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  • En Bosnie-Herzégovine la Republika Srpska joue avec le feu

    En décembre dernier, le président de l’entité serbe de la Bosnie-Herzégovine, Milorad Dodik a fait un pas vers la sécession. Au risque d’exacerber les tensions entre communautés et de susciter l’éclatement du pays, 26 ans après la signature des accords de Dayton qui avaient permis de mettre fin à la guerre civile [avril 1992-décembre 1995].

    Aeksandar Zolja, directeur de l’Assemblée des citoyens Helsinki, une ONG de défense des droits humains partenaire du CCFD-Terre Solidaire, ne mâche pas ses mots. « Depuis les accords de paix, les années électorales en Bosnie-Herzégovine ont toujours été propices à la rhétorique nationaliste, mais cette fois-ci, nous avons dépassé les limites. »

    En témoignent les incidents au sud de la Républika Srpska entre communautés avec le retour de Bosniaques de confession musulmane dans leur région d’origine ; ou, à l’Est, avec de jeunes nationalistes terrorisant la population. Et le coup de force de Milorad Dodik, président de l’entité serbe (voir encadré), qui, après avoir fait adopter un processus de retrait des institutions de l’État fédéral par son Parlement le 10 décembre dernier, a fait voter, deux mois plus tard, les textes permettant leur mise en œuvre, notamment dans les domaines de la défense, de la justice et de la fiscalité. Un pas vers une pro­chaine sécession aux conséquences imprévisibles si la procédure engagée allait jusqu’à son terme…

    Comment imaginer en effet que l’équilibre plus que précaire entre Serbes, Croates et Bosniaques résisterait à un tel tremblement de terre, ravivant des plaies toujours pas cicatrisées ? D’autant que l’élément déclenchant de ce nouvel accès de fièvre est le refus de l’homme fort de Banja Luka de reconnaître le génocide de Srebrenica où 8 000 Bosniaques ont été massacrés. Quatre jours avant le vote, le haut représentant international en Bosnie-Herzégovine, garant de la paix, avait interdit par décret la glorification des criminels de guerre, qui devait être un des temps forts du 30e anniversaire de la Republika Srpska.

    Le pays se vide de ses forces vives

    Aujourd’hui – même si le président de la Republika Srpska fait de la surenchère en exigeant la suppression de toutes les lois adoptées depuis les accords de Dayton –, l’angoisse d’entendre à nouveau des bruits de bottes semble s’éloigner…

    « Les dernières déclarations de Dodik ne sont pas vraiment prises au sérieux : à huit mois des élections, c’est de l’agitation destinée à détourner les électeurs, du marasme économique, à mobiliser son camp et à se sauver lui-même, car il pourrait bien finir devant la justice », indique Aleksandar.

    Signe de la relative indifférence de la population : celle-ci n’est pas descendue dans la rue. « L’échec en 2015 des rassemblements massifs de la société civile qui dénonçaient la corruption, le blocage des institutions, ont renforcé l’idée qu’on ne pouvait pas transformer le pays », poursuit le défenseur des droits de l’Homme. L’espoir né il y a quatre ans, quand la population s’était mobilisée à la suite des violences commises contre un jeune Bosniaque dans des circonstances jamais élucidées, a lui aussi été de courte durée. « La situation est de pis en pis et la pression s’accroît sur les ONG qui, en Republika Srpska, doivent maintenant déclarer les fonds qu’elles reçoivent de donateurs internationaux, soupire le responsable. La seule solution que les gens entrevoient est de fuir le pays. Ils sont d’ailleurs de plus en plus nombreux à passer à l’acte. »

    Alors que le pays se vide de ses forces vives et que la dérive autoritaire du régime de la Republika Srpska s’accentue, la communauté internationale est aux abonnés absents. Les hauts représentants internationaux censés aider le pays pendant une période de transition se succèdent sans avoir le moindre impact sur son évolution. Si bien qu’ils font l’objet d’un rejet unanime chez les partisans de Dodik s’offusquant « du pouvoir colonial », comme chez ses opposants. « Le véritable problème c’est la mollesse de l’Union européenne qui devrait davantage hausser le ton », lâche Aleksandar. Pas sûr que l’annonce par le président Macron d’un sommet entre les 27 et les Balkans occidentaux, dans le cadre de la présidence française de l’UE, soit de nature à apaiser sa colère…

    Laurence Estival

    Bosnie-Herzégovine : Une gouvernance complexe
    Née des accords de Dayton (décembre 1995) qui avaient mis fin à la guerre intercommunautaire, l’organisation institutionnelle extrêmement complexe de la Bosnie-Herzégovine favorise les nationalismes et une forme de paralysie. Le pays est divisé en deux entités, la Republika Srpska, serbe, et la Fédération de Bosnie-Herzégovine, croato-bosniaque. L’État central fonctionne au moyen d’une présidence collégiale qui représente les trois populations. Milorad Dodik en est le représentant serbe depuis 2018.

