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  • Qu’est-ce que le Comité de la Sécurité Alimentaire mondiale (CSA)?

    Le Comité de la Sécurité Alimentaire mondiale (CSA) est le comité intergouvernemental des Nations Unies chargé des questions de sécurité alimentaire et de nutrition. C’est la plateforme la plus à même de coordonner les réponses à la crise des prix alimentaires qui arrive.

    Les populations affectées impliquées

    Le CSA est la principale plateforme internationale émettant des recommandations politiques en matière de sécurité alimentaire et de nutrition. Créé en 1974, puis réformé après les émeutes de la faim, la plus value du CSA est qu’il permet de réellement impliquer dans l’ensemble de ses décisions les pays et populations les plus affectés par l’insécurité alimentaire, en se basant sur une approche par les droits.

    C’est ainsi l’espace international le plus inclusif existant pour lutter contre la faim dans le monde. Lieu de dialogue et de négociation, il implique tous les acteurs impliqués dans le domaine de la sécurité alimentaire et la nutrition :
    – les gouvernements
    – la société civile (organisations de producteurs, peuples autochtones et ONG)
    – le secteur privé international
    – les instituts de recherche
    – les institutions financières internationales
    – les organisations des Nations Unies (FAO, PAM…)
    – les fondations

    Toutefois seuls les États y disposent d’un droit de vote.

    Des recommandations politiques

    Les recommandations négociées au CSA sont toutes issues d’un long travail de recherche fourni par le HLPE (un groupe d’experts de haut niveau sur la sécurité alimentaire et la nutrition). D’une certaine manière, le HLPE est à l’agriculture ce que le GIEC est au climat. Chaque année, il est en charge de rassembler, sous la houlette des principaux experts mondiaux, l’ensemble de la littérature scientifique afin de produire un rapport sur une thématique précise (changement climatique, genre, volatilité des prix, agroécologie, questions foncières, biocarburants etc). 

    Suite à ces rapports, l’ensemble des membres du CSA se retrouve pour transformer ses conclusions en recommandations politiques.

    Les six fonctions du CSA

    Le rôle clé de la société civile

    La société civile joue un rôle clé dans les négociations. Regroupée sous l’égide du Mécanisme de la société civile et des peuples autochtones (MSC), elle participe à toutes les étapes des processus. Du choix des thématiques, au rapport du HLPE jusqu’à la négociation entre les États, elle produit et valorise ses propres argumentaires, témoigne de la réalité du terrain et s’exprime d’une seule voix.

     A ce jour le MSC regroupe plus de 300 millions de membres. Le CCFD-Terre Solidaire et ses partenaires sont très investis dans ses différents groupes de travail.

    Coordonner la réponse à la crise alimentaire

    Le CSA se réunit chaque année en octobre au siège de la FAO, à Rome. Cette session rassemble 137 Etats et plus de 200 organismes du groupe consultatif. Des réunions intermédiaires sont organisés tout au long de l’année.

    Suite à la guerre en Ukraine, le monde fait face à une crise des prix alimentaires sans précédent qui va avoir des conséquences dramatiques. C’est une crise complexe qui nécessite une coordination internationale. Le CSA, réformé pour pouvoir agir dans un tel contexte, est le plus pertinent pour coordonner les réponses à la crise. Or, à ce jour il n’a toujours pas été mandaté par les États. 

    Nous demandons que la France qui assure la présidence de l’Union Européenne, se positionne clairement pour que le CSA propose et coordonne un plan d’action international.

    Aller plus loin :

    Journal de bord de la crise alimentaire
    L’impact de la guerre en Ukraine sur la crise alimentaire (infographie)
    Tout ce qu’il faut savoir sur les mots de la faim

  • Tout ce qu’il faut savoir sur les mots de la faim

    Que signifie les termes crise alimentaire, famine, sécurité alimentaire… Ce lexique apporte des définitions simples pour des mots fréquemment utilisés dans les médias pour parler de la faim, parfois à mauvais escient. Cet article est là pour décrypter toutes ces notions.

    Quand parle-t-on de crise alimentaire ?

