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  • Dans les Balkans, les personnes exilées aux portes d’une “Europe forteresse” #JeudiPhoto

    Cette semaine, à l’occasion de la Journée international des personnes migrantes, notre regard se porte sur une Europe coupable de la négation des droits des personnes migrantes.

    Camp de Bira © Sophie-Anne Bisiaux

    Sophie-Anne Bisiaux, juriste pour Migreurop, a sillonné pendant plusieurs la mois route des Balkans, son appareil photo en main.

    Elle a été témoin des violences inouïes que subissent les personnes exilées aux frontières. A cela, s’ajoute la multiplication des camps aux conditions de vie déplorables et indignes pour répondre à la stratégie européenne de dissuasion, d’hostilité et de contrôle des mobilités.

    Dans le canton d’Una Sana, en Bosnie-Herzégovine, la sur-concentration des personnes exilées, prises au piège des politiques de refoulements, alimente une crise de l’accueil qui divise la population locale.

    Suite aux protestations et à l’instrumentalisation politique de la question migratoire, les autorités de Bihac ont démantelé le camp de Bira, laissant de nombreuses personnes exilées contraintes de se réfugier dans des squats ou dans des camps déjà surpeuplés.

    En finançant une grande partie de ces camps mais sans apporter de soutien sur place, l’Union Européenne témoigne de la priorité qu’elle donne à la protection de ses frontières au détriment de la protection des personnes migrantes engagées depuis de nombreuses années le long d’un “exil sans fin”.

    Lire le rapport de Sophie-Anne Bisiaux  : Exil sans fin : chantage anti-migratoire le long de la route des Balkans.

    Chaque jeudi, nous vous proposons un arrêt sur image pour prendre conscience, autrement, d’une fracture de notre monde sur lequel, par l’action collective et plaidoyer, nous agissons.

  • Les Balkans au cœur d’un chantage anti-migratoire de l’Union Européenne

    Le long de la route des Balkans, les personnes exilées sont victimes de violences et de violations de leurs droits. En cause, la stratégie de l’UE d’externaliser ses frontières. C’est ce que décrypte le rapport « Exil sans fin » publié par notre partenaire Migreurop. Sophie-Anne Bisiaux, l’auteure, nous éclaire sur ce travail de terrain qu’elle a mené.

    Le long de la route des Balkans © Sophie-Anne Bisisaux

    Les personnes migrantes victimes d’un exil sans fin ponctué de violences

    Sophie-Anne Bisiaux, juriste et chercheuse pour le Réseau Migreurop, partenaire du CCFD-Terre Solidaire, a remonté pendant plus de 3 mois la route des Balkans de la Bosnie-Herzégovine jusqu’à l’Albanie en passant par la Macédoine ou encore la Serbie.

    Elle a été témoin de la situation dramatique dans laquelle se trouvent les personnes exilées, bloquées aux portes d’une Europe forteresse et victimes de nombreuses violences par les autorités des Balkans, nouveau « chiens de garde » de l’Europe.

    « Ce que j’ai vu, ce sont des personnes entassées dans des camps insalubres, d’autres ensanglantées après avoir été refoulées illégalement par des garde-frontières violentes ».

    L’UE sous-traite des pratiques de refoulements violents

    De ses observations et de ses entretiens avec divers acteurs et personnes exilées, elle décrypte, dans son rapport le chantage anti-migratoire et la stratégie de l’Union Européenne d’externaliser ses frontières.

    En fournissant aux pays des Balkans des moyens financiers, techniques et opérationnels, l’Europe vise à se décharger de ses responsabilités en matière d’accueil, participe de manière directe à ces pratiques de refoulements violentes et promeut une vision ultrasécuritaire des migrations.

    « Et je pense que cela nous intéresse, car il s’agit de l’argent du contribuable européen qui est utilisé pour mettre en œuvre des politiques inhumaines, racistes et meurtrières ».

    “Invasion” aux portes de l’Europe ou image “fantasmée”

    En conclusion de ce travail d’enquête, Sophie-Anne Bisiaux vise à défaire l’image exagérée d’une « invasion » aux frontières européennes » loin de la réalité qu’elle a observée.

    « On parle en réalité de quelques milliers de personnes qu’il serait facile d’accueillir. L’accueil étant non seulement une obligation mais également une chance pour le pays d’accueil, comme cela est prouvée depuis longtemps ».

    Pour aller plus loin :
    Lire le rapport : Exil sans fin : chantage anti-migratoire le long de la route des Balkans

  • Exil sans fin  : le chantage anti-migratoire le long de la route des Balkans (Rapport)

    Notre partenaire, Migeurop, publie un rapport qui dénonce et décrypte le chantage anti-migratoire et les violences à l’encontre des personnes exilées le long de la route des Balkans. En cause, la stratégie d’externalisation de ses frontières par l’Union Européenne qui fait peser sur d’autres sa responsabilité.

    Sophie-Anne Biziaux chercheuse et juriste pour notre partenaire, le réseau Migreurop, a mené une enquête de terrain de janvier à avril 2021 pour produire le rapport : «  Exil sans fin – Chantage anti-migratoire le long de la route des Balkans  ».

