage sur Mauritanie 2000 [3mn]

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Programme d’éducation des jeunes à la citoyenneté en période pré-électorale

décembre 21st, 2010 by

Partenaires du CCFD-Terre Solidaire, l’ASB et le REJA ont pour objectif principal d’encourager l’émergence de jeunes citoyens responsables et engagés en faveur de la consolidation de la paix au Burundi. Les deux associations ont travaillé pour des élections libres, justes et transparentes.

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Insertion professionnelle par le micro crédit

novembre 26th, 2010 by

Le renforcement de l’économie populaire permet aux quartiers pauvres de sortir de la crise.

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L’innovation au service des agriculteurs familiaux du Nordeste

mai 18th, 2010 by

Le Nord-Est brésilien est une région en majorité semi-aride. Le plateau de l’Agreste de la Paraiba en est un sous-ensemble. Il est caractérisé par l’une des densités de population les plus élevées du pays et par un très grand nombre de petites propriétés d’agriculture familiale.

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Indonésie, préserver l’héritage culturel dayak

novembre 18th, 2009 by

Avec plus de 212 millions d’habitants, l’Indonésie est le 4e pays le plus peuplé du monde. Elle est composée de 300 groupes ethniques dont beaucoup sont farouchement attachés à leurs spécificités culturelles et linguistiques.

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La Maison des Migrants à Gao au Mali, fait partie d’une grande chaîne de solidarité

octobre 20th, 2009 by

La Maison des Migrants qui s’est ouverte à Gao au Mali, fait partie d’une grande chaîne de solidarité. Le père Anselm Mahwera de Caritas y mène des actions soutenues depuis trois ans par le CCFD-Terre Solidaire.

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Construire la paix inter-communautaire en Haute-Egypte

mars 12th, 2009 by

En haute-Egypte, la région de Minia connaît depuis plusieurs décennies des confrontations inter-confessionnelles. Dès le début des années 80, Monseigneur Antonios Naguib, patriarche des coptes catholiques a organisé l’assistance aux prisonniers et à leurs familles.

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Liban : l’accès à l’eau pour des paysans au cœur d’un projet d’éco-tourisme

février 13th, 2009 by

Le Jourd est une région montagneuse isolée et négligée des autorités, à l’extrémité nord du Liban. Les habitants y vivent traditionnellement de l’agriculture sur une terre fertile mais où la disponibilité en eau est limitée.

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Quand les femmes s’organisent politiquement et économiquement

février 9th, 2009 by

Malgré les processus de décentralisation et de croissance économique en cours au Pérou, la pauvreté touche encore 1 Péruvien sur 2. Plus de la moitié de la population active travaille dans des micro-entreprises, appelées MYPES, notamment dans le bois, la menuiserie, la confection, l’artisanat et la restauration alimentaire.

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Aide pour les déplacés du camp de Nahr el Bared

septembre 15th, 2007 by

Le 20 mai 2007, l’armée libanaise lançait une offensive contre un groupuscule islamiste radical, Fatah el Islam, retranché dans le camp de réfugiés palestiniens de Nahr el Bared. Nahr el Bared est l’un des plus grands camps du Liban avec 31 000 habitants recensés.

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Najdeh apporte un appui social et psychologique, en particulier aux enfants (diaporama)

août 23rd, 2007 by

Pendant trois mois de bombardements, du 20 mai au 3 septembre, le camp de réfugiés palestiniens de Nahr el Bared (nord Liban) a été détruit.

Ses 30 000 habitants ont trouvé refuge, notamment dans le camp voisin de Baddawi, dans des conditions très précaires. Après les combats, ils ont retrouvé un camp en grande partie inhabitable.

MADA s’est engagé dans l’aide aux populations affectées par la guerre et ses conséquences

septembre 5th, 2006 by

La guerre de l’été 2006 a balayé tous ces projets et renvoyé la population à l’urgence et aux besoins les plus élémentaires : se loger, se nourrir, reconstituer les familles. MADA ne pouvait que s’impliquer dans cette nécessaire solidarité.

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Liban, après la guerre, aider les populations à reconstruire.

août 31st, 2006 by

31 août 2006

33 jours de bombardements israéliens ont causé la mort de plus de 1100 civils, blessé quelque 4000 personnes et forcé le déplacement de près d’un million d’habitants (soit un quart de la population du pays).

Ces familles, hébergées un temps chez des proches ou dans des lieux publics ont, depuis le début du cessez-le-feu, regagné massivement la banlieue sud de Beyrouth (Dahyieh) et les villes et villages du sud du pays.

La situation humanitaire y est encore aujourd’hui éminemment précaire :
• plus de 15 000 foyers ont été entièrement détruits
• ponts, routes et infrastructures publiques sont endommagées ou hors d’usage
• la condition sanitaire des populations est alarmante et les agences onusiennes et ONG internationales présentes dans le pays, prise de court par ce brusque retour des personnes déplacées, peinent à répondre efficacement à la crise.

(extrait du courrier de l’association MADA, 25 août 2006)