    Une crise alimentaire désigne le fait que la situation alimentaire d’un pays, une région ou un continent s’aggrave de façon spectaculaire sur une courte période. Une crise alimentaire est déclarée dans un pays connaissant une dégradation subite de sa situation alimentaire si 1 des 3 critères suivants est respecté :

    1. Au moins 20% de la population du pays est en insécurité alimentaire
    2. Au moins 1 million de personnes dans le pays sont en insécurité alimentaire
    3. Une zone entière du pays est en insécurité alimentaire 

    La famine, pour alerter sur la gravité d’une situation

    La famine est un état de pénurie alimentaire grave s’étendant sur une longue durée et qui conduit, si non solutionnée, à la mort des populations concernées. C’est un terme principalement politique qui est bien souvent utilisé par les Nations Unies ou les ONG humanitaires pour alerter l’opinion sur une situation particulièrement grave au niveau local. 

    Qu’est-ce que l’insécurité alimentaire ?

    Une personne est en situation d’insécurité alimentaire lorsqu’elle n’a pas un accès régulier à suffisamment d’aliments sains et nutritifs pour une croissance et un développement normaux et une vie active et saine. Cela peut être dû à l’indisponibilité de nourriture et/ou au manque de ressources pour se procurer de la nourriture. L’insécurité alimentaire peut être ressentie à différents niveaux de gravité (légère, modérée, grave).  En 2020, 2,4 milliards d’individus souffraient d’insécurité alimentaire, un chiffre en hausse pour la sixième année consécutive.

    La sécurité alimentaire, un concept bien défini :

    La sécurité alimentaire est un concept défini par l’accès régulier de tous les individus d’une population à une alimentation de qualité et en quantité suffisante pour satisfaire leurs besoins fondamentaux. Les quatre piliers de la sécurité alimentaire sont :

    1. La disponibilité des aliments
    2. L’accès aux aliments
    3. L’utilisation des aliments
    4. La stabilité de l’approvisionnement

    De nombreux débats ont lieu actuellement pour y ajouter un cinquième pilier garantissant l’équité des individus dans leurs capacités de production et leur choix alimentaire.

    La malnutrition définit un état nutritionnel :

    La malnutrition se définit par les carences, les excès ou les déséquilibres dans l’apport énergétique et/ou nutritionnel d’une personne. C’est un état nutritionnel qui est la conséquence d’une alimentation mal équilibrée en quantité et/ou en qualité. La malnutrition couvre donc tant la sous-nutrition que la sur-nutrition.

    Sous-nutrition :

    La sous-nutrition est un état résultant d’un apport alimentaire insuffisant pour couvrir les besoins en énergie et en nutriments. Elle se caractérise par une insuffisance pondérale, une taille trop petite (retard de croissance) ou trop fine (émaciation) pour l’âge ou la taille, ou une carence en vitamines et minéraux.

    Sur-nutrition :

    La sur-nutrition désigne un excès ou un déséquilibre dans l’apport énergétique et/ou nutritionnel d’une personne. Une personne est en surpoids si elle présente une accumulation excessive de graisse qui constitue un risque pour sa santé. L’Organisation mondiale de la santé (OMS) définit le surpoids chez les adultes comme un Indice de Masse Corporelle supérieur ou égal à 25.

    Sous-alimentation :

    La sous-alimentation est une sensation physique inconfortable ou douloureuse causée par une consommation insuffisante de calories. Elle devient chronique lorsque la personne ne consomme pas une quantité suffisante de calories sur une base régulière pour mener une vie normale, saine et active.

    Qu’est ce que la souveraineté alimentaire :

    La souveraineté alimentaire est le droit des populations, de leurs États ou Unions à définir leur politique agricole et alimentaire, sans dumping vis à vis des pays tiers. La souveraineté alimentaire est un concept de solidarité et de complémentarité, qui vise à remettre les populations et les citoyens au cœur des choix agricoles et alimentaires nationaux.
    En savoir plus sur nos actions en faveur de la souveraineté alimentaire

    Agroécologie :

    L’agroécologie est une approche globale de l’agriculture et de l’alimentation qui favorise l’émergence de systèmes agricoles et alimentaires durables et diversifiés. Ces systèmes permettent aux paysannes et paysans de vivre de leur métier et aux populations locales d’avoir accès à des produits de qualité. L’agroécologie propose une véritable transformation et redéfinition de nos pratiques et habitudes agricoles et alimentaires. Elle a pour objectif une gestion juste et responsable des biens communs que sont l’eau, la terre, l’air, la biodiversité et l’équilibre du climat.