    «  Exil sans fin – Chantage anti-migratoire le long de la route des Balkans  »Télécharger

    Depuis plus de 20 ans, l’UE développe une coopération avec des pays non-membres (dits “tiers”) pour externaliser le contrôle de ses frontières. Identifiés comme des pays de départ, puis comme des pays de transit des migrations à destination de l’UE, les pays des Balkans ont été rapidement intégrés au cœur de cette stratégie d’externalisation.
    Ce, particulièrement, depuis la malnommée “crise migratoire” de 2015 lors de laquelle près d’1 million de personnes, venues principalement du Moyen-Orient, ont été comptabilisées le long de la route des Balkans, itinéraire reliant la Grèce à des pays de l’UE situés plus à l’Ouest, et notamment l’Allemagne. Sommés de s’ériger en gardes-frontières et en véritables “hotspots” au service de l’UE, les pays des Balkans sont aujourd’hui le théâtre d’une multitudes de violations de droits et de violences exercées à l’encontre des personnes exilées.

    Ce présent rapport est le fruit d’une enquête terrain menée en Bosnie-Herzégovine, Serbie, Macédoine du Nord, Albanie. Et en distanciel pour le Kosovo et le Monténégro. Il comprend plus d’une centaine d’entretiens réalisés auprès de personnes migrantes, d’ONG locales, d’avocats, de journalistes, de chercheurs, de personnes militantes.

    Le rapport se décompose en trois parties :

    La première examine la manière dont les dirigeants et dirigeantes de l’UE instrumentalisent le processus d’adhésion des pays des Balkans à des fins de contrôle migratoire.

    Le corridor « humanitaire ». Source Migreurop

    La deuxième s’intéresse à la transformation de ces pays en véritables “chiens de garde” des frontières de l’UE, en accordant une attention particulière aux pratiques de refoulements et aux violences comme outils normalisés de gestion des frontières.

    Aux frontières européennes, les chiens de garde de l’espace Schengen. Source Migreurop

    La troisième partie documente la mise en place de “l’approche hotspot” dans la région.

    Téléchargez le rapportTélécharger
    Téléchargez la synthèseTélécharger

    Découvrir l’action d’un des partenaires que nous soutenons en Serbie

  • Balkans : le vivre-sensemble au-delà des mots

    Comment redonner corps au « vivre-ensemble » ? Une question, plus que jamais d’actualité dans les Balkans rongés par le nationalisme, à laquelle s’attaquent plusieurs acteurs de la société civile. Leurs armes ? Des actions concrètes visant à rapprocher les communautés.

    Finis les discours incantatoires, place à l’action… Telle pourrait être la ligne directrice des programmes lancés par plusieurs partenaires du CCFD-Terre Solidaire dans les Balkans. Car, si la situation semble apaisée par rapport aux années 1990 où les tensions entre communautés étaient à leur paroxysme dans l’ex-Yougoslavie, la propagande nationaliste a laissé des traces durables, conduisant au repli sur soi. « Quand on interroge les gens, ils disent ne pas avoir de problèmes avec les autres. En réalité, ils ne les connaissent pas, parce qu’ils ne les fréquentent pas, explique Tamara Cvetković, une des chevilles ouvrières des programmes destinés aux jeunes du Groupe 484, partenaire du CCFD-Terre Solidaire en Serbie. Face à cette indifférence, les incantations à dépasser les blocages n’ont aucune prise, puisque personne ne reconnaît qu’ils existent. »

    Nous avons tous reçu cette diversité en héritage, même si aujourd’hui certains semblent l’avoir oubliée.

    Tamara T Cvetković, du Groupe 484

    L’ONG a donc décidé de changer son fusil d’épaule en s’adressant aux nouvelles générations, avec une proposition basée sur le « faire-ensemble », première étape vers le « vivre-ensemble ». « Nous travaillons avec les lycéens et les étudiants, car ils sont à un âge où il est plus facile de se détacher de l’emprise des parents ou du jugement qui pourrait être porté sur leurs comportements », ajoute Tamara. Une trentaine d’étudiants serbes en sciences sociales, mais aussi des Bosniaques volontaires ont donc été invités, il y a un an, à suivre un séminaire de quatre jours destiné à expérimenter cette nouvelle approche.

    Ana, qui souhaite travailler, après ses études, dans l’éducation, a immédiatement répondu à l’appel : « Nous avons commencé à nous interroger mutuellement sur notre identité. Nous avons décou­vert qu’au-delà de nos différences, nous partagions en réalité un grand nombre de valeurs qui étaient bien plus larges que les cases dans lesquelles on voulait nous enfermer. » Rien de plus normal, pourrait-on ajouter, dans une zone géographique où les mélanges de population ont toujours été la règle. « Car nous avons tous reçu cette diversité en héritage, même si aujourd’hui certains semblent l’avoir oubliée », complète Tamara.

