Publié le 11.06.2014 • Mis à jour le 19.06.2014
A quelques jours de l’adoption définitive de la loi d’orientation et de programmation relative à la politique de développement et de solidarité internationale, les révélations du Canard enchaîné du 11 juin dernier jettent un pavé dans la mare des parlementaires. Des centaines de millions sont en effet investis par la filiale Proparco de l’Agence Française de Développement (AFD) via des paradis fiscaux, dans des entreprises de luxe ou de tourisme médical. Pourtant, le gouvernement s’oppose encore à l’adoption de règles sur la transparence des investissements du groupe AFD.
Lire la suite de l’article sur le site de la Plateforme Paradis Fiscaux et Judiciaires : "Quand la France aide les paradis fiscaux au nom des pays pauvres "
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