  • L’impact de la guerre en Ukraine sur la crise alimentaire (infographie)

    Pourquoi la guerre en Ukraine aggrave considérablement la crise alimentaire et fait-elle flamber les prix? Explications en infographies

    Les prix alimentaires mondiaux flambent

    La Russie et l’Ukraine sont des exportateurs importants de multiples céréales : blé, tournesol, maïs.

    Mais la Russie et l’Ukraine ne sont pas seulement des exportateurs de céréales alimentaires.

    Ils sont aussi :

    • de gros producteurs de tourteaux de tournesol dont dépend fortement l’alimentation animale dans le monde entier
    • des producteurs d’engrais, de pesticides, et de carburant dont dépendent fortement les agricultures industrielles.

    La Russie et l’Ukraine exportent 20% du marché mondial d’engrais.

    La hausse des prix de l’énergie a un impact sur celui de l’alimentation

    Les agricultures industrialisées sont devenues très dépendantes du pétrole et du gaz, nécessaires à la production d’engrais et de pesticides.

    Les exportations compromises

    Du fait d’une nécessité de nourrir la population par temps de conflits l’Ukraine a annoncé le 9 mars dernier une cessation temporaire de l’ensemble de ses exportations de blé, de sucre et de viande.

    Côté russe, si les sanctions économiques épargnent pour le moment le volet alimentaire, la Russie utilise la faim comme une arme géopolitique. Elle limite actuellement ses exportations alimentaires à destination des pays jugés “inamicaux” notamment pour faire pression sur le groupe des non-alignés.

    Par crainte d’une future pénurie de denrées alimentaires les acteurs économiques spéculent sur marchés boursiers, notamment pour le blé et le soja, pendant que d’autres Etats se constituent des stocks.

    Par ricochet, certaines cultures locales, à priori non concernées par la crise, se mettent aussi à augmenter.

    Au delà des céréales, ce sont aussi les prix de la viande et des produits laitiers qui augmentent.

    Les pays les plus touchés  

    Les pays du Sud sont les plus durement touchés.

    En Europe, il n’y a pas de pénurie de denrées agricoles et alimentaires (l’Europe est exportateur net de céréales et de viande). Mais l’Europe est sujette à une hausse des prix alimentaires qui va s’aggraver du fait de la hausse du prix de l’énergie.

    En 2019, selon les Nations Unies, 70% des individus souffrant de la faim vivent dans des pays caractérisés par leur forte dépendance aux marchés internationaux (pour l’import comme pour l’export). 

    Conséquences de la hausse des prix

    Quelles mesures mettre en place ? 

    L’enjeu pour sortir de cette crise est triple, il convient à la fois de : 

    1. Limiter la hausse des prix 
    2. Renforcer la capacité des États à y faire face  
    3. Limiter les impacts sur les populations les plus vulnérables.  

    Cette triple nécessité demande des actions d’urgence à prendre au cours des 6 prochains mois. Ces actions doivent être coordonnées au niveau international par le Comité sur la Sécurité Alimentaire Mondiale de l’ONU. Il est impératif que le Comité se réunisse en urgence en juin ou juillet sur le sujet.

    Aller plus loin :

    Flambée des prix : l’impact de la guerre en Ukraine
    Nos propositions de mesures pour faire face cette crise
    Guerre en Ukraine : les bombes de la faim

  • Ukraine : 5 questions autour de la directive de protection temporaire

    Qu’est ce que la directive de protection temporaire? Pourquoi a-t-elle été activée pour les personnes venant d’Ukraine? Quels défis représentent la mise en place de cette protection pour les Etats Européens?

    Sophie Duval, chargée de plaidoyer migration, répond à nos questions.