    Un terreau commun

    C’est pour renouer avec ce passé multiculturel que le groupe d’étudiants a ensuite mené une recherche historique dans six villes où cohabitent plusieurs communautés. À Vranje, c’est un Slovène qui a créé le premier hôpital de la ville, deux Américaines qui ont fondé le premier orphelinat et un ambassadeur turc qui a donné aux enfants au début du xx e siècle, l’envie de jouer au tennis…

    Mais les grands hommes ne sont pas les seuls à constituer ce terreau commun. À Loznica, par exemple, l’usine, principal employeur de la ville, a été un lieu de brassage – toutes les communautés y ont travaillé – et une source de souvenirs partagés. Autour de ces histoires, plusieurs « visites touristiques » ont été organisées, auxquelles ont ensuite été conviés des lycéens venant de différents établissements. Les jeunes ont été encouragés à créer, pour chaque étape, des sortes de mini-performances artistiques laissant place à leur créativité. Une expérience ludique de collaboration sur un terrain culturel partagé visant à retisser des ponts. « Leur regard, au bout de trois jours, n’avait rien à voir avec celui du début du séminaire où ils se découvraient. Car, même s’ils avaient un âge équivalent, ils ne s’étaient jamais rencontrés, chacun évoluant dans des parties diffé­rentes de la ville », sourit Ana.

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    Les projets ludiques et artistiques menés dans les lycées visent à retisser les ponts. © Groupe 484

    Une stigmatisation des Roms qui nuit à leur intégration

    Nous montons un projet sur trois ans pour les jeunes Roms de 9 à 12 ans pour leur prouver qu’il y a un autre chemin possible que la marginalisation.

    Christina Bala de Stea

    Partout dans les Balkans, le plaisir ou le challenge de « faire » peut déplacer les montagnes, comme le montre le programme imaginé par Cristina Bala, responsable de Stea, autre partenaire du CCFD-Terre Solidaire, qui accompagne les populations les plus fragiles en Roumanie. L’épicentre de son activité ? Le village de Sătmărel, intégré à la ville de Satu Mare, aux confins de la Roumanie, de la Hongrie et de l’Ukraine.

    « Ce quartier, situé à plus de 10 kilomètres du centre-ville, est l’une des zones où vivent depuis cinq à six générations, une minorité rom extrêmement marginalisée, raconte-t-elle. Ces anciens domestiques des nobles hongrois installés à l’époque en Transylvanie sont stigmatisés par les Roumains qui leur reprochent de parler hongrois, mais aussi par les Hongrois qui les considèrent comme des individus de seconde catégorie. » Une stigmatisation insupportable qui ne laisse pas à cette population sédentarisée depuis de nombreuses décennies, la possibilité de réellement s’intégrer… En témoigne notamment ce qui se passe à l’école : alors que les Roms représentent 70 des 103 élèves scolarisés, les cours sont en roumain, une langue inconnue des enfants. « Cela ne facilite pas leur intégration et encourage même leur déscolarisation », poursuit la responsable. Et les filles qui s’accrochent pour terminer le primaire ne peuvent pas continuer leurs études à l’extérieur de Sătmărel. Car leursparents les marient au plus vite pour éviter qu’elles ne fassent de « mauvaises rencontres » en dehors de leur communauté ! De quoi entretenir une spirale infernale…

    Un projet pour renforcer l’estime de soi

    Pour briser cette exclusion, Stea a eu l’idée avec un partenaire hongrois d’organiser un tournoi d’échecs de part et d’autre des frontières, ouvert à tous les jeunes, quelles que soient leurs communautés d’origine. Pour battre les Hongrois, les Roumains de Satu Mare n’ont pas hésité une seconde à coacher les jeunes Roms… Un étrange compagnonnage où chacun s’est trouvé valorisé : les Roms, parce qu’ils ont pris confiance en eux, encouragés par les Roumains ; et les Roumains, car ils étaient fiers de voir leurs conseils suivis avec succès par les Roms. « À l’issue de ce tournoi, certains Roumains ont même demandé à leurs parents de poursuivre cet accompagnement afin de continuer à faire progresser leurs camarades roms », se félicite Cristina.

    Pour aller plus loin, Stea met la dernière main à un projet visant à renforcer l’estime de soi des jeunes Roms de Sătmărel – et donc à favoriser leur intégration. « En nous inspirant d’une expérimentation menée aux Pays-Bas, nous sommes en train de monter un projet sur trois ans pour les jeunes de 9 à 12 ans afin de leur prouver qu’il existe un autre chemin possible que la marginalisation. Nous allons leur faire découvrir des métiers avec des profession­nels qui les exercent. » Avec la certitude pour Steaque ces professeurs joueront un rôle de levier comparable à celui des joueurs d’échecs.

    « La transformation des individus est encore plus forte quand les personnes à l’origine de ces avancées ont des parcours exemplaires montrant que la récon­ciliation peut être source d’épanouissement », approuve Tamara. De mère bosniaque originaire de la région de Mostar et de père serbe, elle a appris elle-même dès le plus jeune âge à aller vers les autres et à s’enrichir à leur contact. Une seconde nature qu’elle cherche à faire partager.

    Laurence Estival.

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