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  • Bénin : l’association Sin Do donne la voix aux femmes

    Face aux violences faites aux femmes et aux jeunes filles au Bénin, l’association Sindo lutte avec elles pour leur dignité et développe leur autonomie.

    (suite…)

  • Bénin : «Aidons les enfants à échapper à la traite»

    La traite d’enfants touche les jeunes Béninois les plus pauvres du pays. Face à ce phénomène, Sin Do, partenaire du CCFD-Terre Solidaire, met l’école au centre des préoccupations.

    (suite…)

  • Vive le partenariat!

    J’ai pu, début juillet dernier, visiter plusieurs organisations partenaires du CCFD-Terre Solidaire, en particulier deux syndicats paysans, l’un au Bénin – Synergie paysanne (Synpa), l’autre au Togo – le Mouvement pour une alliance paysanne togolaise (Mapto). Je suis revenu très impressionné par les progrès accomplis en moins de dix ans par ces deux syndicats partenaires.

    À la fin des années 1990, le MRJC (Mouvement rural de jeunesse chrétienne) du Bénin demande au CCFD-Terre Solidaire de financer la venue à Lokossa (Bénin) de deux cents jeunes paysans béninois et togolais qui ne se reconnaissent pas dans les syndicats paysans existants. De cette rencontre va naître un nouveau cadre organisationnel[[Le Carrefour national des jeunes ruraux (Cnjr).]] favorisant les échanges d’expériences entre ces jeunes leaders qui vont ensuite créer Synpa, en 2002, et le Mapto en 2003.

    Une décennie plus tard, j’ai rencontré des organisations en plein essor qui sont devenues les syndicats les plus importants de leur pays et des interlocuteurs incontournables des pouvoirs publics. Au Bénin, Synpa, avec ses 1 500 paysans adhérents, est l’organisation de référence sur les questions foncières et sur celle de l’accaparement de terres, phénomène récent qu’il a contribué à dénoncer.

    Côté togolais, le Mapto, avec 20 000 adhérents, s’est fait connaître en défendant les intérêts des petits paysans. Le syndicat a obtenu le doublement du prix du maïs payé aux paysans en 2009-2010 et, grâce à ses formations (utilisation des sols, des semences améliorées…), a permis aux paysans formés, de multiplier leurs revenus par quatre !

    Ces deux parcours témoignent du dynamisme de ces organisations, mais aussi de la pertinence de la méthode de partenariat du CCFD-Terre Solidaire : partir de la demande exprimée par les intéressés eux-mêmes, faire confiance, accepter le droit à l’erreur, accompagner dans la durée un processus collectif et enfin permettre le renforcement de ces organisations au-delà des actions de terrain.

    Avec un souci constant de vivre cette relation partenariale dans la réciprocité : régulièrement, des responsables de ces deux syndicats viennent témoigner en France et partager leurs expériences avec des paysans.

    Cette aventure lumineuse du partenariat, nous voulons la faire connaître largement au public à travers une campagne de communication appelée « Il n’y a pas de petites réussites » .

    Quand je vois l’impact social et économique sur les populations de l’action de nos partenaires, vraiment, je me dis que ce ne sont pas de petites réussites.

    Vive le partenariat ! ■

  • Bénin : Djidja

    La commune de Djidja, dans le département du Zou, au centre du Bénin, dispose d’importante réserves de terres agricoles. Traditionnellement, la moitié est mise en culture et le reste laissé en jachère. Mais cet équilibre est en train d’être bouleversé par l’arrivée d’investisseurs extérieurs et, depuis 2008, près de la moitié des terres agricoles de la commune (environ 45.000 hectares) ont changé de main…

    (suite…)

  • Bénin-Togo : « Une dynamique paysanne remarquable »

    De retour d’une mission – entre les 8 et 16 juillet 2012 – dans les deux pays du golfe de Guinée, le Délégué général du CCFD-Terre Solidaire, Bernard Pinaud, se déclare « très impressionné » par les progrès accomplis en moins de dix ans par deux syndicats paysans partenaires.

    (suite…)

  • Plaidoyer pour une agriculture paysanne au Bénin

    SYNPA née en 2002, elle a réussi à mobiliser une partie du monde agricole pour défendre ses intérêts et présenter des propositions concrètes aux pouvoirs publics béninois en faveur de l’agriculture paysanne.

    (suite…)

  • « Les agrocarburants, ça nourrit pas son monde »

    1er octobre, Les Amis de la Terre, le Comité catholique contre la faim et pour le développement et d’Oxfam France – Agir ici lancent la campagne « les agrocarburants, ça nourrit pas son monde ».