    © Ophélie Chauvin
    Rassemblement en soutien au peuple ukrainien, Paris, 17 mars 2022. © Ophélie Chauvin

    Qu’est-ce que la directive de protection temporaire ?

    Créée en 2001 par l’Union européenne, la directive de protection temporaire a été pensée dans le contexte de l’après-guerre au Kosovo et en ex-Yougoslavie. Elle permet aux Etats membres de l’Union européenne d’attribuer rapidement une protection à des personnes dans un contexte de déplacements forcés de grande ampleur vers l’UE.

    La création de ce système « parallèle » de protection permet à ces personnes d’accéder aux droits fondamentaux liés au droit d’asile (hébergement, soins, éducation, formation professionnelle, travail) sans venir perturber le fonctionnement des dispositifs nationaux d’asile existants.

    Pourquoi a-t-elle été activée pour la première fois le 4 mars 2022 ?

    Suite à l’agression de l’Ukraine par la Russie le 24 février, plus d’un million de personnes a été contraint de quitter le pays en seulement sept jours. Face à cette situation critique, la présidence française du Conseil de l’UE a demandé à la Commission européenne de rédiger une proposition d’activation de la directive, finalement établie le 3 mars, puis adoptée par les ministres de l’Intérieur de l’UE le lendemain.

    Depuis 2001, la directive n’avait jamais encore été activée, que ce soit dans le cas de conflits armés en Syrie, en Afghanistan, en Libye ou en Ethiopie, malgré les demandes répétées d’organisations de la société civile.

    Qui sont les personnes pouvant en bénéficier ?

    La directive de protection temporaire établit des règles minimales de protection et les bénéficiaires, que les Etats membres peuvent décider de compléter au niveau national. Le texte du Conseil de l’UE concerne les personnes :

    • ayant quitté l’Ukraine à partir du 24 février 2022 et qui sont de nationalité ukrainienne ; étrangères résidant de manière permanente en Ukraine qui ne peuvent pas retourner de « manière sure et durable » dans leur pays d’origine ;
    • les personnes bénéficiant du statut de réfugié en Ukraine et personnes apatrides ;
    • les membres des familles de ces personnes.

    Sont ainsi exclues de la protection temporaire :

    • les personnes ayant quitté l’Ukraine avant le 24 février 2022 ;
    • les personnes étrangères résidant de manière permanente en Ukraine qui peuvent retourner de « manière sure et durable » dans leur pays d’origine ;
    • les personnes ne disposant pas de résidence permanente en Ukraine, incluant les personnes en situation administrative irrégulière.

      Les Etats membres peuvent toutefois décider d’inclure ces personnes dans leur dispositif national de protection temporaire.

    Quels défis s’ouvrent désormais aux Etats européens ?

    Le premier défi est avant tout opérationnel : les Etats européens vont devoir garantir l’accès à un ensemble de droits pour les personnes protégées, à la fois dans l’urgence et dans la durée.

    Pourtant, dans bon nombre de pays, peu d’investissements publics massifs ont été engagés dans ces systèmes de protection ces dernières années.

    L’enjeu est donc de garantir un accès aux droits pour les personnes fuyant l’Ukraine, tout en continuant de faire fonctionner les systèmes nationaux d’asile pour les autres personnes nécessitant une protection internationale, sans que cela ne provoque des mesures discriminatoires.

    L’activation de la protection temporaire dans l’UE représente un défi en termes de coordination entre Etats membres pour assurer l’accès effectif à ces droits dans l’ensemble des pays, et éventuellement la mise en place d’un mécanisme de répartition, pour relocaliser des personnes réfugiées depuis des pays hors UE (notamment la Moldavie) ou entre pays européens.

    Comment l’Union européenne pourrait-elle s’en inspirer pour l’avenir ?

    La décision unanime du Conseil de l’UE sur la protection temporaire démontre que des barrières, que l’on pensait infranchissables il y a encore quelques semaines, ont cédé face à une situation exceptionnelle. Cette volonté politique historique prouve que la solidarité européenne peut être le maitre-mot pour garantir un accès aux droits fondamentaux aux personnes cherchant une protection dans l’UE.  

