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  • Sri Lanka : l’enfer de la crise #JeudiPhoto

    Confronté à une crise économique et politique sans précédent, le Sri Lanka s’est déclaré en faillite ce mardi 12 avril. Portons notre regard sur la population, plongée dans la misère, qui s’unit pour exiger la démission des frères Rajapaksa au pouvoir.

    © Dinuka Liyanawatte/Reuters
    Station essence à Colombo, Sri Lanka. 21 mars 2022. © Dinuka Liyanawatte/Reuters

    Nous sommes à Colombo, sur le parking d’une station-essence prise d’assaut. Cette famille srilankaise tente de s’abriter de la chaleur battante sous le peu d’ombre qu’offre leur tuk-tuk. Les bidons vides dans les mains, ils attendent, comme beaucoup d’autres, de pouvoir se procurer du kérosène pour alimenter leur cuisinière domestique. S’il en reste dans les pompes…

    Le désarroi et la fatigue sur leurs visages témoignent de la misère qui frappe les 22 millions d’habitants de l’île. Depuis plusieurs semaines, les Sri Lankais vivent au rythme des coupures d’électricité, de l’inflation galopante et des pénuries qui s’allongent. Faute de médicaments, les hôpitaux peinent à assurer leurs soins. Faute de denrées alimentaires, les populations ont du mal à se nourrir. Faute de carburant, les tuk-tuks roulent à la force des bras.

    Le Sri Lanka vit sa pire crise économique depuis son indépendance en 1948. Celle-ci n’a cessé de s’accroître depuis deux ans jusqu’à propulser, récemment, le pays vers la faillite et une grave crise politique. L’État n’a plus assez de stock en devises étrangères pour assurer les importations nécessaires. Il se retrouve en défaut de paiement de sa dette extérieure qui s’élève à 51 milliards de dollars.

    La crise actuelle résulte, notamment, de la désertion des touristes après les attentats de 2019 ; suivie de deux années de pandémie ; et des conséquences récentes de la guerre en Ukraine qui prive l’île de ses fidèles touristes russes et ukrainiens. Autant de coups durs pour un pays qui vit principalement du tourisme. À cela, s’ajoute une série de mesures politiques jugées catastrophiques depuis le retour au pouvoir de la famille Rajapaksa en 2019.

    Depuis la nuit du 31 mars, la colère populaire s’élève dans les rues de la capitale pour exiger la démission du Président Gotabaya Rajapaksa et de son frère, le Premier Ministre Mahinda Rajapaksa. Chrétiens, hindous, musulmans, bouddhistes, membres de l’opposition… Toutes et tous s’unissent contre le pouvoir qui avait fondé son triomphe sur la division ethnique du pays. Aujourd’hui, le clan Rajapaksa n’est plus le héros des Cingalais et le bourreau des Tamouls : il est la bête noire de tout un pays qui menace de s’effondrer et de plonger dans la famine.

    L’avenir du pays est incertain. Il repose en grande partie entre les mains du Fonds Monétaire International (FMI) et de ses principaux bailleurs de fonds : la Chine et l’Inde. Nous partageons l’inquiétude de nos partenaires mobilisés dans la rue et nous adressons toutes nos pensées et notre soutien au peuple srilankais.

    Lire aussi :

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    En Asie, derrière les investissements de masse dans l’économie bleue, notamment dans les activités touristiques, se dessine l’accaparement des mers au détriment des communautés locales.

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  • Au Sri Lanka : défendre les pêcheurs face à l’accaparement des mers

    À l’occasion de la récente Journée mondiale de l’Océan, nous partons cette semaine au Sri Lanka avec Juliette Segard, Responsable du Service Asie. Avec elle, découvrons l’action de NAFSO qui défend les droits des pêcheurs artisanaux face aux ravages de l’«économie bleue» en Asie.

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  • Tourisme au Sri Lanka : Six conseils pour voyageurs responsables

    Derrière les promesses d’une île paradisiaque, la vie n’est pas toujours rose pour ceux qui vivent sur place. Voici quelques conseils pour un tourisme responsable

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  • Sri Lanka : appuyer les pêcheurs face à l’accaparement du littoral

    Développer le pays. Si le mot d’ordre du gouvernement sri lankais parait louable, les bénéfices de cette politique restent trop souvent réservés à une minorité. Mouvement national de pêcheurs, l’association sri-lankaise Nafso, soutenue par le CCFD-Terre Solidaire, alerte sur les conséquences de certains projets économiques qui provoquent un accaparement du littoral et l’exclusion des populations qui y vivent.