  • Dans les Balkans, les personnes exilées aux portes d’une “Europe forteresse” #JeudiPhoto

    Cette semaine, à l’occasion de la Journée international des personnes migrantes, notre regard se porte sur une Europe coupable de la négation des droits des personnes migrantes.

    Camp de Bira © Sophie-Anne Bisiaux

    Sophie-Anne Bisiaux, juriste pour Migreurop, a sillonné pendant plusieurs la mois route des Balkans, son appareil photo en main.

    Elle a été témoin des violences inouïes que subissent les personnes exilées aux frontières. A cela, s’ajoute la multiplication des camps aux conditions de vie déplorables et indignes pour répondre à la stratégie européenne de dissuasion, d’hostilité et de contrôle des mobilités.

    Dans le canton d’Una Sana, en Bosnie-Herzégovine, la sur-concentration des personnes exilées, prises au piège des politiques de refoulements, alimente une crise de l’accueil qui divise la population locale.

    Suite aux protestations et à l’instrumentalisation politique de la question migratoire, les autorités de Bihac ont démantelé le camp de Bira, laissant de nombreuses personnes exilées contraintes de se réfugier dans des squats ou dans des camps déjà surpeuplés.

    En finançant une grande partie de ces camps mais sans apporter de soutien sur place, l’Union Européenne témoigne de la priorité qu’elle donne à la protection de ses frontières au détriment de la protection des personnes migrantes engagées depuis de nombreuses années le long d’un “exil sans fin”.

    Lire le rapport de Sophie-Anne Bisiaux  : Exil sans fin : chantage anti-migratoire le long de la route des Balkans.

    Chaque jeudi, nous vous proposons un arrêt sur image pour prendre conscience, autrement, d’une fracture de notre monde sur lequel, par l’action collective et plaidoyer, nous agissons.

  • Les Balkans au cœur d’un chantage anti-migratoire de l’Union Européenne

    Le long de la route des Balkans, les personnes exilées sont victimes de violences et de violations de leurs droits. En cause, la stratégie de l’UE d’externaliser ses frontières. C’est ce que décrypte le rapport « Exil sans fin » publié par notre partenaire Migreurop. Sophie-Anne Bisiaux, l’auteure, nous éclaire sur ce travail de terrain qu’elle a mené.

    Le long de la route des Balkans © Sophie-Anne Bisisaux

    Les personnes migrantes victimes d’un exil sans fin ponctué de violences

    Sophie-Anne Bisiaux, juriste et chercheuse pour le Réseau Migreurop, partenaire du CCFD-Terre Solidaire, a remonté pendant plus de 3 mois la route des Balkans de la Bosnie-Herzégovine jusqu’à l’Albanie en passant par la Macédoine ou encore la Serbie.

    Elle a été témoin de la situation dramatique dans laquelle se trouvent les personnes exilées, bloquées aux portes d’une Europe forteresse et victimes de nombreuses violences par les autorités des Balkans, nouveau « chiens de garde » de l’Europe.

    « Ce que j’ai vu, ce sont des personnes entassées dans des camps insalubres, d’autres ensanglantées après avoir été refoulées illégalement par des garde-frontières violentes ».

    L’UE sous-traite des pratiques de refoulements violents

    De ses observations et de ses entretiens avec divers acteurs et personnes exilées, elle décrypte, dans son rapport le chantage anti-migratoire et la stratégie de l’Union Européenne d’externaliser ses frontières.

    En fournissant aux pays des Balkans des moyens financiers, techniques et opérationnels, l’Europe vise à se décharger de ses responsabilités en matière d’accueil, participe de manière directe à ces pratiques de refoulements violentes et promeut une vision ultrasécuritaire des migrations.

    « Et je pense que cela nous intéresse, car il s’agit de l’argent du contribuable européen qui est utilisé pour mettre en œuvre des politiques inhumaines, racistes et meurtrières ».

    “Invasion” aux portes de l’Europe ou image “fantasmée”

    En conclusion de ce travail d’enquête, Sophie-Anne Bisiaux vise à défaire l’image exagérée d’une « invasion » aux frontières européennes » loin de la réalité qu’elle a observée.

    « On parle en réalité de quelques milliers de personnes qu’il serait facile d’accueillir. L’accueil étant non seulement une obligation mais également une chance pour le pays d’accueil, comme cela est prouvée depuis longtemps ».

