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  • En Egypte, l’écologie intégrale auprès des populations rurales

    L’association IDAM (Integral Development Action of Mynia), partenaire du CCFD-Terre Solidaire, intervient en Égypte, au sein de la province de Minya (Haute-Égypte) depuis 1986. Elle soutient les populations les plus vulnérables et démunies notamment les petits paysans. Depuis 2010, l’agriculture basée sur une approche écologique et humaine est devenue l’une des priorités des projets de l’association.

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  • Egypte : une pépinière théâtrale au Caire

    Alors que la libre parole se réduit à peau de chagrin depuis la prise de pouvoir du président Sissi en 2013, un centre de formation au théâtre de rue offre un espace d’expression où se côtoient des jeunes d’horizons variés.

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  • Vidéo : Promouvoir une « culture de la rencontre », au service de la paix

    Dans un monde marqué par les tensions et les conflits, le Pape François prône une culture de la rencontre. Dans une émission spéciale, la rédaction de la chaîne de télévision Kto, en partenariat avec le CCFD-Terre Solidaire, met en valeur des initiatives de construction de la paix par la rencontre.

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  • Chrétiens d’Orient : les engagements du CCFD-Terre Solidaire

    Depuis des années au Proche-Orient (Liban, Syrie et Palestine/Israël), le CCFD-Terre Solidaire soutient des acteurs locaux qui tentent de répondre aux problèmes des populations les plus vulnérables, de créer des sociétés plus inclusives et égalitaires au-delà des clivages communautaires. En parallèle ces acteurs se mobilisent aussi pour la résolution des conflits.

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  • Retour sur les révolutions arabes

    S’il est encore trop pour tirer leçons des bouleversements en cours en Afrique du Nord et au Moyen-Orient, il est en revanche indispensable à ceux qui, comme nous, se réclament de la société civile internationale, d’interroger le rôle des organisations, mouvements et médias que nous soutenons en tant que partenaires dans cette partie du monde.

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  • Soutenir la participation politique des populations rurales en Haute-Egypte

    Trois associations égyptiennes travaillent ensemble pour stimuler la participation et la représentation des populations rurales marginalisées de Haute-Egypte.

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  • Egypte

    L’Egypte connait depuis 2011 une transition chaotique, dans laquelle le CCFD-Terre Solidaire soutient ses partenaires pour garantir un mieux vivre aux plus démunis, mais aussi permettre à chaque citoyen de participer au processus démocratique en cours et de construire un projet de société où figurent les valeurs de tolérance et de dialogue.

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  • Egypte, des paysans unis pour défendre leurs droits

    L’histoire contemporaine de l’Égypte est marquée par de grands bouleversements. Du modèle d’économie centralisée du président Nasser aux récentes révolutions populaires, le contexte égyptien est en perpétuelle mutation. Pas facile pour les paysans dans cette société très instable de se faire aujourd’hui une place et de se faire entendre. Alors que la faim rôde dans les familles, l’Association de Développement Intégré de Miniya (ADIM) met tout en œuvre pour que les petits paysans défendent leurs droits et participent à la reconstruction de ce grand pays.

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  • Les coptes dans l’expectative

    Les coptes, qui représentent 10 % de la population, constituent la plus importante minorité chrétienne du Maghreb et du Moyen-Orient. Près de deux ans après la révolution Tahrir, qui a insufflé un esprit de liberté dans le pays, cette communauté s’inquiète des succès électoraux des partis islamistes. Entretien avec Jean-Jacques Pérennès qui, au Caire, dirige l’Institut dominicain d’études orientales (Ideo).

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  • Le bouillonnement de la société civile

    Depuis le début des années 1990, les institutions internationales du développement (bailleurs de fonds multilatéraux, étatiques et ONG) voient la société civile comme un levier essentiel pour la démocratisation des régimes autoritaires arabes [[« Promouvoir la démocratie et la gouvernance dans les pays arabes : Les options stratégiques des bailleurs de fonds ». Denegeux Guilain in Sarah Ben Néfissa, ONG et gouvernance dans le monde arabe. Éditions Karthala et Cedej. Paris-Cairo, 2004.]]. Cela fait suite aux changements des régimes politiques en Amérique latine, en Europe de l’Est et du Centre et dans les anciennes républiques soviétiques. Ils ont donné lieu aux théories de la « transition démocratique » [[Transitions from the authoritarian rule. G. O’Donnell, P.C. Schmitter, L.Whitehead. The Johns Hopkins University Press, 1988.]]. L’expérience tunisienne semble pourtant quelque peu différente. Décryptage.

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  • Par Mgr Lahham Archevêque de Tunis

    Paris, 8 juin 2011

    « Vu de la rive sud de la Méditerranée, où l’hospitalité est à la fois une valeur et un devoir, c’est incompréhensible… tout simplement », affirme-t-il dans un article publié sur le site de la Fondation Oasis, vouée à la promotion de la connaissance réciproque et la rencontre entre chrétiens et musulmans.

    ” Cela ne s’était jamais vu depuis que la Tunisie est Tunisie et la Libye la Libye. La Tunisie ne s’était pas encore relevée de son Tsunami politique et social, que la Libye voisine est entrée dans une rébellion armée que personne ne prévoyait. Et comme il y a des millions (on parle de trois millions) d’étrangers qui travaillent dans tous les domaines en Libye, on a assisté à un exode de masse vers la Tunisie et l’Égypte.