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  • Sri Lanka : aider les personnes déplacées par la guerre, en particulier les veuves

    Après des années d’un long conflit meurtrier, l’association sri lankaise Nafso accompagne le retour des personnes déplacées par la guerre, notamment beaucoup de veuves dépossédées de leurs biens.

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  • Sri Lanka, la paix n’est pas la priorité du gouvernement

    Alors que la guerre qui opposait le gouvernement sri lankais aux Tigres tamouls a pris fin en mai 2009, les populations tamoules du Nord du pays, et notamment les femmes, connaissent toujours l’humiliation et la misère. Un sort que partagent de plus en plus de Cinghalais. Raajan Francis, coordinateur national de l’ONG sri lankaise Nafso (National Fisheries Solidarity Movement), partenaire local du CCFD-Terre Solidaire, nous en dit plus.

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  • Sri Lanka : “Les touristes ne doivent pas cautionner ce régime”

    Alors que Sri Lanka est élevé au rang de « top destination » par de nombreux voyagistes ou compagnies aériennes, une campagne veut sensibiliser les futurs touristes sur les réalités du pays. Ruki Fernando, défenseur sri lankais des droits de l’homme, nous en dit plus.

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  • Sri Lanka : oui au tourisme responsable

    Avec plus d’un million de visiteurs en 2012, le Sri Lanka est devenue une destination touristique appréciée des voyageurs. Mais, pour l’ONG britannique Sri Lanka Campaign, tourisme ne veut pas dire oubli de la réalité.

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  • Le directeur de NAFSO, une ONG partenaire du CCFD-Terre Solidaire à Sri Lanka menacé

    Paris, le 7 mars 2012 Herman Kumara est aujourd’hui en danger. Craignant d’être « tué ou enlevé », le directeur de NAFSO, une ONG partenaire du CCFD-Terre Solidaire à Sri Lanka, est contraint, depuis le 24 février, à la clandestinité. Figure reconnue de la société civile sri lankaise, très critique vis-à-vis du gouvernement (lire l’article octobre 2011), ce défenseur acharné des droits de l’homme est accusé, à tort, d’être à l’origine des manifestations qui, mi février, ont suivi une hausse importante des prix du pétrole à Sri Lanka et se sont soldées par la mort d’un manifestant dans la ville de Chilaw, au nord de Colombo, la capitale. Depuis, les avertissements, les menaces téléphoniques, les filatures dont il est victime, les interrogations auxquelles sont soumis ses voisins, ses collaborateurs, lui font redouter le pire. Dans une déposition envoyée le 28 février 2012, et restée jusqu’à présent lettre morte, Herman en appelait à la police sri lankaise pour assurer sa sécurité et protéger également « la vie de sa famille et celle des employés de son ONG ». Le cas est loin d’être isolé. Depuis la fin de la guerre avec la guérilla tamoule, en mai 2009, les arrestations arbitraires, les disparitions sont devenues monnaie courante à Sri Lanka. Les principales victimes sont à compter parmi ceux qui osent élever la voix contre le gouvernement de Mahinda Rajapaksa. Journalistes, travailleurs sociaux, défenseurs des droits de l’homme, syndicalistes, étudiants, cinghalais et tamouls désormais réunis sous l’étiquette de « forces anti gouvernementales » et, à ce titre, intimidables et éliminables à merci semble-t-il. Ces exactions confirment la déliquescence, pour ne pas dire plus, de l’État de droit à Sri Lanka et la dérive du pays vers la dictature. Patrick Chesnet Lettre envoyée par le CCFD-Terre Solidaire à l’ambassade à Sri Lanka (pdf)

    Documents joints

    Lettre envoyée par le CCFD-Terre Solidaire à l’ambassade à Sri Lanka (pdf)
  • Sri Lanka, L’impunité doit cesser

    Paris, le 7 octobre 2011

    Alors que la situation des droits de l’homme reste dramatique, la société civile sri lankaise, soutenue par le secrétariat général des Nations unies, demande une enquête pour crimes de guerre et crimes contre l’humanité.