    Pour aller plus loin :
    Lire le rapport : Exil sans fin : chantage anti-migratoire le long de la route des Balkans

  • Route des Balkans  : pressions européennes et exil sans fin

    Notre partenaire, Migeurop, publie un rapport qui dénonce et décrypte le chantage anti-migratoire et les violences à l’encontre des personnes exilées le long de la route des Balkans. En cause, la stratégie d’externalisation de ses frontières par l’Union Européenne qui fait peser sur d’autres sa responsabilité.

    Sophie-Anne Biziaux chercheuse et juriste pour notre partenaire, le réseau Migreurop, a mené une enquête de terrain de janvier à avril 2021 pour produire le rapport : «  Exil sans fin – Chantage anti-migratoire le long de la route des Balkans  ».

    «  Exil sans fin – Chantage anti-migratoire le long de la route des Balkans  »Télécharger

    Depuis plus de 20 ans, l’UE développe une coopération avec des pays non-membres (dits “tiers”) pour externaliser le contrôle de ses frontières. Identifiés comme des pays de départ, puis comme des pays de transit des migrations à destination de l’UE, les pays des Balkans ont été rapidement intégrés au cœur de cette stratégie d’externalisation.
    Ce, particulièrement, depuis la malnommée “crise migratoire” de 2015 lors de laquelle près d’1 million de personnes, venues principalement du Moyen-Orient, ont été comptabilisées le long de la route des Balkans, itinéraire reliant la Grèce à des pays de l’UE situés plus à l’Ouest, et notamment l’Allemagne. Sommés de s’ériger en gardes-frontières et en véritables “hotspots” au service de l’UE, les pays des Balkans sont aujourd’hui le théâtre d’une multitudes de violations de droits et de violences exercées à l’encontre des personnes exilées.

    Ce présent rapport est le fruit d’une enquête terrain menée en Bosnie-Herzégovine, Serbie, Macédoine du Nord, Albanie. Et en distanciel pour le Kosovo et le Monténégro. Il comprend plus d’une centaine d’entretiens réalisés auprès de personnes migrantes, d’ONG locales, d’avocats, de journalistes, de chercheurs, de personnes militantes.

    Le rapport se décompose en trois parties :

    La première examine la manière dont les dirigeants et dirigeantes de l’UE instrumentalisent le processus d’adhésion des pays des Balkans à des fins de contrôle migratoire.

    Le corridor « humanitaire ». Source Migreurop

    La deuxième s’intéresse à la transformation de ces pays en véritables “chiens de garde” des frontières de l’UE, en accordant une attention particulière aux pratiques de refoulements et aux violences comme outils normalisés de gestion des frontières.

    Aux frontières européennes, les chiens de garde de l’espace Schengen. Source Migreurop

    La troisième partie documente la mise en place de “l’approche hotspot” dans la région.

    Téléchargez le rapportTélécharger
    Téléchargez la synthèseTélécharger

    Découvrir l’action d’un des partenaires que nous soutenons en Serbie

  • Hommage à Jovan Divjak : un soldat et un citoyen engagé pour la paix à Sarajevo

    Jovan Divjak est décédé ce 8 avril 2021 à Sarajevo. Le CCFD-Terre Solidaire lui rend hommage et salue la mémoire d’un grand artisan de paix.

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  • Les rendez-vous du carême à ne pas manquer

    Malgré le Covid 19, plusieurs rendez-vous vont vous permettre d’écouter le témoignage de nos organisations partenaires et de débattre autour de l’écologie intégrale grâce à de nombreux événements en ligne organisés par le réseau.

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  • La Bosnie-Herzégovine, cul-de-sac pour les migrants

    Depuis la fermeture de la route des Balkans en mars 2016, nombre de migrants continuent de tenter leur chance pour rejoindre l’Europe en empruntant de nouvelles voies. La situation est devenue explosive en Bosnie-Herzégovine, cul-de-sac pour les réfugiés en quête d’un avenir meilleur.

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  • Des jeunes à la découverte de la Bosnie sur le thème de la paix en Europe

    Que signifie la paix pour celles et ceux qui ont connu la guerre ? C’est pour tenter de répondre à cette question que treize jeunes des régions Bourgogne-Franche-Comté et Alsace-Lorraine ont entrepris, fin juillet 2018, un voyage dans les Balkans, à la rencontre des partenaires du CCFD-Terre Solidaire.

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  • En Bosnie, le tourisme responsable fait naître des espoirs

    Doté d’un fort potentiel, la Bosnie se prépare à l’arrivée de vacanciers dans les villages et montagnes autour de Sarajevo. Une dynamique qui permet aux diverses communautés de relever les même défis.