    (suite…)

  • Bénin

    Entre le géant nigérian et le minuscule Togo, le Bénin est un couloir de 670 km de long avec une façade maritime de 125 km. Ses moins de 8 millions d’habitants sont concentrés dans le sud du pays et animistes à 65 % (chrétiens : 20%, musulmans : 10 à 15 %).

    (suite…)

  • Campagne “L’europe plume l’Afrique”

    Du 22 au 25 novembre 2004, l’Assemblée Parlementaire Paritaire (APP) a réuni à La Haye (Pays-Bas) des parlementaires européens et des pays ACP (Afrique, Caraïbes, Pacifique). L’occasion pour les parlementaires d’interpeller la Commission européenne (CE) sur ses objectifs et ses actions.

    > Louis Michel, commissaire européen pour le développement et l’aide humanitaire, a répondu à la question des exportations de poulets congelés en Afrique de l’Ouest.

    Plusieurs députés européens* ont interpellé à différents degrés Louis Michel sur la question des exportations de poulets. Ont été notamment abordés le problème sanitaire posé par ces exportations, la question de la cohérence des politiques commerciales et de développement de l’UE et ceci plus particulièrement dans la négociation des Accords de Partenariat Economique (APE).
    Les réponses de la Commission européenne, tout en reconnaissant le problème, ont consisté à déresponsabiliser l’UE sur cette question. Les organisations signataires du communiqué contestent cette attitude, même si elles reconnaissent que les responsabilités sont partagées.

    > Succès pour la table ronde sur les exportations de poulet organisée par les ONG

    Sous la présidence du parlementaire Galher, et co-animée par le parlementaire Schlyter, la table ronde a réuni des parlementaires européens et ACP, des diplomates, des représentants de la Commission européenne, d’organisations régionales telles que la CEDEAO** et de la société civile du Nord et du Sud, soit près de 100 participants.
    Après un exposé de la situation et des méfaits des importations de poulets congelés au Cameroun par le président de l’ACDIC***, les échanges ont été nourris et ont permis de souligner les différents aspects du problème.

    Le président du parlement de la CEDEAO, M. Diallo, a estimé que l’augmentation des importations était synonyme d’appauvrissement, en insistant sur l’importance de renforcer la production locale pour répondre à la demande. Un parlementaire du Bénin, a noté la part de responsabilité des pays africains dans cette situation mais a aussi déploré le peu d’empressement de la CE à rechercher des solutions. Marie-Hélène Aubert, parlementaire française, a fait, avec d’autres, le lien avec la situation des aviculteurs en Europe et a plaidé pour le droit à une protection effective des marchés agricoles.
    Les représentants de la Commission ont répondu sur ces différents points en reprenant les arguments développés par
    M. Michel. Ils ont notamment présenté les APE comme le cadre idéal pour renforcer la compétitivité des filières locales.

    > Des réponses insuffisantes qui appellent à poursuivre la mobilisation

    Si tous reconnaissent divers niveaux de responsabilité, les associations souhaitent cependant rappeler que :

    • L’UE se doit de garantir la qualité des produits qu’elle exporte jusqu’au consommateur final, ce qui implique de prendre en compte les contraintes liées au contexte des pays en développement (PED) (insuffisances de la chaîne du froid).
    • les règles commerciales internationales existantes ne permettent pas aux PED de faire face aux importations massives et destructrices de leur propre production. Il est donc essentiel que les négociations multilatérales ou régionales, en cours ou à venir, permettent la protection des marchés agricoles de ces pays, l’agriculture représentant un secteur crucial pour leur développement. Développer la production locale est le meilleur moyen de répondre à la demande des consommateurs pauvres, tout en limitant l’augmentation de la pauvreté.
    • les PED sont également soumis à des contraintes et des conditionnalités de la part d’institutions financières, de bailleurs ou de partenaires commerciaux. Leur souveraineté dans le choix de leurs propres politiques de développement devrait être garantie au sein de tous les espaces de négociation qu’ils soient multilatéraux ou bilatéraux.

    Les associations organisatrices de la table ronde ont apprécié la richesse du dialogue engagé. Elles souhaitent poursuivre ces échanges, notamment dans le cadre des négociations en cours des APE. La prochaine session de l’APP, qui aura lieu en avril 2005 à Bamako (Mali), sera l’occasion de faire un nouveau point.

    * Au cours du débat, Michael Gahler (député allemand), Carl Schlyter et Anders Wijkman (députés suédois) sont en effet intervenus sur cette question.
    ** Communauté Économique des États de l’Afrique de l’Ouest
    *** L’Association citoyenne de défense des intérêts collectifs

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