    Depuis longtemps, les défenseurs des droits de l’homme sri lankais se battent contre l’impunité (voir Fdm 253). Aujourd’hui, ils s’appuient sur un rapport d’experts, nommés par le Secrétaire général de l’ONU, Ban Ki-moon, rendu public fin avril 2011, qui estime « crédibles les accusations de violations graves des droits de l’homme par les rebelles tamouls et les forces gouvernementales au cours des derniers mois de la guerre civile en 2009 ». Il considère aussi que « certaines de ces violations pourraient constituer des crimes de guerre et des crimes contre l’humanité. » A ce jour, le gouvernement sri-lankais persiste à faire la sourde oreille.

    Pourtant, la situation des droits de l’homme ne s’améliore guère depuis 2009, comme nous le décrit Brito Fernando, président de Right to Life Human Rights Center, venu plaider la cause de son peuple au Conseil des droits de l’homme des Nations unies à  Genève : « Les meurtres et disparitions de militants des droits de l’homme se poursuivent. Le président Mahinda Rajapaksa les qualifie de traîtres à la nation, en particulier quand ils sont d’origine tamoule. Les médias sont sous contrôle gouvernemental et sont utilisés pour répandre l’idéologie d’une conspiration de l’ouest qui financerait les organisations de droits de l’homme. Des meurtres et menaces se multiplient contre les journalistes. 37 d’entre eux ont été tués depuis 2005 et ils sont nombreux à avoir quitté le pays. Les principaux partis politiques d’opposition ont été mis en pièces. En offrant de l’argent, des portefeuilles ministériels ou en agitant des menaces, le président a réussi à diviser et briser toute opposition. Enfin, les militaires sont placés aux postes stratégiques, dans les conseils provinciaux et les ambassades. »

    Sur le terrain, la reconstruction prend un drôle de visage. De grands travaux d’infrastructure voient le jour, essentiellement des projets touristiques ou militaires financés notamment grâce à des prêts accordés par la Chine,  mais aussi par la Banque mondiale ou le FMI, sans conditions sur le respect des droits de l’homme. Paysans et pêcheurs sont chassés de leurs terres. « Nous avons néanmoins remporté notre première victoire depuis 2009, souligne Herman Kumara, directeur de NAFSO, partenaire du CCFD-Terre Solidaire. Sur la lagune de Negombo, le gouvernement projetait de construire un port pour hydravions-taxis touristiques. Un projet qui aurait bouleversé la vie des habitants de la région. Grâce à une mobilisation multiple et conjointe de pécheurs, médias, défenseurs des droits de l’homme… nous avons réussi à empêcher cette opération. Cette victoire commune prouve qu’il y a de l’espoir quand les gens se regroupent. Ainsi, nous sommes en train de créer une nouvelle coalition réunissant des personnes expulsées originaires de toutes les régions du pays. »

    Mobilisée sur le terrain, la société civile sri-lankaise appelle aussi la communauté internationale à réagir fermement. « Nous lui demandons d’exhorter le gouvernement de Colombo à respecter les conventions des Nations unies ratifiées par le Sri Lanka, notamment la Convention des droits de l’homme. Nous souhaiterions aussi qu’elle demande au gouvernement l’ouverture d’enquêtes pour torture et violations des droits de l’homme ». Enfin, Brito Fernando insiste sur l’impact des sanctions économiques. En effet, face au refus de Colombo de coopérer sur les questions de droits humains, l’Union européenne (UE) a suspendu en août 2010 ses accords de préférence généralisée avec le Sri Lanka. Si pour l’instant cette décision n’a pas eu d’impact économique direct car le pays a pu écouler sa production sur d’autres marchés comme la Chine, l’Iran ou la Russie, cette sanction n’est pas neutre. Elle range, sur la scène internationale, le Sri Lanka au banc des nations « voyous ». Une image à laquelle Colombo, qui mise sur le tourisme occidental pour renflouer les caisses de l’Etat, n’est pas insensible…

    Violaine Plagnol

  • Sri Lanka, favoriser le respect à caractère universel, indivisible et interdépendant des droits de l’homme

    Le CCFD-Terre Solidaire soutient l’association Law and Society Trust créée en 1982 à Colombo au Sri Lanka. Engagée dans la défense et la promotion des droits de l’homme, l’association axe son travail autour des droits civils et politiques, des droits économiques sociaux et culturels (DESC), ainsi que sur la question des droits humains en conflit et post-conflit.

