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  • Pétition : au Pérou aidez les Wampis à sauver l’Amazonie

  • Au Pérou, protéger l’Amazonie

    L’Amazonie couvre la plus grande partie du territoire péruvien. Elle est l’objet de convoitises pour ses nombreuses ressources naturelles. Martin Willaume, chargé de mission Amérique latine au CCFD-Terre Solidaire, nous détaille les menaces qui pèsent sur l’Amazonie au Pérou.

    ©Martin WILLAUME/CCFD-Terre Solidaire

    Un immense territoire menacé

    L’Amazonie, moins connue que les montagnes des Andes, représente plus de 60% du territoire péruvien. Ce territoire immense, plus grand que la France, attise depuis longtemps la convoitise des entreprises pour l’exploitation de ses ressources naturelles : bois, pétrole, or, eau… La situation est critique pour l’ensemble de l’Amazonie et on approche du point de bascule.

    La forêt amazonienne n’aura bientôt plus les capacités de se renouveler et pourrait devenir une savane sous la pression des dérèglements climatiques et de la déforestation.

    Martin Willaume, chargé de mission Amérique latine

    L’agro-industrie contribue largement à cette dégradation de l’environnement. L’huile de palme s’est par exemple répandue de façon exponentielle ces dernières années car c’est un élément essentiel pour l’industrie agroalimentaire. Cette monoculture intensive a des conséquences très graves : elle appauvrit les sols, assèche les sources d’eau, pollue les fleuves et tue les poissons avec le rejet de pesticides.

    La Pastorale de la Terre de Yurimaguas protège l’Amazonie

    Pour faire face aux menaces qui pèsent sur l’Amazonie péruvienne, notre partenaire la Pastorale de la Terre de Yurimaguas agit sur 3 volets :

    1. Accompagner les communautés indigènes pour qu’elles connaissent leurs droits et puissent se défendre. Le Pérou bénéficie de plusieurs lois et a signé des conventions internationales qui l’engagent à défendre les peuples indigènes, mais ces textes sont peu appliqués.
    2. Constater les impacts des plantations de palmiers à huile et documenter, avec des photos, les cas de pollution et de dégradation des cours d’eau. C’est un travail très minutieux qui permet de faire pression sur les entreprises et surtout sur les autorités locales et l’État.
    3. Promouvoir une vision durable de l’Amazonie et apporter des propositions concrètes : agroforesterie, agroécologie, écotourisme… Au-delà d’un soutien ponctuel à plusieurs projets, notre partenaire accompagne les communautés pour faire du plaidoyer, afin de modifier les politiques locales et d’obtenir des changements de plus grande ampleur.

    Aller plus loin :

    Quiz : Quelle est votre relation avec la forêt?
    Journée Internationale des Forêts : les indiens Huni Kuin défendent l’Amazonie

  • Marée noire au Pérou pour la pêche artisanale #JeudiPhoto

    Depuis plus de deux semaines, le Pérou fait face à une véritable tragédie environnementale. Sur des centaines de kilomètres carrés au nord du pays, une importante marée noire a enseveli tout un écosystème protégé. Portons notre regard sur le désarroi et la résilience des communautés qui vivent de la pêche artisanale, désormais privées de leurs moyens de subsistance.

    Pilar Oliviares / Reuters
    Ancon, Peru, 21 janvier 20222. © Olivia Pilares/Reuters

    Dimanche 16 janvier 2022. Aux premières heures du matin, les habitants de Ventanilla, au nord du Pérou sont interpellés par une forte odeur de carburant, qui propulsée par les brises du vent s’imprègne jusque dans les foyers. En arrivant sur les côtes, les pêcheurs découvrent un panorama effroyable : des centaines de poissons et d’oiseaux ensevelis sous d’épaisses nappes de pétrole jonchent les rivages.

    “La tâche noire”

    La lumière du soleil ne parvient plus à traverser l’épais film noir qui recouvre l’eau, asphyxiant toute la flore marine. La zone côtière est devenue la “Mancha Negra”, (la “tâche noire”), comme l’appellent désormais les locaux.

    La veille, près de 12 000 barils de pétrole se sont déversés dans la mer lors du déchargement d’un pétrolier vers la raffinerie de La Pampilla, du groupe espagnol REPSOL. L’entreprise rejette la cause de l’accident sur la forte houle causée par l’éruption volcanique aux îles Tonga.

    Emportée par les courants, la marée noire s’est propagée sur près de 140 km au nord de la raffinerie, contaminant deux réserves protégées, 24 plages et 3 districts.

    600 familles de pêcheurs touchées

    À Ancon, à une vingtaine de kilomètres de Ventanilla, la photographe Pilar Oliviares a été témoin du désespoir des pêcheurs locaux. Embarqués le long des eaux noircies, quelques jours après la catastrophe, deux pêcheurs inspectent les poissons qu’ils ont pêchés : les risques qu’ils soient contaminés sont majeurs…

    Ce n’est pas moins de 600 familles de pêcheurs artisans qui voient, la peur au ventre, leur activité et leur économie paralysées par la marée noire qui a laissé leurs îlots de pêche en “zone morte”.

    La catastrophe impose l’épreuve du temps : l’assainissement et la régénération des zones maritimes prendront des années.

    Agir pour que la responsabilité de l’entreprise soit engagée

    La société civile, dont quatre de nos partenaires (CAAP, Forum Solidaridad Perú, CooperAcción et CEAS), se mobilise aux côtés des communautés affectées. Elle pointe la responsabilité de l’entreprise, qui a minimisé l’ampleur de la catastrophe, et demande au gouvernement d’approuver de toute urgence l’Accord Escazú.