    Entre 250 000 et 300 000 personnes ont passé la frontière tuniso-libyenne. Elles étaient de toutes les nationalités : Égyptiens, Tunisiens, Africains subsahariens, Bengali, Pakistanais, Érythréens, Somaliens, Chinois, Indiens. Les pays les moins pauvres ont pu effectuer le rapatriement de leurs citoyens, d’autres attendent depuis trois mois, surtout les Nigérians, les Somaliens et les Érythréens. 
Nous avons assisté à des scènes formidables de solidarité et d’accueil. Au début, l’accueil était spontané. Les habitants des villages près de la frontière portaient de quoi manger et boire. Ensuite, les ONG ont rejoint le mouvement, dont la Caritas Tunisie, France, Canada, Liban. La Croix rouge et le Croissant rouge tunisien, qatari et émirati se sont joints et on a fini par avoir des tentes pour tout le monde et la frontière tuniso-libyenne est devenue un lieu de passage pour ceux qui rentrent dans leurs pays et un lieu de résidence pour ceux qui attendent que la tempête passe pour revenir travailler en Libye, comme avant.

    L’Église de Tunisie a envoyé dès les premiers jours un prêtre et trois religieuses pour aider les réfugiés. Il arrivait que les sœurs préparaient, avec d’autres volontaires, des repas pour 10 000 personnes chaque jour. Nous avons un prêtre nigérian dans le diocèse, et il visite régulièrement les camps ; il a même célébré la messe de Pâques dans une grande tente que les Érythréens avaient transformée en chapelle. Plus de 150 personnes ont assisté à la messe. Caritas Tunisie a présenté un projet d’urgence à la Caritas Italie et à la CEI. Des subsides sont arrivés et cela nous permet d’assurer les dépenses nécessaires au prêtre et aux religieuses.

    Reste la grande question : combien de temps cela va durer ? La situation militaire en Libye s’enlise, la confrontation militaire entre les rebelles et les phalanges de Kadhafi continuent, les bombardements de l’OTAN n’arrivent pas à trancher. On vit dans l’incertitude la plus absolue. La situation actuelle à la frontière, d’après les religieuses présentes sur place, se présente comme suit : : entre 4000-5000 réfugiés africains ou asiatiques attendent des jours meilleurs pour retourner, soit dans leurs pays respectifs soit en Libye. Mais il y a aussi des milliers de libyens qui ont fui la guerre. Ces libyens sont de trois catégories : des gens aisés qui ont passé la frontière et ont rejoint l’Europe via l’aéroport de Djerba ; la deuxième catégorie constituée de libyens ayant des parents dans le sud tunisien qui les ont accueillis dans leurs maisons, et la troisième catégorie (on parle déjà de 50 000) sont logés dans les camps, ou hébergés dans des maisons que les habitants de la ville de Tataouine leur ont offertes gratuitement, ou dans des tentes. Le ministère de l’éducation nationale a donné des consignes aux écoles du sud tunisien pour intégrer les enfants libyens dans les écoles des divers gouvernorats.

    Tout ceci s’est passé alors que des milliers de tunisiens sont arrivés à Lampedusa, avec toutes les problématiques que cela a causées. Je ne parle pas de la dimension juridique ou politique de ce phénomène, ce n’est pas de ma compétence. Mais je parle de la dimension humaine. Ce sont des jeunes au chômage (19% de chômage avant la révolution). Le tourisme occupait 450 000 jeunes qui se sont retrouvés du jour au lendemain sans travail, le contrôle des frontières s’était affaibli à cause de la situation politique et sécuritaire dans les grandes villes.

    J’essaie de me mettre dans la mentalité d’un tunisien : 20 000 tunisiens sont arrivés dans une Europe, en crise peut être, mais riche tout de même, et ils sont mal reçus, alors que plus de 200 000 (dix fois plus) d’étrangers sont arrivés dans une Tunisie, pas aussi riche que l’Europe, mais surtout qui sort d’une grave crise politique, et les Tunisiens les ont reçus les bras ouverts,  leurs ont ouvert leurs maisons, leurs écoles, et ont partagé avec eux leur pain quotidien.

    Vu de la rive sud de la Méditerranée, où l’hospitalité est à la fois une valeur et un devoir, c’est incompréhensible… tout simplement.”

    Mgr Lahham, archevêque de Tunis

  • Les coptes, entre espérance et inquiétudes

    Comment le printemps arabe a-t-il touché les Coptes en Egypte? Une interview de Christian Cannuyer, professeur à la faculté de théologie de l’université catholique de Lille et président de la Société belge d’études orientales, auteur de “L’Égypte copte, Les chrétiens du Nil.”

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  • Soulèvements arabes

    Partenaire des acteurs de la société civile dans le monde arabe, le CCFD-Terre Solidaire considère avec une grande estime les différents mouvements de contestation qui prennent place dans de nombreux pays.

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  • Graves atteintes aux droits de l’Homme

    L’ACAT-France et le CCFD–Terre Solidaire condamnent fermement les graves atteintes aux droits de l’Homme perpétrées ces derniers jours en Egypte par des agents de police et des manifestants pro-gouvernementaux

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