    (suite…)

  • Tensions politiques et absence de propositions de solution sur la question tamoule.

    Paris, le 22 juin 2010 Monsieur Ruki Fernando est chargé du programme “Droits humains en conflit” au sein de Law and Society Trust, une organisation partenaire du CCFD-Terre Solidaire. La guerre civile a pris fin, il y a presque un an, avec la victoire militaire du gouvernement de Colombo, mais la normalité tarde à revenir. Les tensions politiques et l’absence de propositions de solution de la question tamoule, hypothèquent la reconstruction et la réconciliation au Sri Lanka. Défenseur cinghalais des droits de l’homme au Sri Lanka, Ruki Fernando est lauréat 2009 du Prix de la Justice et de la Paix octroyé par la Fondation de Monseigneur Tji Hak Soon, en Corée du Sud. Il est particulièrement mobilisé en faveur de la défense des droits des minorités tamoules, il effectue des visites de terrain dans les régions affectées au nord et à l’est du Sri Lanka et témoigne régulièrement de ses observations, notamment auprès des Nations unies. Voici des extraits de son dernier témoignage du 30 mai 2010. (…) « C’est notre terre, notre peuple y vit, ces soldats viennent de l’extérieur, comment osent-ils nous poser ces questions et nous arrêter ? Pourquoi ne puis-je pas me rendre chez moi ? Pourquoi ne puis-je pas rendre visite à ma famille et à mes amis ? Pourquoi ne puis-je pas inviter des amis ? » C’était un leitmotiv de colère et de frustration que j’entendais souvent mes amis prononcer. (…) Le fait que je sois un Cinghalais de Colombo semblait soulever encore plus de soupçons et de curiosité parmi les soldats. (…) Sur la plupart des routes de la région de Vanni, aussi bien sur la route A9 que sur les routes intérieures, j’avais l’impression de circuler dans un camp militaire. Toutes les routes étaient parsemées de camps militaires et de postes de contrôle. (…) Un homme de Kathalampiddy, près de Vidathalthivu, nous a déclaré : « Le service de renseignement de l’armée m’a accusé plusieurs fois d’appartenir aux LTTE. Un autre garçon a subi la même accusation. L’armée a prévenu un villageois que je serais emmené. J’ai peur de me déplacer tout seul. » « Bien que seulement deux personnes aient reçu des menaces, tout le village a peur maintenant » nous a dit une femme du village. (…) « Sous nos propres yeux, et dans nos locaux, les militaires touchaient une fillette… alors que se passerait-il si nous n’étions pas là ? » m’a demandé une sœur catholique rencontrée dans la région de Vanni. (…) Dans chaque village, j’ai également rencontré des personnes dont les enfants et des proches avaient été détenus pendant presque une année, et certains pendant plusieurs années. Ils n’avaient été inculpés par aucun tribunal. Ils n’avaient qu’un contact limité avec leurs amis et leurs familles, et aucun contact avec le CICR ou des avocats. (…) «  Nous n’avons rien, nous devons redémarrer à zéro et voulons développer notre affaire petit à petit. L’armée dispose des ressources lui permettant de construire de grosses structures, avec des réfrigérateurs, tables, chaises etc., et de payer le personnel. Les visiteurs qui arrivent du Sud en autocars et en fourgonnettes vont dans les grands restaurants gérés par l’armée. » Un an après la fin de la guerre, dans la peur et le désespoir (pdf)

    Documents joints

    Un an après la fin de la guerre, dans la peur et le désespoir (pdf)
  • Sri Lanka : Après la guerre, la réconciliation ?

    La guerre est finie mais la question tamoule reste entière. Face à un gouvernement nationaliste peu enclin au dialogue, la population tamoule réussira-t-elle à faire valoir ses droits ? Retour sur les racines du conflit, décryptage géopolitique et interrogations sur une possible réconciliation.

    (suite…)

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