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  • L’espérance collective est notre force (Edito)

    Il y a 20 ans, lorsque j’étais animateur diocésain au CCFD-Terre Solidaire à Orléans, nous venions de commencer des relations partenariales en ex-Yougoslavie. J’avais organisé l’accueil de partenaires bosniaques, serbes et kosovars pendant la campagne de Carême. L’un prenait en charge des enfants dans des camps de réfugiés et les aidaient à surmonter les traumatismes de la guerre en Bosnie, l’autre conduisait des actions de défense des droits humains face au régime nationaliste serbe.
    La guerre était terminée depuis quatre ans, les nationalistes étaient au pouvoir dans toutes les parties de l’ex-Yougoslavie. Une guerre terrible, pendant laquelle 100 000 personnes avaient perdu la vie et 2,2 millions avaient été déplacées ou s’étaient réfugiées à l’étranger.

    Pendant cette campagne de Carême, avec les partenaires, les militants du CCFD-Terre Solidaire et les personnes rencontrées, nous nous étions beaucoup interrogés sur la possibilité de dépasser ce conflit, de construire la paix, la justice et la démocratie. Les actions des partenaires, bien que fragiles, étaient une source d’espérance.

    Vingt ans après, la guerre est toujours dans les têtes et les nationalistes toujours au pouvoir dans la Fédération de Bosnie-Herzégovine et en République serbe. Mais, la société civile s’est développée, elle se mobilise pour les droits humains et la qualité de l’environnement .
    Elle se prend en main pour créer des activités économiques, notamment en zone rurale. L’espérance est toujours là. C’est elle qui donne envie à ces hommes et à ces femmes de se mobiliser pour construire la paix, la justice et la démocratie.

    C’est avec cette même espérance que le CCFD-Terre Solidaire se mobilise sur d’autres combats comme le climat, en particulier avec ce rapport Nos terres valent plus que du carbone que nous venons de sortir. Nous croyons que notre humanité est capable de s’organiser pour lutter contre le dérèglement climatique. Qu’elle est capable de le faire sans se tourner vers les « fausses bonnes solutions », comme l’illusion qu’il suffirait de stocker du carbone dans les terres, le sous-sol, les océans pour régler le problème. Nous savons que ce sont les émissions de gaz à effet de serre qu’il faut diminuer, et que pour cela nous devons changer radicalement notre façon de produire et de consommer.

    Cette transition écologique, nous avons l’espérance que l’humanité saura la conduire, et qu’ainsi nous pourrons garder habitable notre planète. Et quand j’entends le président des États-Unis d’Amérique, ou que je constate le décalage énorme entre la forte ambition affichée par notre président et la lenteur avec laquelle la transition énergétique avance, je me dis que nous en avons bien besoin de cette espérance tant il y a de raisons de désespérer.

    Cette espérance, elle est sans doute notre trésor le plus précieux. Communiquons-la, échangeons-la, nourrissons-nous de celles de nos partenaires. Car l’espérance se nourrit de l’espérance, et c’est ainsi que des hommes et des femmes de plus en plus nombreux se lèvent pour construire un avenir plus solidaire.

    Faim et Développement est disponible sur abonnement payant.

  • Conférence sur le sommet des Balkans à Paris

    Le collectif Des Ponts Pas Des Murs interpelle le sommet sur les Balkans qui se tiendra le 4 juillet à Paris, et qui ne prévoit pas d’aborder la question des migrations. La situation des migrants sur la “Route des Balkans” est pourtant de plus en plus préoccupante. Rendez-vous en marge du sommet, à la Maison de l’Europe, pour en parler.

    (suite…)

  • Des vacances engagées sur le thème de « la citoyenneté »

    Comme chaque année, le CCFD-Terre Solidaire organise des séjours « Vacances engagées ». De Juillet à Août 2016 dans toute la France et ouvert à tous les publics, ces séjours sont l’occasion d’allier détente, réflexion et échanges autour d’une thématique. Cette année, un des thèmes proposés : la Citoyenneté ou comment « faire société aujourd’hui » ?

    (suite…)

  • Lanceurs d’alerte, un engagement à hauts risques

    Retrouvez le dossier spécial sur la protection des lanceurs d’alerte dans le numéro 291, de février 2016, de notre magazine Faim et Développement.

    (suite…)

  • Colloque sur la résilience et l’engagement citoyen en Syrie

    Le partenaire du CCFD-Terre Solidaire Syrie MDL, ainsi que Ila Souria, organisent un colloque à Paris sur le thème de l’engagement citoyen et de la résilience en Syrie. Une occasion rare de découvrir le courage et les difficultés des Syriens dans un contexte extrêmement difficile.

    (suite…)

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