    A l’heure des négociations sur un nouveau Pacte européen sur la migration et l’asile, les Etats membres gagneraient à capitaliser sur cet élan de solidarité notamment sur les points suivants : un accueil coordonné, digne et respectueux des droits fondamentaux est possible, tout en accordant le droit aux personnes de choisir leur pays d’accueil et en levant les barrières de « filtrage » aux frontières extérieures et intérieures de l’UE. 

    Pour en savoir plus autour de notre action sur les migrations

  • Colombie : trois minutes pour comprendre la mobilisation populaire cinq ans après l’accord de paix

    Cinq ans après la négociation de l’Accord de paix en Colombie, une forte révolte populaire portée par la jeunesse se fait entendre. La mobilisation du « Paro » refuse l’héritage de la violence des conflits armés et conteste le gouvernement d’Iván Duque pour son manque de volonté à tenir compte des revendications d’une partie de la population. Décryptage.

    (suite…)

  • Comprendre la colonisation à Jérusalem en trois minutes

    Une nouvelle fois, c’est de Jérusalem qu’est parti l’embrasement et la révolte des Palestiniens. Connue pour abriter les lieux saints des trois monothéismes, les Palestiniens y sont soumis à un statut de seconde zone et sont menacés d’expulsion dans plusieurs endroits de la ville.
    Pour bien comprendre la situation, voici quelques repères concrets à avoir en tête si vous avez l’impression que le conflit vous dépasse…

    (suite…)

  • Deux minutes pour comprendre les limites des politiques d’intervention au Sahel (infographie)

    Huit années d’opérations militaires, et pourtant les pays de l’Afrique sahélienne continuent de faire face à une crise multidimensionnelle. Face à ce bilan, la Coalition Citoyenne pour le Sahel publie ses recommandations pour que la protection des populations devienne une priorité.

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  • Le vent de la révolte souffle toujours en Tunisie

    Faute de transformation du modèle économique par un pouvoir politique faible devant les oligarchies rentières, le dixième anniversaire de la révolution a été marqué par des protestations sociales sévèrement réprimées.

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  • La France finance une pincée d’agroécologie (rapport)

    Trois ONG dont le CCFD-Terre Solidaire, publient les premiers chiffres d’un rapport fouillé Une pincée d’agroécologie pour une louche d’agro-industrie qui montre le double langage de la France, bien souvent vue comme le porte-drapeau de l’agroécologie, mais dont les financements publics favorisent surtout le modèle agro-industriel.

    (suite…)

  • France-Sahel : Consulter en replay les conférences en partenariat avec l’IRIS

    Un collectif d’organisations françaises et sahéliennes, en partenariat avec l’IRIS, lancent un cycle de conférences pour ouvrir le dialogue sur la politique de la France au Sahel. Retrouvez les conférences-débats en replay.

    Le CCFD-Terre Solidaire, Care France, Oxfam, le Secours Catholique et Tournons la page, en partenariat avec (IRIS) lancent un cycle de conférences et de débats sur le Sahel. L’objectif, re-dynamiser le dialogue, à partir d’une diversité d’acteurs et d’expertises.

    Ce cycle de conférences, en plusieurs rencontres échelonnées d’octobre à janvier 2022, est l’occasion de valoriser les perspectives et les solutions trop méconnues portées par les sociétés civiles sahéliennes. Elles veulent aussi alimenter le débat public en France en amont des élections présidentielles et législatives de 2022.

    Pourquoi ouvrir le débat ?

    Depuis huit ans, la France est engagée militairement au Sahel avec l’opération Serval puis Barkhane, et se positionne comme le chef-de-file de l’action de la communauté internationale pour répondre aux défis qui se jouent au Sahel.

    Mais depuis 2012, la situation ne cesse de se dégrader. La région est confrontée à une situation humanitaire critique et à une hausse de l’insécurité dans des zones, auparavant épargnées. Les limites de l’intervention française (et internationale) sont de plus en plus partagées et percent dans l’espace public et médiatique.