    Les dispositions prévues par ce traité environnemental latino-américain visent à garantir le droit d’accès à l’information et à la justice environnementale, et à renforcer la participation des citoyens aux processus décisionnels en matière d’environnement. Sa ratification permettrait la mise en place d’un cadre règlementaire nécessaire pour répondre de manière structurelle à ces crises environnementales.

    « Nous espérons que les membres du Congrès, qui ont condamné la marée noire, seront cohérents avec leurs déclarations et voteront en faveur de l’approbation de l’Accord d’Escazu ».

    CooperAcción, partenaire du CCFD-Terre Solidaire.

    Pour en savoir plus sur l’Accord Escazú : Journée de la terre 2021 : un espoir pour la défense de l’environnement en Amérique Latine.

    À lire aussi : Pollution de Chevron en Équateur : obtenir justice face aux multinationales

  • Glafira Jiménez : L’écoféminisme au service d’une écologie intégrale

    L’Institut Bartolomé de las Casas (IBC) est engagé au Pérou pour l’accompagnement et la formation des communautés dans le respect de la doctrine sociale de l’Église. L’IBC assure notamment un rôle de conseil sur le genre et le dialogue interconfessionnel. Dans ce pays d’Amérique du Sud, la question des droits des femmes reste très problématique. Les femmes sont l’objet de violences physiques, psychologiques et sexuelles notamment dans la sphère domestique.

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  • Amazonie : le Repam appelle à une action urgente afin d’éviter une tragédie humaine et environnementale

    Le REPAM (Réseau Ecclésial Pan-Amazonien), organisation soutenue par le CCFD-Terre Solidaire, lance aujourd’hui un appel urgent pour éviter une tragédie humanitaire et environnementale en Amazonie, compte tenu de l’avancée du coronavirus et des violences contre les peuples indigènes de la région.

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  • Pérou, Amazonie : la crise du Covid-19 creuse les inégalités

    Comment se protéger du Covid-19 dans un pays où près de 70 % de la population travaillent dans l’économie dite informelle ? Explications de notre partenaire péruvien Manthoc, qui tente par ailleurs de poursuivre son accompagnement auprès d’enfants travailleurs et des communautés autochtones.

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  • Pérou : La mine empoisonne la vie des paysans andins

    Classé parmi les principaux pays producteurs mondiaux d’argent, de cuivre et de zinc, le Pérou n’hésite pas à bafouer les droits des populations et à détruire l’environnement pour faciliter les investissements des multinationales dans le sud-andin. Quitte à employer la force pour imposer de nouveaux projets miniers.

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  • Deux volontaires péruvienne et vietnamienne accueillies à Grenoble par le CCFD-Terre Solidaire (portraits)

    Depuis longtemps la Délégation catholique pour la coopération (DCC) envoie des volontaires dans les pays du Sud pour des missions de un ou deux ans. Dans le cadre du projet «Volontaires internationaux de Réciprocité», ce sont cette fois deux volontaires originaires du Vietnam et du Pérou qui ont travaillé pendant plusieurs mois à Grenoble avec le CCFD-Terre Solidaire.

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  • Succès au Pérou : une entreprise renonce à son contrat minier face à la pression citoyenne

    Une entreprise canadienne vient de renoncer à un contrat d’exploitation minière dans la région de Cuzco. Cette décision fait suite à une importante pression populaire pour la protection de la montagne des sept couleurs, haut lieu touristique péruvien. CooperAcción, organisation partenaire du CCFD-Terre Solidaire qui a révélé ce scandale, est à l’origine de cette victoire.

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  • Pour sauver l’Amazonie, le peuple wampis se constitue en nation (vidéo)

    Face aux dérèglements climatiques et aux convoitises économiques, le peuple wampis, au Nord du Pérou, en Amazonie, s’est constitué en nation. Avec un double objectif : défendre ses droits de peuple indigène et protéger la forêt source de vie. Témoignage vidéo de Wrayz Pérez Ramirez, premier président wampis.

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  • Mgr Pedro Barreto, un nouveau cardinal engagé pour l’Amazonie

    Mgr Pedro Ricardo Barreto Jimeno, jésuite de 74 ans et archevêque du diocèse de Huancayo, dans les Andes péruviennes, sera institué cardinal le 29 juin prochain. Le CCFD-Terre Solidaire, qui soutient son action depuis longtemps, se réjouit de la nomination de cet homme très engagé au côté des peuples indigènes et pour la défense de l’environnement

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  • Pérou : les Indiens d’Amazonie ne sont pas la priorité de l’État !

    La politique de développement de l’État péruvien menace directement le mode de vie des peuples indigènes. Certaines communautés sont entrées en résistance. Rencontre avec Ismael Vega Díaz, directeur du Centre amazonien d’anthropologie et d’application pratique (CAAAP), partenaire du CCFD-Terre Solidaire, qui accompagne les communautés.

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  • Les enjeux de la visite du pape au Pérou et en Amazonie

    Du 18 au 21 janvier 2018, le pape François se rendra au Pérou. Une visite importante dans ce pays très inégalitaire, qui a aussi donné naissance à la Théologie de la libération en faveur des pauvres et des exclus. Le pape a notamment prévu de rencontrer les communautés indigènes en Amazonie et de se rendre dans la ville de Trujillo, récemment frappée par des inondations exceptionnelles.

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  • Au Pérou, la répression policière fait une nouvelle victime dans une zone minière

    Le 14 octobre 2016, un quatrième paysan a perdu la vie dans le cadre du conflit social qui oppose la population locale au plus grand investissement minier en cours au Pérou. CooperAcción, association partenaire du CCFD-Terre Solidaire très impliquée sur place, sonne l’alarme

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