    Pour aller plus loin : Deux minutes pour comprendre les politiques d’intervention au Sahel

    Les récents événements en Afghanistan amènent à s’interroger sur l’interventionnisme occidental dans le monde, et plus spécifiquement sur celui de la France au Sahel.

    En lançant en avril dernier un Appel à une refondation de la politique sahélienne de la France, les acteurs de la solidarité internationale souhaitent ouvrir le débat sur la nécessité de redéfinir la stratégie de la France dans la région, à quelques mois de l’élection présidentielle et alors que le président Emmanuel Macron a récemment annoncé l’évolution stratégique de l’opération Barkhane.

    + 4 millions

    de personnes sahéliennes déplacées en raison des violences.

    8 ans

    d’opérations militaires françaises au Sahel

    Car depuis huit ans, ce débat n’a que trop manqué. Il doit désormais s’ouvrir avec les Sahéliens et les Sahéliennes, et en particulier les sociétés civiles de la région, rarement écoutées et pourtant porteuses d’idées qui n’attendent qu’à être entendues.

    Il doit permettre de rassembler des acteurs d’horizons différents –universitaires, diplomates, acteurs du développement et de l’humanitaire, diasporas, militaires, élu.e.s, journalistes– qui ont tous une réflexion à apporter. Le temps du débat est venu !

    Les conférences-débats :

    Lundi 4 octobre, conférence inaugurale :

    Stratégie de la France au Sahel : le temps du débat

    Jeudi 21 octobre, conférence-débat :

    Crise multiforme au Sahel : quelles stratégies et approches pour y répondre ?

    Lundi 29 novembre, conférence-débat :

    Développement au Sahel : quel rôle pour la France et l’Europe ?

    Vendredi 10 décembre, conférence-débat :

    Droits humains vs agendas diplomatiques : comment remettre les droits humains au cœur de la diplomatie au Sahel ?

    Lundi 10 janvier, conférence-débat :

    Briefing sur l’Afrique de l’Ouest et le Sahel
    Avec Cécile YOUGBARÉ (membre de la Coalition citoyenne pour le Sahel et coordinatrice plaidoyer pour Médecins du Monde) invitée du Conseil de Sécurité de l’ONU

    Vendredi 14 janvier, conférence en Chatam House :

    Interventions militaires au Sahel : quel avenir et quelles alternatives ?

    Réformes de la gouvernance au Sahel : quel rôle et quelles responsabilités pour la France ?

    Pour aller plus loin :

    Notre dossier : La France en Afrique, parlons Sahel

    Opinion : Pourquoi il faut refonder la politique de la France au Sahel

  • Israël : toujours plus répressif

    Après avoir perdu les élections, le Premier ministre Benyamin Netanyahou, a invoqué le coronavirus pour faire fermer la Knesset et les tribunaux – évitant ainsi un procès pour corruption. La mise en place d’outils de surveillance électronique de masse, réservés jusque-là à l’antiterrorisme, confirme les reculs démocratiques amorcés depuis des années, qui ont conduit de nombreux intellectuels à l’exil.

    (suite…)

  • Migrants / Europe : instrumentaliser la pandémie pour verrouiller les frontières

    La guerre contre le virus se double d’une guerre contre les personnes migrantes, et les violences à leurs égards sont exacerbées par les mesures prises pour lutter contre la pandémie : c’est le constat dressé par l’observatoire des frontières Migreurop, partenaire du CCFD-Terre Solidaire. Décryptage.

    (suite…)

  • Entreprises : les ONG font le travail que ne fait pas le gouvernement

    Pour pallier l’absence de suivi par les pouvoirs publics de l’application de la loi sur le devoir de vigilance, le CCFD-Terre Solidaire et Sherpa ont mis en place un « outil citoyen » : un « Radar » qui traque les entreprises s’exonérant de leurs obligations.

    (suite…)

  • Birmanie : les jeunes en première ligne sur la défense de l’environnement

    En Birmanie, depuis la fin de la dictature en 2011, les mesures de libération de l’économie sans garde-fous législatifs, ont laissé libre cours à des violations des droits humains et aux destructions de l’environnement. Une partie de la jeunesse s’est impliquée au sein d’associations, pour lutter contre ces dérives.

    (suite…)

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